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11/08/2015
Articles récents de cette communauté
D.r. un appui a ux plus sombres de nos jours nous cherchons un appui, quelque chose qui nous donne un peu plus de courage d’être, malgré toutes les dénégations où nous mène la pensée. derrière nous nous laissons beaucoup de scories et détritus, comme au bas non balayé de cet escalier stagnent morceaux supposés de feuilles mortes, d’a
D.r. en smoking u n blanc si pur, et un noir qui l’est tout autant, ont sans doute une élégance qui solennise le moment de leur apparition. les fleurs ont revêtu leur habit du dimanche, du moins dirai-je cela quand cette expression avait du sens, car l’époque actuelle me paraît délibérément plus négligée qu’endimanchée. disons que
D.r. autres soleils s’ il est vrai que le soleil ne se peut regarder en face, illustrant le danger qu’il y a dans toute théophanie, au moins pouvons-nous le voir ici reflété et éparpillé en innombrable petits soleils, à la surface de l’eau, sur fond de plis colorés, formant une sorte de dentelle marine. de même, nous voudrions dans no
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait d'un tome de mon dernier ouvrage petites méditations photographiques ( 5 volumes parus) :
d.r. voilements u n voilage comme celui-ci tamise la lumière, et rend l'atmosphère plus douce. il appelle aussi la caresse de la main, joignant d'une façon particulière l'haptique à l'optique ...
D.r. automne l e lieu est dépouillé de présence humaine, au moins visible. le banc est vide, et troué d’infinie absence. le buste au fond est tout ce qui reste d’un personnage aujourd’hui disparu, si illustre peut-être qu’il ait été en son temps. mémorial dérisoire, rapetissé encore par la distance et la perspective. tout autour c
D.r. voilements u n voilage comme celui-ci tamise la lumière, et rend l’atmosphère plus douce. il appelle aussi la caresse de la main, joignant d’une façon particulière l’haptique à l’optique : regard et toucher ici doivent se garder de toute intrusion brutale. ils doivent être effleurants, plutôt que prédateurs. c’est là, me sem
D.r. cages p ersonne ne voudrait s’y trouver, je pense, pas plus qu’enfermé en cellule, incarcéré sans possibilité de sortir. ce sont pourtant des cages, ou des cellules, juxtaposées et empilées, que je vois dans cette photo. elles sont toutes identiques, pressées les unes contre les autres, au point qu’on peut penser aussi aux alvéol
Nos larmes distillent nos émotions. nos larmes sont nos armes de vies.
D.r. la plénitude du vide c ette photo montre bien ce qu’on pourrait appeler les étages de la vision. ils correspondent à des couleurs différentes, qui se superposent par plans gradués, répartis selon l’éloignement du sujet. la forêt du premier plan est foncée et quasiment noire. la première montagne dans l’ordre de proximité est d
D.r. le crépuscule des dieux l ongtemps l’église a été habitée. s’y pressaient des gens pleins de foi et de ferveur, qu’avait attestées l’édification même du bâtiment, parmi des milliers d’autres : bibles en pierre. qu’en est-il aujourd’hui ? le lieu de culte n’est plus guère fréquenté, beaucoup moins en tout cas que ces
Une fleur ouvre ses pétales, et l’univers fleurit avec elle.
