Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Accueil » Communautés de blogs »

Fleurs de poètes

Communautés
Fleurs de poètes

Poésies en tout genre, textes nostalgiques, mélancolie... Bienvenue à tous ! Communauté gérée par Paloma

Gérée par Paloma

Tags associés : poème, amour, coeur, mot, poésie, poète

125 blogs

1425 posts

21/07/2015

Rejoindre

Articles récents de cette communauté

CAMARADE de Léopold Sédar Senghor

Camarade de léopold sédar senghor

Evelyne Patricia Lokrou Evelyne Patricia Lokrou
Bonjour❤ voici un poème de léopold sédar senghor, tiré de œuvre poétique : camarade camarade, je veux rompre ma peau noire, et qu'elle me suive, je veux traverser ton abord rêche, tes flèches gouailleuses. camarade, je veux, par-delà ta peau hâlée, éraillée et tes mains, plonger jusqu'à ton cœur, jusqu'à tes entrailles sensibles.
L'éléphant de Guillaume Apollinaire

L'éléphant de guillaume apollinaire

Evelyne Patricia Lokrou Evelyne Patricia Lokrou
Bonjour❤ voici un poème de guillaume apollinaire, tiré d'alcools suivi de le bestiaire : l'éléphant comme un éléphant son ivoire, j'ai en bouche un bien précieux. pourpre mort !... j'achète ma gloire au prix des mots mélodieux. guillaume apollinaire, (guillaume albert vladimir alexandre apollinaire de kostrowitzky, 26 août 1880 - 9 nove
Quelqu'un pleure dans le silence d'Émile Nelligan

Quelqu'un pleure dans le silence d'émile nelligan

Evelyne Patricia Lokrou Evelyne Patricia Lokrou
Bonjour❤ voici un poème d'émile nelligan, tiré de poésies complètes (1896- 1941) : quelqu'un pleure dans le silence quelqu'un pleure dans le silence morne des nuits d'avril ; quelqu'un pleure la somnolence longue de son exil ; quelqu'un pleure sa douleur et c'est mon cœur ! émile nelligan (24 décembre 1879 -18 novembre 1941) est un poè
Tout dire...

Tout dire...

Jean-Jacques Levesque Jean-Jacques Levesque
Paul eluard (portrait de valentine hugo) nous effaçons les peurs collectives de nos mémoires. nous désirons plus que tout saisir au passage les plaisirs de la vie. les autruches aussi mettent la tête dans le sable pour ne pas voir le danger. en septembre 1950, quatre années après la guerre, le poète et résistant paul eluard, écrit un poèm
Des Instruires

Des instruires

Nicolas Urvoy Nicolas Urvoy
҉ idyllismes* fusions ~ oui triomphes loyautés ~ qu'amouristes* justices* ~ près voyages poésie ~ © nicolas urvoy, 2015. tous droits réservés.
Des Instruires

Des instruires

Nicolas Urvoy Nicolas Urvoy
҉ ỡ rêviaires* partitions ~ joieries* tendres justices* ~ nous révèlent nous fortunes ~ tendrissimes* véraisons ~ © nicolas urvoy, 2015. tous droits réservés.
Des Instruires

Des instruires

Nicolas Urvoy Nicolas Urvoy
҉ rougeoyances* d'hymnes voiles ~ doux parfums ivoiretés ~ vendangiairement* calices ~ exquisément figuiats* ~ © nicolas urvoy, 2015. tous droits réservés.
Rois mages !

Rois mages !

Lili-la-Rebelle Lili-la-Rebelle
Rois mages les rois mages suivaient une étoile, qui les guida à l'endroit voulu. pour moi, le ciel n'est qu'un voile, qui ne me montre aucune issue. moi ! j'ai du trouver le chemin, toute seule, dans la nuit noire. écrits, me libérant sans fin, comme un joyeux désespoir. je voulais simplement libérer, mes idées et ce que je suis, par tous ê
Paradis noir

