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Cette communauté a pour objectif de rassembler des articles en rapport avec l'Art. .......................................................
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11/08/2015
Articles récents de cette communauté
D.r. fétus b ientôt ils seront fondus, et de leur pureté il ne restera rien. mais précisément c’est à cause de leur côté éphémère qu’ils sont précieux et nous touchent. ils nous donnent une leçon : la beauté ne dure pas, et tout est promis à la disparition. aimez ce que jamais on ne verra deux fois. quand on comprend, comme le bo
D.r. calme et violence l a vague se dresse, se cabre, face à une force qui s’oppose à elle, la fustige, insère une violence toute proche dans une étendue qui pour le reste demeure étale jusqu’au fond de l’horizon. le ciel est d’un bleu pur, sans nuage, parfaitement balayé. ce jour appartient au vent roi, tempétueux, qui souffle du no
D.r. dans une forêt obscure a u milieu du chemin de notre vie, je me trouvai dans une forêt obscure, car la voie droite était perdue... ce début de la divine comédie me vient à l’esprit en regardant cette photo. à moi aussi est arrivée cette aventure. je me croyais parvenu au sommet de mon parcours, possesseur de tout ce que je pensais m
Je vous informe de la parution, chez bod, de mon dernier livre : l'humour - un remède au désenchantement. cet ouvrage n'est pas un travail académique, mais il répond pour moi à un besoin existentiel. il raconte un itinéraire personnel, un chemin de vie, où le sourire de l'humour apparaît comme un remède, un moyen de conjurer, sans la nier,
D.r. le temps qui reste o n va et on vient, et on pense qu’on pourra le faire toujours. le temps n’est pas mesuré. on est immortel. certains signes, pourtant, pourraient nous alerter sur la brièveté de notre séjour ici-bas. ainsi la vision de ce bâton d’encens qui en se consumant défait petit à petit sa présence. la fumée s’élève
D.r. le ciel sur la terre a près la pluie, le ciel s’ouvre sous les pieds du marcheur, reflété dans les flaques d’eau. dans nos vies hésitantes, déséquilibrées à l’image de cette photo, elles sont comme des signes à voir autre chose, comme clairières dans une forêt, qui permettent l’issue. il ne faut pas ignorer ces moments où e
Je vous annonce la parution chez bod de mon dernier livre autobiographique : la vraie vie. en voici la présentation sur la quatrième de couverture : on verra dans ce livre la recherche d'une âme en exil, hantée par la nostalgie de l'enfance et en quête d'une vie authentique, par-delà les déceptions causées par un monde dépourvu d'idéal ou
Vortex végétal, vers la contrée imaginaire, vers des rencontres, découvertes, sensations.
D.r. quoi de plus ? l es hommes vont et viennent, poursuivent leurs buts lointains, s’y donnent entièrement, sans réfléchir à ce qu’ils sont réellement. ils se fuient dans l’agitation constante. éloignés d’eux-mêmes, ils ne prêtent aucune attention à ce qui pourrait les y ramener. l’oiseau peut-être, perché sur son fil ? image
D.r. dans la chaleur de l’été c ertaines journées d’été dans mon midi natal sont si étouffantes et accablantes que l’on n’y supporte pas la grande lumière du dehors, et qu’on s’en protège en rapprochant les volets. le temps semble suspendu. éternité seulement troublée parfois par le vol de quelques insectes. l’impression es
D.r. la mort heureuse t out ce qui se finit donne il me semble une impression de sérénité. ceux qui y voient du tragique ne sentent pas le grand apaisement qui vient toujours d’une tâche accomplie. ils ne pressentent pas qu’après toutes les luttes de la vie on doit enfin doit rendre les armes. il en est temps, toutes les épreuves, victoir
D.r. le pas de côté n ous courons sans cesse çà et là, l’esprit obnubilé de pensées, de buts à atteindre, de projets d’avenir. et pendant que nous nous donnons à des chimères, la vie s’écoule, inexorablement. c’est une constante fuite en avant, qui condamne à une insatisfaction sans fin. n’obtenons-nous pas ce que nous désiro
D.r. attente i l est étrange comme un espace vide semble toujours n’être que provisoire, et susciter l’attente de quelque chose ou de quelqu’un qui vienne le combler. cela est vrai de la disparition des êtres. le mot mort ne dit rien, mais une chaise vide dit tout. qu’attestent les chaises de ce bar ? une inhabitation passée ? l’atten
Sachons faire nôtre ce qui vient à nous (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. pensées d ans tout ce qui nous est donné nous n’avons que le choix du refus ou de l’accueil. et, si nous optons pour ce dernier, de la disposition et de la mise en scène. ce qui dépend de nous n’est pas le quoi , mais le comment . par exemple celui que visite l’amour n’a pas d’autre liberté que celle d’organiser son histoire
