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Cette communauté a pour objectif de rassembler des articles en rapport avec l'Art. .......................................................
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11/08/2015
Articles récents de cette communauté
D.r. sur le mur gris des jours... q ui n’a été meurtri par la monotonie des travaux et des jours ? tourner en rond comme un cheval de manège, dans le même décor, avec les mêmes gestes, infiniment répétés : est-ce une vie cette vie qu’on vit ? poser, mettre, enlever, marcher, aller, dormir... tout cela excède toute patience. rien de no
La vision artistique s'oppose à la vision utilitaire :
vision utilitaire et vision artistique.
D.r. escalier n ormalement un escalier sert à monter, ou à descendre. mais c’est là une vision étroitement utilitaire, finalisée. on peut au contraire en préférer une autre, telle ici celle d’un fragment avec rayon de lumière, en clair-obscur. alors la vision est désintéressée, définalisée, elle est subordonnée à une perception u
D.r. still life ii n ous sommes dans ce monde des promeneurs paresseux. nous ne regardons pas les choses, nous les mettons simplement à notre service. et focalisé sur l’utile, notre regard est aveugle à l’essentiel. pour nous, une lampe n’a de fonction que de nous éclairer. nous ne voyons pas le halo lumineux qu’elle fait sur un plafond
D.r. still life i d epuis toujours j’ai voulu connaître les choses. en pensant l’éclaircir je me suis protégé de la vie derrière une forteresse de livres. qu’en ai-je retiré ? certes une certaine capacité à bien figurer sur le grand théâtre, à séduire à peu de frais des auditoires consentants, à porter le masque qu’on attendai
Je vous annonce la parution, chez bod, de mon denier livre humour et sourire. en voici la présentation en quatrième de couverure : ce livre ne se contente pas d'exposer quelques caractéristiques de l'humour. il s'applique à montrer ce que l'humour peut combattre, par exemple un sentiment de déception devant une vie hétérogène et mêlée alo
6mm,perle ronde citrine,quartz jaune pierre fine,trou 1mm,fourniture bricolage mercerie,diy bijou ethnique,lithotherapie bien etre therapie, solaire abondance équilibre, c'est une pierre bénéfique, astrologie, bélier, taureau, gémeaux, lion, vierge, pour créer bracelet, collier pendentif boucles d'oreilles,scrap décoration, vente au détail,
D.r. forêt n e te leurre pas : tu as toujours eu peur, depuis l’enfant qui redoutait le noir, jusqu’à l’adulte que tu es devenu, et qui s’alarme pour un rien. prends donc exemple sur le marcheur en forêt. il y voit l’alternance des lumières et des ombres, image même de la vie, symbole d’une ambivalence générale qu’il faut accep
D.r. liquéfactions j e ne crois pas que la liquidité soit ce à quoi l’on aspire naturellement. bien plutôt valorise-t-on au contraire le solide, le permanent (croit-on), en somme l’inexpug nable. le stoïcisme chez nous a beaucoup fait pour vanter la lutte, l’énergie, et au roseau qui plie nous préférons sans doute le chêne qui résis
L'ombre symbolique qui toujours nous accompagne :
apprivoiser l'ombre en soi.
D.r. ombre i l y a une ombre symbolique qui nous accompagne pendant toute notre vie. elle se nourrit de tous nos échecs, de tous nos regrets, de tous nos refoulements. c’est la part non choisie de tous nos choix. quand j’étais enfant, je n’avais pas encore d’ombre, car je n’avais encore rien choisi, donc rien exclu, et donc rien refoul
D.r. toujours fut pareil... l ongtemps j’ai cherché à lire du sens derrière les choses, je me suis exercé à y voir comme des allégories, pensant qu’elles disaient autre chose qu’elles-mêmes ( allo agoreuein ). et encore aujourd’hui je le fais bien volontiers. c’est là une part de moi-même, que je relie à mon enfance, où j’ani
D.r. photophore l e bonheur est une bulle de savon qui éclate au moindre contact. vouloir le connaître est le perdre, comme il se voit dans l’histoire de psyché. quel besoin avait-elle d’aller voir la figure de son amant, éros (ou cupidon) ? leur pacte était qu’elle ne cherchât pas à le voir, et elle était heureuse ainsi. pourquoi alo
Chercher l'épure en toutes choses :
d.r. simplicité q ue de choses nous encombrent, et nous détournent de nous-mêmes ! en vérité nous ne sommes pas ce que nous sommes : notre essence profonde n'est pas notre vie accidentelle ...