Paradis noir

Lili-la-Rebelle©00043614 Lili-la-Rebelle©00043614
©tous droits réservés pour la photo la foudre ne choisit pas son arbre, le malheur n'a aucune morale, l'éclair jaillit, coupant comme un sabre frappant net, tels les sabots d'un cheval. la réalité et sa puissance, vérité nous atteignant à jamais, sans aménité et sans décence, aucune prévenance ni apprêt. petite fille jetée au square,
Vapeurs d'alcool

Vapeurs d'alcool

Lili-la-Rebelle Lili-la-Rebelle
Dans ses vapeurs d'alcool, elle a cru devenir folle, voilà que rentrait l'égorgeur, avec ses poings rageurs. il cognait le soir comme on claque un tiroir ! dans son ivrognerie, monsieur sa seigneurie, gueulait que c'était une porcherie et la chambre devenait écorcherie ! il cognait le soir comme on claque un tiroir ! dans ses relents d'alcool,
Le pélican d'Alfred de Musset, extrait

le pélican d'alfred de musset, extrait

Evelyne Patricia Lokrou Evelyne Patricia Lokrou
Bonjour❤ il y a des œuvres, des textes, des écrits, des citations, des poètes, des écrivains, des poèmes qui touchent au point de les entendre encore et encore. merci donc à ces personnes* qui songent à les conserver, à les présenter à nouveau et à les faire connaitre. ce poème, le pélican , d'alfred de musset en est un exemple magni
Textes récents 2024

Textes récents 2024

Texte présenté tel qu'il est arrivé. c'est donc un premier jet, écrit rapidement puisque j'écris vite. pas de travail dessus. silence il est beau le silence qui abolit toutes les différences parce qu’il est pour tout un chacun comme un sublime écrin en son for intérieur ce cache une lueur qui anime plus que le cœur va au-delà des horreu
Bon week-end

Bon week-end

Evelyne Patricia Lokrou Evelyne Patricia Lokrou
Bonjour❤ bon week-end.💚 profitez de la vie, soyez prudents et vivez!💛 soyez heureux !💗 bon mois de février !😍🌍🌎🌏💌 bon anniversaire à toutes celles et à tous ceux né(e)s dans ce mois.🎁💜🍰💙🍫🖤🎈🧡🍓 🙏merci🙏
Textes anciens années 90

Textes anciens années 90

Le vent toi qui m’écoute et qui peut-être me goûte t’es tu déjà promené avec le nez… levé as-tu un jour pris le temps au détour d’un moment de humer ce présent qui revit le temps as-tu pris ce plaisir de sentir ta peau frémir sous ce souffle endiablé qui te raconte ses années as-tu pris le temps de vivre ce moment où le vent se
Textes anciens années 90

Textes anciens années 90

Contact sur son corps dénudé vibre sa peau marbrée qui se tend tellement elle m’attend et je prends plaisir a voir tout ce désir qui se lance vers moi a la conquête de mes lois une vibration m’envahit me pénètre fait remonter la vie dans tout mon être sur son corps dénudé vibre sa peau marbrée qui accapare la douceur de ses instants
Noël à Bruges.

Noël à bruges.

Duhamel Duhamel
Quand bruges se met au diapason de noël, les rues se couvrent de guirlandes éclatantes, les canaux se languissent aux chants de noël, sous les chapelles flamandes, les chœurs chantent. le beffroi qui chante la ville dans toutes ses cloches, digère en son ventre ses concerts symphoniques, sur tant de passés voués aux seuils de ses porches, so
Textes anciens annéesb90

Textes anciens annéesb90

Le bagne dans ce lieu trop sombre il n’y a que des ombres qui survivent au temps faisant face aux tourments ici tout s’égrène lentement on y compte chaque moment on y voit tous les instants qui ne seront plus jamais vivants ici on paie tous nos méfaits ici on paie ce qu’on a fait chaque jours identiques marqués sur le mur de brique semble
Textes anciens années 90

Textes anciens années 90

Veuillez accepter veuillez accepter ces rose qui marquent ma psychose a ne penser qu’à vous au point de devenir fou et quitte à être fou j’irai maintenant jusqu’au bout en vous disant tout à coup que je suis fou de vous veuillez donc accepter, je vous prie ces rose qui marquent toute l’estime que j’ai pour vous mon intime veuillez acc
Textes anciens années 90

