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Cette communauté a pour objectif de rassembler des articles en rapport avec l'Art. .......................................................
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11/08/2015
Articles récents de cette communauté
D.r. kairos u n coucher de soleil comme celui-ci est devenu au sens péjoratif un cliché , et on le condamne ordinairement. pourtant si on le fait c’est seulement qu’on l’a trop souvent vu. comme tous ces chromos qui ornent un intérieur kitsch : nous en connaissons tant ! en réalité, c’est la multiplication surtout qui fait la faiblesse
Aimer la douceur, même si la vie n'est pas douce (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. douceur l a vie n’est pas douce. c’est un massacre permanent. tout ce qui vit n’a qu’un souci : survivre, et pour cela manger et ne pas être mangé. ceux qui voient de la bonté dans la nature oublient cette règle. la bonté est une exigence humaine, toujours fragile, et démentie par le monde tel qu’il va. la norme est mise à mal
D.r. nuit et jour l a nuit déjà à mes pieds, le ciel encore bleu si je lève la tête. et ce fanal qui fait signe, comme le phare au navire : le soleil se couchant au fond de l’horizon... dans ce moment qu’on appelle parfois entre chien et loup, je vois un mémorable symbole. combien de fois dans nos vies ne voyons-nous que la nuit qui en re
Le reflet triomphe de l'objet lui-même (cliquer sur l'image) : d.r.
D.r. tant d’autres choses... i l y a tant d’autres choses que ce que nous voyons d’habitude, dans notre vie absorbée et inquiète ! notre marche habituelle s’ordonne à des buts pratiques. peu de place pour la flânerie, et encore moins pour l’attention aux plus infimes spectacles. quand verrons-nous ce qui est à nos pieds ? ici le cadr
D.r. résilience j e me suis toujours méfié des catéchismes encourageants et des discours uniquement positifs. ils rassurent à peu de frais, et sans grande durée, sur une vie où rouille et dégradation l’emportent bien souvent. pourtant j’ai fait cette photo. pourquoi ? sans doute à cause du contraste maximal qu’elle présente entre le
D.r. bleus souvenirs d u ciel connu les goélands emportent sur leurs ailes de bleus souvenirs. les voici maintenant loin de leur patrie natale, au-dessus de l’obscurité des flots, où pourtant se reflète encore par endroits l’azur qu’ils ont quitté. – du moins est-ce là ce que je me plais à imaginer. nous vaquons à nos occupations qu
D.r. il est plus tard que tu ne penses s'il est plus tard que tu ne penses, tu ne pourras en savoir rien. vis chaque pas de ton chemin, le temps continuera sa danse. si demain a de l'importance tu le demanderais en vain. saisis ce qui touche ta main, l'instant seul où ton cœur s'élance. et si pour vivre tu balances hésitant du soir au matin, bi
L'art abstrait est un art qui s'enfuit (cliquer sur la seconde image) : d.r. ê d.r.
D.r. ê d.r. la fuite loin du monde c ette seconde photo est une nouvelle version abstraite de la première. elle est devenue un vitrail au moyen d’un filtre logiciel. il me semble que l’art abstrait est toujours un art qui s'enfuit. mais pourquoi ainsi fuir le monde et mépriser ses séductions ? au départ, sans doute parce que quelque chose
L'art abstrait est un art amnésique (cliquer sur la seconde image) : d.r. ê d.r.