à partir de l’image ci-dessous : préparez un fond avec des verts de tonalités et de valeurs variées, des rouges, des roses, des jaunes jusqu’au blanc. après séchage, recouvrez de colle à papier-peint puis aussitôt après d’un mélange de noir et de vert. ensuite, raclez a
D.r. paréidolie c’ est le fait de reconnaître quelque chose de déjà vu dans ce qu’on voit pour la première fois. ainsi dans ce tronc d’arbre, tel qu’il est cadré, le trou visible dans l’écorce et le bois peut faire penser à un œil, et ensuite la tête peut être mentalement recomposée : personnellement je vois, me fixant, celle
D.r. look down ! m ais si haut que nous voulions monter dans notre recherche de l’idéal et notre refus de la prose de la vie, nous ne pouvons faire que nous ne puissions chuter à telle ou telle occasion, au point de finalement ne plus pouvoir nous reconnaître. on l’a déjà constaté : l’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut q
D.r. look up ! l e propre de l’homme, selon ovide, est de lever la tête et de contempler le ciel. les animaux ordinairement ne le font pas, et avancent tête baissée, occupés qu’ils sont exclusivement aux choses de la terre. le ciel ne les retient pas, ainsi que les préoccupations philosophiques ou métaphysiques qui s’y rattachent. cette
D.r. entourés c ouple marchant sur la plage devant la mer. cette légende semble s’imposer, neutre et objective apparemment. pourtant elle n’a rien à voir avec une vision sensible : c’est une reconstruction intellectuelle. telle qu’on la voit dans cette photo, la mer se dresse verticalement devant la vue, comme un mur, un tableau peint, o
D.r. contraste d errière la supplication de l’arbre mort se dresse, avec une beauté qu’on ne voit qu’aux peintures, un somptueux crépuscule ennuagé. et je vois là un grand contraste, sur lequel je veux méditer un peu. il faut que l’herbe pousse et que les enfants meurent. le poète dit bien que la nature est absolument impassible face
D.r. mirage ? c ertaines photographies sont bien trompeuses. qu’est ce qui empêche de voir ici un désert avec ses dunes, photographié d’en-haut par un avion, avec en fond, très loin, le trait bleu d’une mer ? pourtant la prise de vue a été faite en photographie rapprochée, le premier plan ne se situant qu’à quelques centimètres du
D.r. élans i ls ont quitté le ponton qui les rattachait à la terre ferme, pour prendre leur envol. vers où, je ne sais. mais quelle leçon vais-je tirer de leur élan ? qui n’a rêvé de partir, pour échapper à un quotidien banal ou désespérant ? nous vivons mal en notre propre compagnie, et il nous semble toujours que l’herbe ailleurs
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait d'un tome de mon dernier ouvrage petites méditations photographiques (4 volumes parus) :
d.r. la beauté des choses q ue recherchent les humains ? la tentation de certains est de se valoriser par leur réputation : parmi eux même quelques uns courtisent la gloire. mais ils ne comprennent
D.r. la beauté des choses q ue recherchent les humains ? la tentation de certains est de se valoriser par leur réputation : parmi eux même quelques uns courtisent la gloire. mais ils ne comprennent pas qu’ils sont alors dans une totale dépendance vis-à-vis d’autrui. ce sont là simples valeurs de représentation, et elle est très peu sûr
D.r. à portée de main l es fleurs de laurier-rose se laissent ici facilement toucher, envahissent le champ de vision. nous les voyons pourtant d’habitude à une plus grande distance, tant nous nous protégeons de monde par la vision éloignée seule, à la différence des animaux qui n’éludent pas le contact où les invite leur instinct ! pr
D.r. terre et ciel c e sont nos deux demeures. et l’arbre les figure à merveille, solidement planté dans le sol dont il tire sa substance par ses racines, et d’autre part tendant irrépressiblement vers un ciel visible entre ses branches, comme autant de clairières défiant notre obscurité. aussi nous est-il extrêmement proche, et nous inv
D.r. éphémère éternité l es rayons obliques du soleil frappent-ils quelques brins d’herbe, et me voilà heureux. peu de chose me suffisent, dira le lecteur. tans pis ! quand on se contente de peu de chose, un rien suffit. et quand un rien suffit, on n’a pas besoin de grand-chose... sérieusement, je vois dans la splendeur de ces modestes i
Une brocante stellaire, avec tous les objets récupérés ici & là, dans les débris de vaisseaux égarés, où les anneaux flottants d'astres lointains. a proximité il y a toujours une buvette pour se délecter du breuvage des borogoves.