Textes anciens années 90

Epitaphe ii sur cette terre elle vécut les jambes en l’air pour dispenser le plaisir a ceux qui en avaient besoin mais ne la jugez point même si votre moralité se sent frémir a sa façon elle faisait le bien essayant d’en trouver le chemin ce n’était pas une fille facile ni un esprit trop docile mais une femme trop tendre pour encore se
Textes très anciens

Textes très anciens

Silence de nuit dans le silence de cette nuit qui passe j’ai l’impression de vivre en disgrâce face à tout ce qui se passe au dehors lorsque la nuit doucement s’endort je découvre un monde de pensées étranges qui quelque part sûrement me dérange lorsqu’elles amènent avec elles un flot de sensations peut-être trop passionnelles et j
Textes très anciens

Textes très anciens

Qui suis-je ? qui suis-je sur cette terre si ce n’est un éphémère avec des yeux diamants et un regard brûlant qui suis-je sur cette terre si ce n’est un commentaire qui regarde le temps s’écouler et les gens se saouler qui suis-je sur cette terre si ce n’est une partie de l’enfer qui se lit dans la vie qu’à l'envers je maudis qui
Reflets identitaires

Reflets identitaires

christian rabussier christian rabussier
Photo de george frewat: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/femme-blond-fenetres-fenetre-19866050/ dans le miroir, une image floue, un reflet qui questionne, qui ne sait plus, homme ou femme, l'âme en émoi, cherche son chemin, sans savoir pourquoi. les étiquettes pèsent, lourdes et froides, dans un monde qui divise, parfois se dérobe, l'identit
Ces soirs là

Ces soirs là

christian rabussier christian rabussier
Photo de marek piwnicki: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/lumineux-leger-voler-rouge-12966917/ ces soirs-là, où la pluie danse sur les pavés, les gouttes murmurent des souvenirs oubliés, nostalgie d’un temps où les rires résonnaient, où l’affection réchauffait des cœurs égarés. les ombres s’allongent, le silence s’installe, un
Textes très anciens

Textes très anciens

Liberté j’ai fait un voyage extraordinaire tout autour de notre terre mais j’y ai vite découvert le côté qui se lit à l’envers j’ai vu les images horribles de ces gens trop fébriles pour combattre la nature quand elle consomme la créature j’ai imaginé les cyclones et leurs raz de marée croyant toujours rêver d’un monde de clon
Textes très anciens

Textes très anciens

Découverte il est parfois bien difficile de sortir de certaines files pour parler d’autre chose et changer de psychoses les mots se heurtent, incompréhensibles l’idée ne passe pas, inaccessible tout se heurte à l’ignorance qui crée l’étrange dépendance l’esprit se borne à l’apprentissage de tout ce que racontent nos sages et ne
Textes très anciens

Textes très anciens

Illusion il fait sombre dans cette pièce macabre on devine un corps allongé sur le lit sur son visage rien ne se lit on croirait voir un cadavre flamme sur l’allumette fumée de cigarette une silhouette apparaît la flamme disparaît nous nous observons dans le silence frôlant de près la puissante démence qui mène trop souvent notre imagina
Textes très anciens

Textes très anciens

Les gens il y a des gens pas très méchants mais bien trop cons pour parler d’émotions ces gens généralement ne se prennent pas ils restent là et nous regardent bêtement mais parfois il y en a un qui se prend allez donc savoir pourquoi, ça dépend de son pouvoir de persuasion de son complexe de suspicion ils se prennent pour le plus grand
Le peintre, chanteur et baladin Gérard Segear...

Le peintre, chanteur et baladin gérard segear...

Jean-jacques Levesque Jean-jacques Levesque
Gérard segear mon ami gérard est parti, pour toujours le 30 septembre 2024... bien sur, il n'est pas de ceux dont les médias retracent la vie. il ne se souciait pas de ça, d'ailleurs. mais je lui ouvre ce modeste support pour qu'il reste encore un peu avec moi, avec nous. gérard écrivait des chansons, les chantait en s'accompagnant de sa guit
Automne...

Automne...