D.r. sur fond de nuit s ur fond de nuit se découpe la fenêtre, comme aussi notre vie. il y a eu la nuit qui a précédé notre naissance, et il y aura celle qui suivra notre mort. et pendant ce si bref instant qu’est notre vie, bien souvent on ne voit en elle qu’absurde et chaos. amère leçon de l’existence : un bref instant de non-sens en
Pourquoi? parce que des amis à moi, en qui j'ai toute confiance, m'ont présenté cet "ouvrage" comme intéressant, rebatet étant un grand connaisseur de musique et un passionné de wagner. reconnaissons que les seules pages lisibles, dans ce répugnant opuscule, sont celles où il parle de musique; en ce qui concerne la peinture et la littératu
D.r. solitude i l faut l’aimer, et s’y trouver bien. au reste ne peut-on lui échapper : elle imprime sa marque à notre condition. il y a ceux qui luttent contre elle, dans une fuite incessante hors d’eux-mêmes, et il y a ceux qui l’accueil lent avec bonheur, s’y retrouvent et réunissent. du plus loin que je m’en souvienne, j’ai to
D.r. ivresse i b acchus est un dieu bon, il délivre l’esprit de l’ankylose de la logique. aussi bien je ne m’étendrai pas sur la réalisation de cette photo. qu’il me suffise de dire qu’elle juxtapose des parties d’un même cliché représentant des iris en fleurs, chacune ayant subi une distorsion. qu’on voie double, ou triple, com
D.r. de dos à moïse qui un jour voulut voir la face de dieu, celui-ci répondit qu’on ne pouvait la voir, mais qu’il allait passer près de lui, de façon, une fois passé, à être vu de dos : tu me verras de dos, car ma face ne peut être vue. c’est à quoi j’ai pensé après avoir fait cette photo. je me suis dit que si la personne s
D.r. cette brûlure... l a photographie est étymologiquement une écriture par la lumière. mais quand cette dernière est trop intense, elle surexpose le film argentique, ou bien outrepasse la sensibilité du capteur numérique – bref elle brûle l’image, comme ici. combien de brûlures dans nos vies mêmes ! je veux parler ici des expérienc
D.r. glissez mortels... s ur la glace glissez, tourbillonnez jusqu’à l’ivresse ! échappez ainsi à la modicité quotidienne, au comportement convenu et contraint, au savoir-vivre qui empêche de vivre. l’homme a le même destin que le bois : brûler ou pourrir. brûlez donc de votre flamme, consumez-vous de votre ardeur ! essayez toutes les
Sachons voir, au-delà de ce qui nous occupe, l'arrière-plan de toutes choses. cliquer sur l'image : d.r.
D.r. voir au-delà n ous ne voyons d’habitude que ce qui nous touche directement. je dirai, au vu de ce qui saute aux yeux dans cette photo, que nous en restons à un regard de premier plan . pourtant l’au-delà de la vision immédiate, la vision d’ arrière-plan peut considérablement relativiser ce qui d’abord nous atteint et seul focalis
D.r. la sagesse du soir t oute photo est une boîte à fantasmes. on peut y projeter ce qu’on veut. ce qui est dit sur une image dit plus sur celui qui le dit que sur l’image elle-même. aussi ce que je vais dire sur celle-ci ne renvoie qu’à mes propres préoccupations. c’est la règle, et il ne faut pas s’en émouvoir. je suppose tout d
Je vous souhaite pour la nouvelle année de connaître le devoir d'insouciance (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. insouciance p eut-être ne voit-on pas tout de suite dans ma photo le petit personnage qui figure dans l’angle inférieur droit. si l’on fait attention, on y reconnaîtra la silhouette d’un baigneur debout, bras écartés, l’eau lui arrivant à la taille. apparemment il semble ne pas s’occuper du ciel ennuagé et potentiellement mena
D.r. kairos u n coucher de soleil comme celui-ci est devenu au sens péjoratif un cliché , et on le condamne ordinairement. pourtant si on le fait c’est seulement qu’on l’a trop souvent vu. comme tous ces chromos qui ornent un intérieur kitsch : nous en connaissons tant ! en réalité, c’est la multiplication surtout qui fait la faiblesse
Aimer la douceur, même si la vie n'est pas douce (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. douceur l a vie n’est pas douce. c’est un massacre permanent. tout ce qui vit n’a qu’un souci : survivre, et pour cela manger et ne pas être mangé. ceux qui voient de la bonté dans la nature oublient cette règle. la bonté est une exigence humaine, toujours fragile, et démentie par le monde tel qu’il va. la norme est mise à mal