D.r. improbables u ne plante poussant sur un toit... en pastichant robert desnos, je dirais volontiers que ça n’existe pas ! et pourtant, toujours en pensant à la fin de sa comptine, j’ajouterais : et pourquoi pas ? en tout cas je viens d’en voir deux démonstrations, sous forme de deux touffes fleuries, installées sur mon toit, et apparem
D.r. liberté q ui ne s’est senti prisonnier, et qui n’a voulu se hasarder un jour au-delà des barreaux de sa geôle, comme le font ces fleurs, au moins telles que je les imagine ? innombrables en effet sont les liens qui entravent notre liberté. l’enfant d’abord s’y heurte, puis l’adulte qu’il devient plus tard. que ne pouvons-nous
D.r. lumières n ous les cherchons toujours dans l’obscurité de nos vies, pour nous y éclairer et aussi peut-être nous y réchauffer. comme la petite marchande d’allu mettes du conte célèbre, qui se réchauffe de ses petites flammes, tant qu’elle peut en disposer. mais malheureusement vient un moment où elle ne le peut plus, et où elle
D.r. paix c’ est il me semble un des plus beaux mots qui soient. ce n’est pas pour rien que dans le monde sémitique elle est à la base de toute salutation : shalom , salam . pris au sens profond et non formel, sans salamalecs , le mot désigne ce qu’ultimement on peut espérer dans toute vie. je sais bien que d’autres aspirent à autre ch
D.r. désirs flous l e feu est très difficile à photographier de façon nette. les flammes bougent si vite qu’elles dépassent pour être fixées la vitesse d’obturation d’un appareil standard, comme ici. j’espère donc que mon lecteur ne m’en voudra pas du flou de cette photo. mais au fond il me semble que ce flou même peut servir ma
D.r. ce que disent les fleurs s ouvent leur salut nous réconforte. il nous dit que la nature l’emporte sur toutes les déconvenues, qu’elle est là pour nous accueillir, si graves que soient les renoncements que nous consentons, les échecs que nous subissons, les deuils qui nous frappent. si tout change pour nous, elle est toujours la même.
D.r. fétus b ientôt ils seront fondus, et de leur pureté il ne restera rien. mais précisément c’est à cause de leur côté éphémère qu’ils sont précieux et nous touchent. ils nous donnent une leçon : la beauté ne dure pas, et tout est promis à la disparition. aimez ce que jamais on ne verra deux fois. quand on comprend, comme le bo
D.r. quoi derrière ? o n nous a prévenus sans doute, pour nous édifier, qu’au terme de toute attente et de tout chemin s’ouvre une porte, et qu’il faut se tenir prêt à la franchir. un jugement peut-être se tient au-delà, qu’il faudra affronter avec une âme pure. ou bien encore, pour nous consoler, on a pu nous dire qu’une issue se
Parceque l'été c'est aussi la saison des mariages... voici une commande d'arbre à empreintes réalisée au stylo feutre et posca.
dessin sur feuille 40 x 50 cm ~ feutres et posca
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait d'un de mon dernier ouvrage petites méditations photographiques (4 tomes parus) :
je reprends aujourd'hui l'alimentation de mon blog. veillez noter cependant des anomalies possibles dans l'édition et l'affichage des articles, suite à ma connexion internet qui est défaillante ...