Paloma Paloma
"rien n'est meilleur à l'âme que de faire une âme moins triste." - benoît duteurtre -
Textes très anciens

Textes très anciens

Mon dieu j’implore souvent ce dieu et je vous vois trop vieux pour comprendre ce bon mot où dieu n’est pas héros ce dieu est trop petit pour vous avoir tout dit et puis s’il y a un enfer nous savons que c’est la terre ce dieu qui doit pardonner tout ce qui a été confessé et qui doit absoudre les âmes de tout ce qu’elles ont d’inf
Textes très anciens

Textes très anciens

Paradoxe toutes nos vérités portent un masque rituel qui s’évertue à nous les rendre plus belles mais elles sont la voix de la sincérité pour nos pauvres êtres dépassés comment pourrions-nous deviner ce qui se cache sous notre nez comment pourrions-nous deviner ce qu’est vraiment la vérité oh ! paradoxe que j’aime ton intox la vér
Textes très aciens

Textes très aciens

A perte de vue mes yeux n’en finissent plus de regarder le temps qui ne cesse de passer et qui me fait souvent rêver a son immense éternité il se love pour m’envoûter pour que je sois le premier a lui faire se rappeler que je ne veux pas de son éternité a quoi bon vivre mille ans et ne cesser de faire des enfants qui, eux-même, plongés
1. La cavale intérieure

1. la cavale intérieure

Enfance sublimée, puberté réprouvée, adolescence déchirée, cavale débridée, émancipation par la fuite. assemblage de pages d’après les cahiers retrouvés. originaux numérisés cavale débridée
2. Réveil en sursaut

2. réveil en sursaut

Réveil en sursaut. les poings de l’enfance enfoncés dans le crâne refrènent la panique et jugulent le cri. grimace de bois tirée entre les oreilles désemparé par l'absence de repères affolé par l’amnésie quotidienne je cherche alentours en guise de mémoire le rictus d’un miroir. le bourdon cogne 6 coups. radio caroline en sourdine.
3. Film en noir et blanc; feat Bauhaus, Marquis de Sade, Joy Division

3. film en noir et blanc; feat bauhaus, marquis de sade, joy division

Au terme terminus d'une traversée du continent poursuite légendaire pari existentiel. ici dans un recoin délaissé tripe de la ville le temps s'étire. cramponné à la barre du comptoir je découvre un autre monde qui contrarie mes lectures compulsives. naïves ? je commande une bière biberon amer. henri exalté par une nouvelle nuit à louche
4. Jojo division feat Joy Division

4. jojo division feat joy division

Une matrone piétine et clame du new order en yaourt à en perdre son dentier. la grande caroline se lâche. je me surprends à déraper sur une bluette à l'italienne. singulier juke box autogéré. les portes ouvertes du mécanisme permettent d'y caser nos propres disques. mais les recettes 5 balles la sélection reviennent à constantin. parmi l
5. Mannaghja di lume

5. mannaghja di lume

Alerta. zitellina. tigliolu in fiori. da l'ombra turchina di u tigliolu mi fala una mannaghja di lume chi si spezza nantu u muru di granitu. lame d'argentu spaccani i vetri di l'imposta francani u purtone e stracciani l'umbralume. a polvera sventuleghja e s'accende. l'effluvi vegetali ansciu di sciroccu primaticciu saturani l'aria trascaldata. da l
6.Tragédien de bistrot

6.tragédien de bistrot

Déporté d’un permeke pa’ surgi d’entre deux cures d’entre deux guerres exhibe balade son chagrin et trois épouses couchées dans la ouate d’un cercueil à roulettes. hilare la pipe au bec les pantoufles gonflées d’œdème cambré sous l’averse il secoue sa trique trompette de la mort aux vaches et pisse au pavé une cascade de cai
7. L'usine à rêves feat Einsturzende Neubauten

7. l'usine à rêves feat einsturzende neubauten

"gardés sous l’édredon des rigueurs de l’enfer les doigts cramponnés au sauve qui peut d’un pater sans tambour ni trompette rêvent les indigènes. dans la nuit éternelle des persiennes bancales des babils des sifflets des accents de détresse tordent les bouches bleues farcies de gardénal. mais déjà s’esquissent les grimaces du rév
8. Ammaistra issu corpu feat Psychedelic Furs, Bauhaus