Ê #art. #abstraction. #mémoire. amnésie p ar la magie du logiciel, la photo de mon érable en automne (première image) s’est transformée en tableau abstrait (seconde image). on n’y reconnaît plus rien de son origine. mais on peut penser que ce n’est pas grave, et que bien plutôt on va y voir plus librement. les signes se sont totalemen
D.r. ludisme c ette photo n’est pas truquée. elle montre simplement le reflet d’une partie d’une église et de son clocher dans la portière d’une voiture. de cette façon on peut, à l’affût des accidents de la vision qui se présentent à chacun de nos pas, multiplier indéfiniment le monde. les réalités ainsi mises au jour sont des
Qui se souvient aujourd’hui que certains des tableaux de nicolas poussin (1594-1665) ont été jugés si érotiques qu’ils ont été mutilés, découpés, voire détruits, dès le xviie siècle ? vénus surprise par des satyres, 1ère version de 1626 oui, nicolas poussin maître du classicisme, à qui l’on doit de nombreuses toiles religieuse
D.r. confusion t ous les éléments premiers constitutifs du monde se mêlent ici. le ciel, la terre, l’eau se mélangent dans une unité initiale, une vie commune ou une symbiose . cet état autorise à l’évoquer toutes les formes d’un discours verbal brouillé ou confondu, comme les métaphores (mer céleste, plage marine, etc.), les hypal
Le cœur a ses raisons... q uand elle le voyait, elle sentait battre son cœur. et aussi quand, absent, elle songeait à lui. elle en était totalement, dirai-je, pénétrée. et elle désirait unir sa vie à la sienne. ses amies pourtant la prévenaient. il aimait faire le joli cœur auprès de beaucoup de partenaires, et aussi il aimait boire jus
Il faut retoucher le costume ! à foison, elle avait rêvé de lui, s’enivrant de ses imaginations. absent même, il était plus avec elle que présent. sans doute y a-t-il des cas où, à l’inverse du proverbe connu, les absents ont toujours raison. rien en lui ne pouvait évidemment la heurter, puisqu’elle n’avait affaire qu’à ses prop
Si tu veux... un songe, un rien, tout lui fait peur, quand il s’agit de ce qu’il aime... la fontaine – et si nous allions nous promener ? – si tu veux... les voici en train de marcher dans la campagne, environnés de soleil, de ciel sans nuages, de mistral bleu et de cris d’oiseaux. lui est plein d’allant et d’enjouement. mais elle n
Je pense qu’il pense que... i je voudrais tant lui faire plaisir ! par exemple il doit vouloir que nous nous voyions plus souvent, depuis que nous avons découvert tant d’affinités entre nous. bien sûr cela me coûtera, par le trajet supplémentaire que j’ai à faire pour le rejoindre, et aussi par les obligations impératives que m’impos
Thaborisme s on amour pour elle diminuait à proportion qu’elle vieillissait, et qu’il la voyait changée. il avait aimé un visage jeune et beau, et maintenant les rides faisaient leur habituel office, la peau devenait flasque et tavelée. que ne pouvait-il la revoir comme autrefois, au temps de sa splendeur ! elle souffrait de son éloignemen
Mauvaise tactique i l l’aimait, mais elle ne l’aimait pas. il eût pu alors passer simplement son chemin, et comme on dit aller voir ailleurs. mais il ne pouvait se résoudre à rester sur un échec. il avait lu des livres, vu des films traitant de cette situation. il pouvait bien s’en inspirer quant à la sienne. en particulier d’un moyen
Je t’aime, mais... c’ est comme si elle venait d’être frappée en plein cœur. cette phrase, elle ne s’y attendait pas. ils étaient pourtant en promenade, et en profitaient pour se confier l’un à l’autre. elle, confiante, elle l’était entièrement. mais pas lui, apparemment. l’attestait ce qu’il vient de lui dire : je t’aime
