Dans le bleu ciel de ce message t'écrire réveil ce silence en cage le soleil s’échappe et même ne se rattrape pourtant au dernier tout comme à notre premier tout fut à l’image de toi tout fut, qu’enrage soit! notre amour déni ni de toi, pardi moi dis !
Troubadour
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L’enfant troubadour a travers toutes ces routes, s’entremêlent peurs, doutes qu’elles soient de sentiers jusqu’aux maux de pieds continuer d’innocence a croire que de vouloir pouvoir de l’enfance nenni au revoir aux souffles de l’encre, embaumant chaque feuilles tortueux tronc, branches ocres racines d'où montent ces mots, chaque se
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Si tu savais, "mon amie", laide heure tu graves la vie aux longueurs malheur si irrécusable qu’indéniable mon papa, parti je ne sais où parti pour, parti sous l’amour mon papa… ici le silence tait nos larmes... cette peine qui nait a ce dernier souffle a cet ultime baroufle le temps si vide invalide si tu savais, "mon amie", à cette heure
De cette nuit, terrorisme, vieille poésie transcrit vent, rêve enf il ant de perles, scintillants vers, admirable solitude incessible toux de vastitude ne demandez pas le pourquoi ne demandez pas, ni même moi la rue a des caniveaux pour canaux de là, voyage l’invisible radeau nuages de cris, ruisselle la fin, là où les goûts scellent cliqu
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La vie dompte le rêve parallèle deux souffles la vie compte d’haleines jusqu’a perdre souffle et sur le tableau, craies desseins vendus danse, destin qui pue la vie chante partout l’initial que banal, des espoirs la vie se perd toujours à cette amour, illusoire et sur l’ombre d’une danse fragile fée elle en ma lune !
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Assis au chevet priant sainteté assis à ses côtés pour vivre finalité sans corps, ailleurs pour le meilleur de l’amour entouré de l’amour volupté notre papa arrive longue route, fatal notre papi le sait bonheur sucré notre pépé termine 97, l’hiver triomphal de l’amour simplement de l’amour tout le temps aussi loin qu’une lumi
S'il avait été, sur d'amour pur, a sa lumière, il aurait s’il avait été, sur sans rature, partageant hier à jamais non, ne demande pas bien ou pas, glas d'abracadaras s’il avait été plus mûr a coup sûr, pudeur sous la peau s’il avait été moins, jure a coup sûr, pourtant en combo oui, ne demande pas mat ou rat, crash avec fracas s
.mon papa. évidemment, tout le monde doit mourir évidemment, nos jours sont programmés bien évident que mon papa n’a pas l’éternité mais la vie sans, c’est comme ne plus écrire au sang qui fusionne, il est mon dieu évidemment, tout le monde doit y passer évidemment, son tour est à l’envol en évidence que mon papa n’a le monopol
Si sauvage, qui oublie cet ami au fond du puit si l’adage, qui dit sot au fond du puit non, ne pends pas le sceau coupe la corde. allo non, n’entends pas l’écho coupe à mordre, allo non mais quel ami ? qu’un cadavre, pas crime aux cœurs en débris juste prix dans l’abime
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Dans ce silence là où l'écho prend ego comme à l'indifférence blessant de maux faute de mots j'apprends à vivre sans toi monde de pourquoi diable d'absence là où est clos le sang de poe carence et souffrance muant l'écriteau l'amour indigo j'apprends alors, badaud ivre de ton âme en faux jamais plus d'amour... ----------------------------