8. ammaistra issu corpu feat psychedelic furs, bauhaus

Retrospettiva. u celu barbaru s’acannisce. a gola s'irrita a lingua s’impagni. scuzzulatu di crescicori errutu nantu a e pagine grumi grisgi di cerbella. purtatu da u me traccoghju carcassa di carne e d'osse a l'appoghju d'una croccia gamba indurita fughju capu nanzu versu a me stanza oscura trascinendu a u sullaghju patrinnostri di lacrime pre
9. Elle amour fou

9. elle amour fou

Les doigts gourds agrippés à la moiteur des deux roupettes la nuque encombrée d’un rêve de brique la conscience défaite par l'alcool je chavire et capote. en pleine lumière. les yeux clos scellés par une douce fièvre. allongé à même le sol ébranlé par les secousses d'un sommeil paradoxal extraordinaire je retiens mon souffle. l’ind
10. Entre deux eaux deux bières feat Metal Urbain

10. entre deux eaux deux bières feat metal urbain

Bravade improvisée litige de comptoir exalté par l'alcool. face à une meute de skins exaspérés par mon intrépidité elle s'interpose me ceinture et m'emporte dans sa piaule. une nuit à déclarer nos légendes confesser nos démons et puis nos corps qui s'explorent s'apprivoisent s'épousent et s'effondrent en larmes. encore entrelacés à l'
11. Incasinatu

11. incasinatu

Ritornu a u paese di cucagna. mufraghjinu scostu per disgrazia delle corse incantate sotta la sciappittana. caprettu troppu prestu stittatu di chjassi di fiumicelli e d'allegria piattu u me disperu a l'ombra di a bibliuteca familiale. incasinatu chjustratu cum’e minna. custrettu a l’esiliu internu sbanditu inchjustratu in la mia camera nera di
Au chant des étoiles...

Au chant des étoiles...

Paloma Paloma
"la société a besoin de poètes, comme la nuit a besoin d'étoiles." - stanislas de boufflers / pensées et fragments -
Sans bruit...

Sans bruit...

Paloma Paloma
"les poètes sont des oiseaux, tout bruit les fait chanter." - chateaubriand (mémoires d'outre-tombe) -
Lumière...

Lumière...

Paloma Paloma
"l'ange est le musicien du silence de dieu." - dominique ponnau -
Poème écrit pour moi...

Poème écrit pour moi...

Régis Régis
Ce poème a été écrit pour moi, par régis : https://au-plaisir-secret.over-blog.com/ merci à lui ! les ailes des rêves, un chemin vers demain, aux confins de la nuit, où les rêves prennent vie, dansant avec les étoiles, sous le voile de l'infini. un monde où le temps dévoile, des merveilles inassouvis, où chaque image est un message, un
Nostalgie...

Nostalgie...

Paloma Paloma
"la nostalgie c'est le désir d'on ne sait quoi..." - antoine de saint-exupéry (terre des hommes) -
Silence...

Silence...

Paloma Paloma
"le silence a le poids des larmes." - louis aragon - le silence, plein à ras-bord, lâche des mots d'or sur la page blanche du jour qui flanche. poussière des étoiles au ciel sans flamme, ode à la lune, les mots s'embrument...
Un petit verre d'eau? y'en a plus!

Un petit verre d'eau? y'en a plus!

Jean-Jacques Levesque Jean-Jacques Levesque
« je bois devant vous un verre d'eau précieuse" rené dumont : élections présidentielles ,1er tour - 19.04.1974 -------------------------------------------------------------------------------------------- cela coule de source...( jean-jacques levesque) la nature en sourdine murmure, vous ne serez jamais dans ma démesure ce que vous m’inflige
Solitude...

Solitude...

Paloma Paloma
"il n'y a plus de solitude là où est la poésie." - charles-ferdinand ramuz -
Le chemin...

Le chemin...

Paloma Paloma
"dans l'obscurité de la lune, nos rêves éclairent le chemin." - de anonyme - où me mènera ce chemin ? je voyage encore vers le beau et j'y retournerai demain pour lâcher ce fardeau. que la vie soit chagrin, je prendrai ce cadeau qui mène aux rêves sans fin et brise le cahot...