D.r. l’art du bouquet e n regardant ma photo, je pense aux exclusions que pratique, au japon, l’art du bouquet, l’ikebana. au rebours des bouquets occidentaux qui sont très souvent surchargés, ceux que peint bruegel par exemple, le dépouillement y est la règle. comme pour l’art de faire du feu , ou encore l’art d’écrire , il s’ag
D.r. l’art de faire du feu c’ est affaire de réflexion, comme au reste beaucoup de choses. je pense aussi à l’art de tailler arbres et arbustes, beaucoup de jardiniers me comprendront : ce n’est pas pour rien que tailler et penser en latin se disent par le même mot ( putare ). donc il ne faut pas entasser les bûches pêle-mêle, et de f
D.r. beautés c elles de l’automne échappent totalement à certains. d’autres les voient, mais n’y prêtent pas beaucoup d’attention. d’autres enfin en sont transpercés. sans doute ont-ils plus, dirai-je, de surface intérieure. mais est-ce vraiment pour leur bonheur ? je ne sais. que se disent-ils alors face à ce qu’ils voient ? que
D.r. épines l a vie en est pleine, et de la naissance à la tombe il n’est de jour où elles ne se fassent sentir. point n’est besoin de grandes catastrophes. celles-là sont rares, et peut-être réservées à certains êtres exceptionnels, qui semblent attirer le sort. non, je parle des épines quotidiennes, banales, qui sont le lot de notre
D.r. la fin des choses d ans la vie semble-t-il les choses ne sont intéressantes que dans leur début ou dans leur fin. tout ce qui commence bénéficie de l’anti ci pa tion du rêve et de l’attente, et tout ce qui finit s’accom pagne, avec quelque mélancolie mais non sans quelque douceur aussi, du souvenir qui va suivre. sur ce compagnon o
Bonjour, je vous prie de bien vouloir noter que mes créations sont exposées en boutiques réelles et se promènent sur différentes expositions pour les fêtes, où trouver mes créations en paca ? par ici, suivez le guide : la boutique - mallemort de provence 99 rue fernand pauriol, 13370 mallemort, france je vous souhaite de belles promenades d
D.r. solitude s ur le chemin solitaire et pluvieux une flaque retient les yeux du promeneur. le ciel s’y mélancolise, et reflète des lignes téléphoniques : un poteau oblique signe la composition. telle semble être la vie. on marche dans la boue, on y piétine même, mais à certains moments on voit autre chose, s’ouvrant sous les pas, qui
D.r. exil l e coquillage vient réellement de la mer au loin, qui est son berceau, et je me plais à voir dans sa situation une métaphore, à me figurer qu’il est en exil loin d’elle, et qu’il voudrait y revenir. vita exilium est . que la vie soit un exil loin de l’essen tiel, que nous avons déjà connu et dont nous sommes fondamentalemen
D.r. forces aveugles e lles se déchaînent constamment dans la nature. ces goélands acharnés à poursuivre leur proie en sont un beau symbole. ils ne s’élancent, je suppose, que pour aller dévorer les poissons, rien de plus. si l’on regarde le destin de tout ce qui vit, on ne peut être que frappé par son côté à la fois péremptoire et
D.r. voilements c ertains étés méridionaux sont si chauds qu’on referme les volets pour vivre dans la pénombre. du soleil il convient de se protéger, comme si, à l’image de dieu, on ne pouvait le voir et vivre. cette clarté qu’il nous prodigue, nous en vivons, mais aussi nous en pouvons mourir. éblouissante toute nue, il faut par cons
D.r. rien de plus i l faut beaucoup d’orgueil, aussi et d’irréflexion, à penser que l’on est soi-même un être unique et immuable. car on change toujours, non seulement d’année en année, mais de jour en jour, et même d’heure en heure. en fait si nous voyons changer les autres, nous ne voyons pas nous-mêmes que nous changeons. et no