D.r. nuit et jour l a nuit déjà à mes pieds, le ciel encore bleu si je lève la tête. et ce fanal qui fait signe, comme le phare au navire : le soleil se couchant au fond de l’horizon... dans ce moment qu’on appelle parfois entre chien et loup, je vois un mémorable symbole. combien de fois dans nos vies ne voyons-nous que la nuit qui en re
Le reflet triomphe de l'objet lui-même (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. tant d’autres choses... i l y a tant d’autres choses que ce que nous voyons d’habitude, dans notre vie absorbée et inquiète ! notre marche habituelle s’ordonne à des buts pratiques. peu de place pour la flânerie, et encore moins pour l’attention aux plus infimes spectacles. quand verrons-nous ce qui est à nos pieds ? ici le cadr
D.r. résilience j e me suis toujours méfié des catéchismes encourageants et des discours uniquement positifs. ils rassurent à peu de frais, et sans grande durée, sur une vie où rouille et dégradation l’emportent bien souvent. pourtant j’ai fait cette photo. pourquoi ? sans doute à cause du contraste maximal qu’elle présente entre le
D.r. bleus souvenirs d u ciel connu les goélands emportent sur leurs ailes de bleus souvenirs. les voici maintenant loin de leur patrie natale, au-dessus de l’obscurité des flots, où pourtant se reflète encore par endroits l’azur qu’ils ont quitté. – du moins est-ce là ce que je me plais à imaginer. nous vaquons à nos occupations qu
D.r. il est plus tard que tu ne penses s'il est plus tard que tu ne penses, tu ne pourras en savoir rien. vis chaque pas de ton chemin, le temps continuera sa danse. si demain a de l'importance tu le demanderais en vain. saisis ce qui touche ta main, l'instant seul où ton cœur s'élance. et si pour vivre tu balances hésitant du soir au matin, bi
L'art abstrait est un art qui s'enfuit (cliquer sur la seconde image) : d.r. ê d.r.
D.r. ê d.r. la fuite loin du monde c ette seconde photo est une nouvelle version abstraite de la première. elle est devenue un vitrail au moyen d’un filtre logiciel. il me semble que l’art abstrait est toujours un art qui s'enfuit. mais pourquoi ainsi fuir le monde et mépriser ses séductions ? au départ, sans doute parce que quelque chose
L'art abstrait est un art amnésique (cliquer sur la seconde image) : d.r. ê d.r.
Ê #art. #abstraction. #mémoire. amnésie p ar la magie du logiciel, la photo de mon érable en automne (première image) s’est transformée en tableau abstrait (seconde image). on n’y reconnaît plus rien de son origine. mais on peut penser que ce n’est pas grave, et que bien plutôt on va y voir plus librement. les signes se sont totalemen
D.r. ludisme c ette photo n’est pas truquée. elle montre simplement le reflet d’une partie d’une église et de son clocher dans la portière d’une voiture. de cette façon on peut, à l’affût des accidents de la vision qui se présentent à chacun de nos pas, multiplier indéfiniment le monde. les réalités ainsi mises au jour sont des
Qui se souvient aujourd’hui que certains des tableaux de nicolas poussin (1594-1665) ont été jugés si érotiques qu’ils ont été mutilés, découpés, voire détruits, dès le xviie siècle ? vénus surprise par des satyres, 1ère version de 1626 oui, nicolas poussin maître du classicisme, à qui l’on doit de nombreuses toiles religieuse
D.r. confusion t ous les éléments premiers constitutifs du monde se mêlent ici. le ciel, la terre, l’eau se mélangent dans une unité initiale, une vie commune ou une symbiose . cet état autorise à l’évoquer toutes les formes d’un discours verbal brouillé ou confondu, comme les métaphores (mer céleste, plage marine, etc.), les hypal
Le cœur a ses raisons... q uand elle le voyait, elle sentait battre son cœur. et aussi quand, absent, elle songeait à lui. elle en était totalement, dirai-je, pénétrée. et elle désirait unir sa vie à la sienne. ses amies pourtant la prévenaient. il aimait faire le joli cœur auprès de beaucoup de partenaires, et aussi il aimait boire jus
Il faut retoucher le costume ! à foison, elle avait rêvé de lui, s’enivrant de ses imaginations. absent même, il était plus avec elle que présent. sans doute y a-t-il des cas où, à l’inverse du proverbe connu, les absents ont toujours raison. rien en lui ne pouvait évidemment la heurter, puisqu’elle n’avait affaire qu’à ses prop
Si tu veux... un songe, un rien, tout lui fait peur, quand il s’agit de ce qu’il aime... la fontaine – et si nous allions nous promener ? – si tu veux... les voici en train de marcher dans la campagne, environnés de soleil, de ciel sans nuages, de mistral bleu et de cris d’oiseaux. lui est plein d’allant et d’enjouement. mais elle n
