Joy Means Sick & Sans Congo
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Les fennecs du cinéma sud-coréen, et bien plus.
Ses blogs
Kim-Bong-Park, des Bons des Brutes et des Cinglés
Petits traités sur le cinéma coréen par Sans Congo et Joy Means Sick. Blog critique cinéma asiatique
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21/05/2010
Categorie :
Films, TV & Vidéos
Articles à découvrir
Motel cactus, park ki-yong, 1997 tout comme cette fouine qui n'avait pas les mots, n'avait pas les mots, n'avait pas les mots... joy means sick se sentait foutrement incapable d'écrire quoique ce soit de construit, de raisonnable et d'argumenté sur le film qu'il venait de voir. cela faisait déjà quelque temps qu'il avait compris que l'histoire
Yangsando de kim ki-young (1955) c’est dans un charmant petit village du gyeonggi que se noue le marivaudage fatal du deuxième film de kim ki-young, yangsando. ok-ran (kim sam-hwa) et su-dong (cho yong-soo, acteur remarquable), de jeunes et modestes villageois, sont promis l’un à l’autre. ils coulent des jours heureux à s’acoquiner de ri
Open city , lee sang-gi , 2008 eté 2008. a l’heure de la france sarkozyste, de notre société franchouillarde de comptoir aux relents xénophobes latents à la pernaut/bardot et de notre système quasi-ultra-sécuritaire... a l’heure où la parano nous enferme à double tour, que la crise des « subprimes » sévit, que les rangs du fn grossi
A company man , lim sang-yoon, 2012 d’après l’insee, l’entreprise est une « unité économique, juridiquement autonome dont la fonction principale est de produire des biens ou des services pour le marché. » autrement dit, d’après economie.gouv.fr : « il y a entreprise dès que des personnes mobilisent leur talent et leur énergie, ras
Twenty, shin jeong-gyun, 2001 les carnets roses de joy means sick & sans congo episode 7 chère madame dillinger, je vous écris aujourd’hui car j’ai intercepté hier un courrier de votre fils à destination du mien. ce courrier, un colis de taille conséquente, contenait un certain nombre de cassettes vhs, certaines officielles, d’autres all
She’s on duty, park gwang-choon, 2005 « t'as vu nos vies tournent en rond/a ton avis à cause de qui ici on tourne en rond ?/et tu crois quoi, qu'j'vais dire que c'est à cause de l'etat ?/quand tu plantes ton frère, /est-ce que c'est jacques chirac qui prête son bras ?» mars 2006. 14 heures. spliff de willie nelson, écouteurs du md vissés
Le pays du coeur (hometown in my heart), de yun yung-gyu (1949) ainsi va la vie dans la cambrousse, les traces y creusent des sillons, les feuilles bruissent tous les quarts d’heures ; les jours se ressemblent, l’inconnu qui passe est une excentricité en soi. ajoutez un temple bouddhiste bâti à flanc de montagne, et vous avez entre les mains
La main du destin (the hand of destiny), de han hyung-mo (1954) elle est espionne nord-coréenne (yoon in-ja, a.k.a jung-ae ou margaret), il travaille pour les services de renseignement sud-coréen (lee hyang, a.k.a young-chul). ils tombent évidemment amoureux. des espions amoureux, ça arrive souvent dans le cinéma (des enchaînés à m. et mme
A holiday in seoul, lee yong-min. nam hi-won (jouée par l’actrice yang mi-hi) est une obstétricienne à l’hôpital venus – ça ne s’invente pas –. son mari, son jae-kwan (no neung-geol) est un journaliste. séoulites, cela va sans dire, le couple est dans la quintessence de cette nouvelle classe sociale argentée dont les réalisateurs
Nabi, moon seung-wook, 2001 joy means sick dénoua son écharpe et se laissa glisser le long du mur de la ruelle où il avait trouvé refuge. ca sentait la pisse et le chien mouillé, il sortit de sa poche une seringue contenant un liquide jaunasse et visa une veine au hasard. diverses traces de petits hématomes constellaient sa gorge, l’aiguill