D.r. simplicité q ue de choses nous encombrent, et nous détournent de nous-mêmes ! en vérité nous ne sommes pas ce que nous sommes : notre essence profonde n’est pas notre vie accidentelle, surchargée d’inutile. pour accéder à ce que nous sommes vraiment, au royaume de l’enfance que nous avons quitté, et qui nous attend désormais à
D.r. satori c e mot désigne l’illumination dans le bouddhisme zen. elle n’est jamais préparée, et une fois survenue l’éveil du méditant est complet. j’ai moi-même eu à certains moments particuliers de contemplation le sentiment que quelque chose d’essentiel m’était révélé, au sens étymologique de ce mot : soulèvement du voi
La voie lactée est aussi l'espace de nos émerveillements de l'enfance et ses jeux.
D.r. la vie malgré tout bien étonnant comme sur l’aridité du sable s’accroche la vie... j’ ai écrit ce haïku après avoir photographié, sur la plage, ces tiges de roseaux poussant de façon improbable sur un sable apparemment dépourvu d’eau. le symbole immédiatement est venu à mon esprit d’une résilience constante de la vie dans
D.r. une lumière dans la nuit j’ aime bien souvent inverser les proverbes, dont pourtant on nous dit qu’ils sont la sagesse des nations. elle est bien fragile, cette sagesse, quand on peut trouver un sens à l’exact contraire de ce qu’elle nous dit. ainsi au lieu de dire : « on ne peut pas être et avoir été », je propose de dire : «
... simplement le cours de la vie :
le blog artistique de michel théron menu vixi et quem dederat cursum fortuna peregi... virgile l y a une sorte de mélancolie à contempler les signes habituels des fêtes, comme ici l'illuminatio...
D.r. fêtes vixi et quem dederat cursum fortuna peregi... virgile i l y a une sorte de mélancolie à contempler les signes habituels des fêtes, comme ici l’illumination d’un sapin de noël. certains s’attendrissent sur leur passé, d’autres déplorent son contraste avec le présent. d’autres enfin insèrent ces souvenirs dans une médit
D.r. un rai de lumière q uand j’étais enfant, je ne pouvais m’endormir le soir, dans le noir de ma chambre, sans que filtrât au moins un rai de lumière au-dessous de ma porte. il me rassurait, en me certifiant qu’une présence humaine était derrière lui, propre à combattre pour moi tous les démons de la nuit. et maintenant, devenu adu
…l’art d’apprécier ce qui est, si étonnant et imprévisible que soit le présent donné, plutôt que sans cesse se lamenter sur ce qui n’est pas, et ne sera peut-être jamais. l’infiniment simple a une saveur d’éternité dont la vie, dans une patience toute maternelle, nous invite chaque jour, chaque heure, chaque minute, à goûter
D.r. dans mon enfance... j’ ai eu très tôt la vision d’instants lumineux et privilégiés , où, le temps étant suspendu, j’ai goûté l’éternité. me l’ont fait pressentir par exemple, comme l’illustre ma photo, les oliviers de ma campagne méridionale, sous un ciel sans nuage et balayé par le mistral. cela ne peut, je crois, m’
D.r. testament à l’enfant que j’étais et à l’adulte que je suis devenu n e crains pas le chaos. il est l’image de ta vie. aussi loin que tu y penses, y as-tu senti quelque ordre qui dure ? abandonne-toi à ce que tu vois. de toutes les formes mouvantes et changeantes du monde tu tires ton être et ta substance. pour un instant d’étern
L es médias ont mentionné les sauvages destructions opérées par les fondamentalistes islamistes en irak, tant au musée de mossoul que dans les précieux sites archéologiques. l’unesco a même parlé à ce propos d’« actes de guerre ». le cœur se serre évidemment à cette disparition d’un irremplaçable patrimoine. elle s’explique,
D.r. château ruiné o n aura compris à la lecture de ces pages qu’elles sont un reflet de mon itinéraire personnel, depuis l’enfance où certains moments de grâce me furent donnés, jusqu’à l’âge adulte où je m’en souviens et voudrait y faire retour, pour réunifier les fragments épars ( membra disjecta ) d’un monde désormais c
D.r. âme brûlée... l a latitude de pose d’un appareil photographique (qu’il s’agisse du film en argentique, ou du capteur en numérique) est loin d’être la même que celle de l’œil humain. dans cette photo, le premier plan n’est qu’en partie correctement exposé, à gauche. la partie droite en arrière-plan est surexposée, ou co
D.r. un horizon de lumière l e buisson épineux fait obstacle au regard, qui naturellement voudrait s’abreuver à l’horizon incendié par le soleil couchant. sans doute préférerions-nous que disparaisse cet obstacle. mais, hélas, il est là, comme grilles d’une prison, et bien présent. il représente pour moi tout ce qui peut empêcher d