D.r. mort et vie l’ homme est mortel, ainsi que tout ce qu’il édifie. mais en face de lui la vie est immortelle. c’est ce que je vois dans ma photo, qui les oppose en les confrontant. sur les branches nues de l’hiver la vie renaîtra au printemps, et ce cycle n’a pas de fin prévisible. tandis que le monument, censé rappeler présence e
D.r. ce reste si méprisé... l es hommes sont paresseux, distraits et approximatifs, et pour s’excuser de ne pas voir vraiment ce qui les entoure, ils ont inventé les beaux sites , seuls dignes à leur sens d’être contemplés, et devant lesquels alors ils se gargarisent de mots. la carte postale qu’ils en rapportent les dispense de voir le
D.r. anomalies et dilapidations n ul chemin n’est sans risque. bien sûr on voudrait qu’il soit bien aplani, pour que le pied n’y bronche pas. mais ce n’est pas le cas. et la marche doit être appliquée et précautionneuse, aussi bien en promenade que dans la vie. sachons donc où mettre nos pieds. calculons la distance de chaque pas, en f
D.r. complémentaires ... m ais peut-être cette lumière qui me fascine toujours serait-elle moins attirante, séparée de l’ombre qui l’accompagne. toutes deux pourraient être comme les deux versants d’une même vallée, l’ensoleillé et l’ombreux, l’adret et l’ubac. l’une n’irait pas sans l’autre. ma photo répartit égaleme
D.r. inséparables t oute vie est une fuite. beaucoup de choses sont arrivées, qu’il est impossible de supporter. aussi on ne veut pas les voir, on préfère les ensevelir dans les profondeurs de l’oubli. avancer seul nous importe. tel un marin qui préfère fixer l’horizon lointain plutôt que se noyer dans l’abîme qui se déploie sous l
D.r. mélancolie e lle n’est pas la tristesse qui accable sans lumière, ou la dépression grave, pour laquelle pourtant on utilise aussi son nom, malheureusement, en psychiatrie. on ressent un certain plaisir à l’éprouver. d’où vient-il ? sans doute ne voudrions-nous pas de la joie que nous voyons autour de nous bien souvent : celle d’
D.r. patrie perdue p oint n’est besoin dans nos vies de voyager loin. l’herbe n’y est pas plus verte de toute façon. je me demande toujours d’où vient cette constante manie ambulatoire qui affecte mes contemporains. où cours-tu ? ne sais-tu pas que la lumière est en toi ? si donc nous savons voir, tout peut retenir notre attention, comm
D.r. dangereuse présence l a plupart du temps on aime la lumière extérieure, comme celle qui passe à travers une fenêtre et qui fait aspirer à aller au-dehors, à sortir de soi. mais sa présence est parfois telle qu’on peut vouloir la filtrer par un rideau, où elle se devine seulement. elle peut aussi se refléter dans un miroir, où elle
D.r. miroitements s ur un modeste tas de bois, la lumière se reflète en éclats irréguliers, et la méditation y peut voyager, de la rhétorique à la théologie ! on appelle antanaclase en rhétorique la reprise d’un mot avec affectation d’un sens différent à chaque occurrence. ainsi dans une femme est une femme , le mot femme n’a pas l
#lumière. #clair-obscur. #icône. #christianisme orthodoxe et christianisme occidental. - d.r. en un combat douteux j e continue de rêver à ma photomachie , au combat de la lumière contre les ténèbres [ lien ]. la première triomphe-t-elle des secondes ? si c’est le cas, les ténèbres n’ont pas intercepté la lumière, ne l’ont pas arr
#lumière. #bible. #genèse. #intériorité. - d.r. deux lumières d e toujours il semble qu’ombre et lumière soient unies. l’une n’est point sans l’autre, et peut-être les meilleures images sont celles qui les juxtaposent. je n’oublie pas ici l’origine de photographie : écriture par la lumière. à regarder cette image, je vois moin
De joyeux moments de vie autour de la fontaine de jouvence et les parfums de la forêt.