Je pense qu’il pense que... i je voudrais tant lui faire plaisir ! par exemple il doit vouloir que nous nous voyions plus souvent, depuis que nous avons découvert tant d’affinités entre nous. bien sûr cela me coûtera, par le trajet supplémentaire que j’ai à faire pour le rejoindre, et aussi par les obligations impératives que m’impos
Thaborisme s on amour pour elle diminuait à proportion qu’elle vieillissait, et qu’il la voyait changée. il avait aimé un visage jeune et beau, et maintenant les rides faisaient leur habituel office, la peau devenait flasque et tavelée. que ne pouvait-il la revoir comme autrefois, au temps de sa splendeur ! elle souffrait de son éloignemen
Mauvaise tactique i l l’aimait, mais elle ne l’aimait pas. il eût pu alors passer simplement son chemin, et comme on dit aller voir ailleurs. mais il ne pouvait se résoudre à rester sur un échec. il avait lu des livres, vu des films traitant de cette situation. il pouvait bien s’en inspirer quant à la sienne. en particulier d’un moyen
Je t’aime, mais... c’ est comme si elle venait d’être frappée en plein cœur. cette phrase, elle ne s’y attendait pas. ils étaient pourtant en promenade, et en profitaient pour se confier l’un à l’autre. elle, confiante, elle l’était entièrement. mais pas lui, apparemment. l’attestait ce qu’il vient de lui dire : je t’aime
D.r. l’art du bouquet e n regardant ma photo, je pense aux exclusions que pratique, au japon, l’art du bouquet, l’ikebana. au rebours des bouquets occidentaux qui sont très souvent surchargés, ceux que peint bruegel par exemple, le dépouillement y est la règle. comme pour l’art de faire du feu , ou encore l’art d’écrire , il s’ag
D.r. l’art de faire du feu c’ est affaire de réflexion, comme au reste beaucoup de choses. je pense aussi à l’art de tailler arbres et arbustes, beaucoup de jardiniers me comprendront : ce n’est pas pour rien que tailler et penser en latin se disent par le même mot ( putare ). donc il ne faut pas entasser les bûches pêle-mêle, et de f
D.r. beautés c elles de l’automne échappent totalement à certains. d’autres les voient, mais n’y prêtent pas beaucoup d’attention. d’autres enfin en sont transpercés. sans doute ont-ils plus, dirai-je, de surface intérieure. mais est-ce vraiment pour leur bonheur ? je ne sais. que se disent-ils alors face à ce qu’ils voient ? que
Bonjour, je vous prie de bien vouloir noter que mes créations sont exposées en boutiques réelles et se promènent sur différentes expositions pour les fêtes, où trouver mes créations en paca ? par ici, suivez le guide : la boutique - mallemort de provence 99 rue fernand pauriol, 13370 mallemort, france je vous souhaite de belles promenades d
D.r. rien de plus i l faut beaucoup d’orgueil, aussi et d’irréflexion, à penser que l’on est soi-même un être unique et immuable. car on change toujours, non seulement d’année en année, mais de jour en jour, et même d’heure en heure. en fait si nous voyons changer les autres, nous ne voyons pas nous-mêmes que nous changeons. et no
D.r. mort et vie l’ homme est mortel, ainsi que tout ce qu’il édifie. mais en face de lui la vie est immortelle. c’est ce que je vois dans ma photo, qui les oppose en les confrontant. sur les branches nues de l’hiver la vie renaîtra au printemps, et ce cycle n’a pas de fin prévisible. tandis que le monument, censé rappeler présence e
D.r. anomalies et dilapidations n ul chemin n’est sans risque. bien sûr on voudrait qu’il soit bien aplani, pour que le pied n’y bronche pas. mais ce n’est pas le cas. et la marche doit être appliquée et précautionneuse, aussi bien en promenade que dans la vie. sachons donc où mettre nos pieds. calculons la distance de chaque pas, en f
D.r. mélancolie e lle n’est pas la tristesse qui accable sans lumière, ou la dépression grave, pour laquelle pourtant on utilise aussi son nom, malheureusement, en psychiatrie. on ressent un certain plaisir à l’éprouver. d’où vient-il ? sans doute ne voudrions-nous pas de la joie que nous voyons autour de nous bien souvent : celle d’
D.r. patrie perdue p oint n’est besoin dans nos vies de voyager loin. l’herbe n’y est pas plus verte de toute façon. je me demande toujours d’où vient cette constante manie ambulatoire qui affecte mes contemporains. où cours-tu ? ne sais-tu pas que la lumière est en toi ? si donc nous savons voir, tout peut retenir notre attention, comm
D.r. dangereuse présence l a plupart du temps on aime la lumière extérieure, comme celle qui passe à travers une fenêtre et qui fait aspirer à aller au-dehors, à sortir de soi. mais sa présence est parfois telle qu’on peut vouloir la filtrer par un rideau, où elle se devine seulement. elle peut aussi se refléter dans un miroir, où elle