Je reprends aujourd'hui l'alimentation de mon blog. veillez noter cependant des anomalies possibles dans l'édition et l'affichage des articles, suite à ma connexion internet qui est défaillante et en attente d'être réparée. d.r. calme et violence l a vague se dresse, se cabre, face à une force qui s’oppose à elle, la fustige, insère une
D.r. la maison du berger d u proche au lointain s’élève le regard. d’abord le champ, sur lequel est posée l’abri du berger, lui aussi couvert d’herbe. ensuite la vaste plaine en contrebas, avec en transition la forêt sombre. enfin la montagne bleue, surmontée d’un embryon de nuage. là est tout ce qu’on voit. derrière, il y a ce q
Nouveau petit brin de bonheur a trouvé preneur 🍀 📍oise, hauts-de-france
trèfle et faux bois réalisés sur toile 19x24cm ~ peinture acrylique
D.r. dans une forêt obscure a u milieu du chemin de notre vie, je me trouvai dans une forêt obscure, car la voie droite était perdue... ce début de la divine comédie me vient à l’esprit en regardant cette photo. à moi aussi est arrivée cette aventure. je me croyais parvenu au sommet de mon parcours, possesseur de tout ce que je pensais m
D.r. le temps qui reste o n va et on vient, et on pense qu’on pourra le faire toujours. le temps n’est pas mesuré. on est immortel. certains signes, pourtant, pourraient nous alerter sur la brièveté de notre séjour ici-bas. ainsi la vision de ce bâton d’encens qui en se consumant défait petit à petit sa présence. la fumée s’élève
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait de mon dernier livre petites méditations photographiques :
d.r. savoir et connaissance l ongtemps j'ai voulu savoir, et le plus possible de choses. elles reposent, bien rangées, dans mes dossiers, et dans ma mémoire. mais maintenant je vois les limites d...
D.r. savoir et connaissance l ongtemps j’ai voulu savoir, et le plus possible de choses. elles reposent, bien rangées, dans mes dossiers, et dans ma mémoire. mais maintenant je vois les limites de cette ambition intellectuelle. je vois qu’à chaque idée s’en peut opposer une autre, toute contraire, et tout aussi vraie, si l’on en change
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait de mon dernier livre petites méditations photographiques :
d.r. écriture a u bord de l'eau s'écrivent les roseaux. hachures et stries semblent défier l'écoulement qu'elles biffent. quel besoin ont-elles d'ainsi s'interposer ? ne peut-on simplement ...
D.r. écriture a u bord de l’eau s’écrivent les roseaux. hachures et stries semblent défier l’écoulement qu’elles biffent. quel besoin ont-elles d’ainsi s’interposer ? ne peut-on simplement s’effacer, et laisser aller toutes choses, au fil du courant ? quel besoin aussi d’écrire ? ne peut-on se laisser porter par le courant de l
D.r. vie éternelle u n clocher surmonté d’une croix renvoie à l’église qu’il surplombe, et qui incarne la religion chrétienne – cette dernière ne faisant à son tour qu’incarner des textes qu’elle dit sacrés. cette cascade d’incarnations et de renvois ne serait-elle pas utile pour amorcer une méditation ? en tout cas elle l’
D.r. le ciel sur la terre a près la pluie, le ciel s’ouvre sous les pieds du marcheur, reflété dans les flaques d’eau. dans nos vies hésitantes, déséquilibrées à l’image de cette photo, elles sont comme des signes à voir autre chose, comme clairières dans une forêt, qui permettent l’issue. il ne faut pas ignorer ces moments où e
D.r. la belle et la bête d e la fête d’été en ma petite ville camarguaise j’ai ramené cette photo, où je vois maintenant une signification symbolique, je dirai même archétypale. il me semble qu’elle définit bien les rapports de l’être humain avec l’animalité. et je repense à un logion de l’évangile selon thomas : heureux es
D.r. quoi de plus ? l es hommes vont et viennent, poursuivent leurs buts lointains, s’y donnent entièrement, sans réfléchir à ce qu’ils sont réellement. ils se fuient dans l’agitation constante. éloignés d’eux-mêmes, ils ne prêtent aucune attention à ce qui pourrait les y ramener. l’oiseau peut-être, perché sur son fil ? image