D.r. synchronicités méditations d’un promeneur curieux j e pourrais me contenter de voir dans ce que montre cette photo simplement de l’insolite ou de la cocasserie. mais aussi pourquoi pas une coïncidence troublante, et même, en me souvenant du mot d’andré breton dans nadja, « pétrifiante ». c’est un fait qu’à voir ces deux panc
Le rond point des tontons flingueurs. phrase de fernand dit le gugusse de montauban - lino ventura "on ne devrait jamais quitter montauban !". - d.r. (cliquer sur l'image) fictions a ttends. ne va pas trop vite. je voudrais mieux voir. que sont ces deux figurines installées sur ce rond-point ? – ce sont deux effigies en plexiglas représentant d
Aquarelle ooak par artiste peintre,ciel nuages gris marron blanc noir,pendentif ovale laiton fleuri,chaîne boule 65 cm,fait mains en france, peint par artiste francaise,pendentif oval fleuri en laiton bronze avec cabochon aquarelle noir gris marron blanc,art abstrait fantastique,chaine boule,cadeau fete anniversaire noel,fait mains en france,boho
Course de bébés (lituanie). cliquer sur l'image. d.r. une compétition p ourvu qu’elle arrive première ! la ligne d’arrivée n’est pas toute proche, et c’est bien jusque là qu’elle doit parvenir. cette course est pourtant organisée pour la bonne cause : sensibiliser le public aux droits des participants. on ne peut mieux faire, sembl
D.r. à toi j e ne te remercierai jamais assez. après l’accouchement de ma pauvre femme, la flamme entre elle et moi s’était définitivement éteinte, quand tu m’es arrivée, toute neuve, délivrée comme un magnifique cadeau. ma vie était désertée par la passion, et tu m’en as redonné le goût. tout me semblait terne et vide. je croy
Caravage, narcisse - d.r. narcissisme museum of me – musée de moi-même t el est le titre de la nouvelle application qu’on m’invite à installer sur son ordinateur. le dispositif, dit la publicité, permet à chacun d’afficher toutes les données de sa page personnelle (photos, centres d’intérêts, « amis » préférés, etc.), et de l
Les sentiers de la gloire (kubrick) - d.r. les principes sont les principes monologue intérieur a u motif du danger du tabac pour la santé, on interdit maintenant aux états-unis au condamné à mort de fumer sa dernière cigarette. il pose son journal, réfléchit. l’absurdité est à son comble : en quoi cette cigarette va-t-elle nuire à la
Il consiste dans la reprise de la forme d’un objet, qui à l’origine a un contenu évident, mais qui dans l’opération est totalement dépossédé de ce contenu, de façon que n’en restent que les caractéristiques formelles. ainsi définalisé, il ne s’adresse qu’aux yeux, l’esprit n’en voyant plus l’adéquation à la fonction in
D.r. câlins i ls pensaient que tout le monde a besoin de caresses, et au premier chef leurs enfants, qu’on pouvait ainsi mieux combler affectivement, et aussi s’attacher par ce moyen. elles calment qui les reçoit. qui n’a éprouvé, même adulte, comme dit depardieu à michel blanc dans tenue de soirée de bertrand blier, l’envie de se bl
D.r. brisures t u l’as cassé. comment-est ce arrivé ? – il m’a échappé des mains. je suis désolée. – ce vase était un souvenir de ma mère, et j’y tenais. – je t’en offrirai un autre, tout pareil, pour me faire pardonner. – ... mais non, attends plutôt. je vais le faire réparer, il suffit de ramasser et de réunir les morce
Peter pan - d.r. la tentation de l’innocence i l faut savoir grandir dans la vie. on ne doit pas vouloir, comme peter pan, rester indéfiniment dans l’enfance. c’est la leçon des deux histoires suivantes, qui sont arrivées, mais dont on pourra toujours dire, si cela fait mieux plaisir, que je les ai imaginées. un joueur de poker, qui se d
D.r. conte i l y avait autrefois, dans un pays pas si lointain, un président de la république qui s’était attaché les services d’un coiffeur à temps plein, chargé de le suivre partout, et payé à hauteur de 10 000 euros bruts par mois. on eût pu penser, pour la situation, au perruquier de louis xiv. et encore avait-il plus de travail qu
D.r. l'homme y voit une «performance artistique» qu'il intitule hungry artist (artiste ayant faim).[©cindy ord / getty images north america / afp] l’art bananier (ii) c ette fois-ci, la banane est unique, elle est aussi accrochée au mur du musée de miami, à la fin du printemps 2019. œuvre d’un artiste italien connu, elle vaut maintenant
D.r. l’art bananier (i) c ombien pour ceci ? ceci est six authentiques bananes, sur un socle destiné à les mettre en valeur, présentées lors de la dernière foire internationale d’art contemporain qui vient de se tenir à paris. le visiteur reçoit la réponse à sa question. le prix demandé pour l’ensemble se situe entre dix mille et qu