D.r. traces sur la chevelure du sable un collier de traces cicatrices d’un chemin la vie... l e sable est naturellement inhospitalier, et suggère la vision d’un désert. ce dernier, pris métaphoriquement, suggère à son tour l’image d’une vie désertique, c’est-à-dire abandonnée, privée de l’essentiel. quelque chose comme cet éta
D.r. brisure une menace rôde une fissure dans nos vies les plus rangées dans tout ce qui nous tient et nous dirige dans toutes nos rampes d’appui où chercher protection et refuge inséparable nous guette l’éclair zigzaguant de la brisure projetée au sol p our le photographe, les ombres sont souvent aussi importantes que les objets eux-mêm
D.r. éclats é clats de lumière sur éclats de bois... l’attention s’y porte, puis la méditation. il est des occupations plus méprisables... on ne voit dans ma photo ni l’arbre dont vient le bois, ni la source de la lumière. on n’est réduit qu’à des éclats, des fragments, des bribes si l’on pense au langage. la totalité a dispa
D.r. tant que sommes vivants... dum vivimus, vivamus. ...q ue peut-on rechercher alors ? sera-ce la grandeur, la gloire ? mais la notoriété n’est pas la supériorité. la première ne s’obtient pas toujours par des moyens recommandables, tandis que la seconde n’a pas besoin de s’afficher au-dehors. en outre, la gloire asservit au regard d
D.r. nuit fanaux lucides pour désert vide j’ ai fait cette photo en pensant aux films d’antonioni, par exemple à la nuit . dans l’errance nocturne en ville on peut avoir, si le lieu est totalement désert d’êtres humains, une impression de vide absolu, qu’on peut bien appeler métaphysique. mais je ne suis pas sûr, comme peut-être la
D.r. flux et reflux q uand j’étais enfant, j’aimais les jeux répétitifs, et je trouvais une satisfaction dans le retour des mêmes choses. puis, en grandissant, et sans doute sous l’influence des adultes, je me suis dit que le sens de la vie pouvait décidément n’être pas dans ce schéma répété aussi simple, et résider ailleurs, da
D.r. spectacles c ertains de ceux que nous donne la nature sont saisissants. ils peuvent même créer en nous une impression de numineux, si l’on entend par là le frisson qui nous prend à seulement contempler leur majesté. le sentiment du sacré vient de là, selon certains, ainsi que l’origine des dieux. c’est peut-être le cas ici de la
D.r. quoi dessous ? u n enfant voit naturellement le décalage qu’il peut y avoir entre un discours et un comportement. s’il s’amuse souvent, sur ce point il ne s’abuse jamais. mais l’adulte ne s’en rend pas compte, et croit se présenter aux autres avec une personnalité monolithique. ce en quoi évidement il se trompe. en société il
D.r. intérieur p our beaucoup une fenêtre ouvre sur le monde extérieur, vers lequel elle dirige le regard, en pouvant inviter à sortir de chez soi. plus rares sont ceux qui, comme moi ici, grâce à un voilage tamisant la lumière et à son reflet dans le miroir d’une psyché, contemplent seulement, immobiles, l’intérieur de leur pièce. t
Petite méditation sur les vraies richesses :
le blog artistique de michel théron menu et tout le reste... et tout le reste... naître, grandir, vieillir, attendre la mort... qu'y comprendre ? lutter, s'affirmer, envier les autres ou les ...
D.r. et tout le reste... et tout le reste... naître, grandir, vieillir, attendre la mort... qu’y comprendre ? lutter, s’affirmer, envier les autres ou les écraser... puis regretter le passé. toutes les occasions manquées, toutes les illusions mortes... expérience du néant... mieux vaut croire à l’instant présent, où la moindre et plu
D.r. monde perdu c ette croix à un carrefour balise mes promenades ordinaires, près de chez moi. d’habitude elle me sert simplement de repère, mais un jour j’ai pensé à ce qu’autrefois elle a signifié, et je l’ai photographiée. le sens en est, pour les chrétiens, le supplice salvateur du christ. mais l’usage que j’en ai fait de
D.r. étoiles il se fit celui qui dissipe en conséquences, son principe, en étoiles, son unité... paul valéry a ux yeux de l’enfant et de l’artiste ce qu’on appelle d’habitude des illusions d’optique sont des vérités. tels ces jeux de lumière sur le sable de la plage et à la surface de l’eau. ce sont des apparitions magiques, de
D.r. le courage d’être sous l’infini des nuages s’accroche la vie dans son infini de solitude. toute tempête peut la déraciner. mais son délaissement résiste face au ciel. une leçon nous est donnée : celle du courage d’être. j’ ai fait cette photo sur un chemin de montagne, à plus de 2000 mètres d’altitude, entre l’andorre e
Le vrai voyage est intérieur :
le blog artistique de michel théron menu aime beaucoup visiter les ports, arpenter les quais, et rêver aux gréements des bateaux, à leur géométrie compliquée et invitante, animée par le ven...