D.r. dans la chaleur de l’été c ertaines journées d’été dans mon midi natal sont si étouffantes et accablantes que l’on n’y supporte pas la grande lumière du dehors, et qu’on s’en protège en rapprochant les volets. le temps semble suspendu. éternité seulement troublée parfois par le vol de quelques insectes. l’impression es
D.r. la mort heureuse t out ce qui se finit donne il me semble une impression de sérénité. ceux qui y voient du tragique ne sentent pas le grand apaisement qui vient toujours d’une tâche accomplie. ils ne pressentent pas qu’après toutes les luttes de la vie on doit enfin doit rendre les armes. il en est temps, toutes les épreuves, victoir
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait de mon dernier livre petites méditations photographiques :
d.r. surface et profondeur dialogue - j'aime la robe des choses, la volubilité des phénomènes, la splendeur de l'apparence. je sais bien qu'au-dessous de la surface d'autres choses se laissent voir
D.r. surface et profondeur dialogue – j’aime la robe des choses, la volubilité des phénomènes, la splendeur de l’apparence. je sais bien qu’au-dessous de la surface d’autres choses se laissent voir, différentes et peut-être menaçantes. ici elles sont floues et je m’en accommode. elles ne font que mettre en valeur celles qui seules
D.r. le pas de côté n ous courons sans cesse çà et là, l’esprit obnubilé de pensées, de buts à atteindre, de projets d’avenir. et pendant que nous nous donnons à des chimères, la vie s’écoule, inexorablement. c’est une constante fuite en avant, qui condamne à une insatisfaction sans fin. n’obtenons-nous pas ce que nous désiro
D.r. ivresses s elon un proverbe arabe, les trois meilleures choses de la vie sont le dos d’un cheval, le corps d’une femme, et la lecture d’un livre. je laisserai évidemment la première, n’ayant pour l’équitation qu’une médiocre capacité. mais je suis absolument d’accord pour les deux suivantes. tout bascule obliquement dans cet
Voici, mis sur mon blog artistique, un extrait de mon dernier livre petites méditations photographiques :
d.r. ivresses s elon un proverbe arabe, les trois meilleures choses de la vie sont le dos d'un cheval, le corps d'une femme, et la lecture d'un livre. je laisserai évidemment la première, n'ayant...
La vie n'est longue pour personne, la seule question c'est d'en faire quelque chose
vue sur le jardin depuis la chambre de van gogh au monastère de saint paul de mausole à saint rémy de provence. photo: marinelle balade photos du mois de décembre 1888 à mai 1890, vincent van gogh fut interné à plusieurs reprises pour raisons de santé. autor
D.r. attente i l est étrange comme un espace vide semble toujours n’être que provisoire, et susciter l’attente de quelque chose ou de quelqu’un qui vienne le combler. cela est vrai de la disparition des êtres. le mot mort ne dit rien, mais une chaise vide dit tout. qu’attestent les chaises de ce bar ? une inhabitation passée ? l’atten
D.r. pensées d ans tout ce qui nous est donné nous n’avons que le choix du refus ou de l’accueil. et, si nous optons pour ce dernier, de la disposition et de la mise en scène. ce qui dépend de nous n’est pas le quoi , mais le comment . par exemple celui que visite l’amour n’a pas d’autre liberté que celle d’organiser son histoire
D.r. sur fond de nuit s ur fond de nuit se découpe la fenêtre, comme aussi notre vie. il y a eu la nuit qui a précédé notre naissance, et il y aura celle qui suivra notre mort. et pendant ce si bref instant qu’est notre vie, bien souvent on ne voit en elle qu’absurde et chaos. amère leçon de l’existence : un bref instant de non-sens en
Remise en état de quelques portes de service. 📍hôtel du louvre ~ paris
porte et bâti ~ peinture acrylique satinée
D.r. solitude i l faut l’aimer, et s’y trouver bien. au reste ne peut-on lui échapper : elle imprime sa marque à notre condition. il y a ceux qui luttent contre elle, dans une fuite incessante hors d’eux-mêmes, et il y a ceux qui l’accueil lent avec bonheur, s’y retrouvent et réunissent. du plus loin que je m’en souvienne, j’ai to