D.r. voyage j’ aime beaucoup visiter les ports, arpenter les quais, et rêver aux gréements des bateaux, à leur géométrie compliquée et invitante, animée par le vent. mais aurais-je un jour vraiment envie du voyage, à quoi ils semblent m’encourager ? je ne le crois pas. cela ne tient pas au fait que, vivant pourtant près de la mer, je s
Semaine precedente & agenda culturel saint denis d'avril video de la manifestatoin violente du 13 avril video des manifestations autour de la sorbonne lycee buffon 13 avril lundi 17 avril : a paris 8 saint-denis 12h00 au carré rouge - ag de l’ufr arts 13h30 dans le hall de la fac - rassemblement vaidation automatique pour tout.e.s 14h00 à 16h00
Sur un coin de table le bâton d'encens défait lentement sa présence. la fumée qui s’élève poignarde l'obscurité. la vie défie le néant et se consume avant que de finalement s'éteindre :
D.r fumée sur un coin de table le bâton d'encens défait lentement sa présence. la fumée qui s’élève poignarde l'obscurité. la vie défie le néant et se consume avant que de finalement s'éteindre. i l est des photos qui semblent figurer notre destin. celle-là en est une il me semble. notre vie est comme cette fumée qui affronte la nuit
Un jardin sous le vent peut donner naissance à des visions fantastiques, et vérifier la phrase paradoxale et provocatrice de baudelaire : la nature est laide et je préfère les monstres de ma fantaisie à la trivialité positive. - vidéo de 3'36" :
Un jardin sous le vent peut donner naissance à des visions fantastiques, et vérifier la phrase paradoxale et provocatrice de baudelaire : la nature est laide et je préfère les monstres de ma fantaisie à la trivialité positive. - vidéo de 3'36" (choisir dans paramètres la qualité 720 p) :
un jardin sous le vent peut donner naissance à des
Sur une feuille de papier, il peut arriver bien des catastrophes. et l’avantage, c’est qu’elles y restent. une peinture peut fonctionner comme un dispositif écologique et léger pour piéger toutes les calamités possibles, en les transformant en images peintes à la main, avec l’aide du hasard et un peu de patience. tout n’est pas vrai
D.r. à chacun son rêve i l y a des lieux magiques, auxquels on revient, sinon physiquement, au moins en pensée. la photo ci-contre pour moi en représente un. je l’ai prise il y a quelques années, sur le domaine de la station de bolquère, dans les pyrénées orientales. je ne sais si je verrai à nouveau cet étang. mais sa vision en reste,
D.r. automne c’ est ma saison préférée, ou comme dit le poète : mon automne éternelle, ô ma saison mentale... mais pourquoi cela ? c’est la saison de la disparition et de la perte, celle par exemple de l’histolyse végétale. mais cette dernière est souvent magnifiée, comme j’espère dans ma photo, par le soleil qui n’est plus zé
Voici une vidéo de 6'29" qui montre comment d'un sujet banal peuvent surgir le merveilleux ou le fantastique :
Voici une vidéo de 6'29" qui montre comment d'un sujet banal peuvent surgir le merveilleux ou le fantastique :
féerie ii (vidéo) - d.r.
Cette vidéo de 5'17" mélange des éléments habituellement considérés comme séparés : arbres, eau, fleur. c'est simplement par l'analyse logique qu'on les sépare. mais la perception sensible est holistique : tout y est perçu comme mélangé. c'est la perception du poète, de l'enfant, et aussi du fou... :
cette vidéo mélange des élément
Cette vidéo de 5'17" mélange des éléments habituellement considérés comme séparés : arbres, eau, fleur. c'est simplement par l'analyse logique qu'on les sépare. mais la perception sensible est holistique : tout y est perçu comme mélangé. c'est la perception du poète, de l'enfant, et aussi du fou... voir ici mon livre sur la stylistique
Cette vidéo de 3'12" provient de prises de vues faites dans un seul lieu (une chambre), un jour de mistral, et rend hommage au peintre robert delaunay, auteur des fenêtres simultanées , et créateur en peinture du simultanéisme . cliquez sur l'image ci-dessous, et n'hésitez pas à afficher la vidéo en plein écran :
cette vidéo est un hommag
Une photo et un haïku pour saluer la venue du printemps :
d.r. des touches de vert sur les branches du figuier : printemps revenu * sur l'esthétique du haïku, on peut lire le livre que je lui ai consacré chez bod. merci de cliquer sur l'image ci-dessous :
D.r. des touches de vert sur les branches du figuier : printemps revenu * sur l'esthétique du haïku, on peut lire le livre que je lui ai consacré chez bod. merci de cliquer sur l'image ci-dessous : d.r.