Une robinsonnade avant l’heure ? le calvaire insulaire de marguerite de roberval daterait du 16ème siècle. 1542 pour être exacte. avant d’être un sujet de littérature c’est d’abord un sujet de boudoir. trois récits d’époque y font mention. a chacun sa version. dont il est difficile de dire désormais qui a raison. sans compter que

Je brasse des robinsonnades depuis un bail déjà sans jamais me lasser. toujours sur le départ. voyage booké. destination en terre inconnue. mais là, rien, je tourne en rond, entre quatre murs. sans motivation. ni passion. et si je commençais par m’aérer l’esprit malgré le ciel bas et lourd ? par chausser mes bottes de 7 lieues. relever

Le 19ème siècle voit le succès de mélodrames célèbres qui mettent en scène des personnages émouvants, poignants, tragiques mais résilients : les orphelins. on pense tout de suite à charles dickens, hector malot, mark twain mais pas qu’eux… ces succès infusent dans la littérature populaire. c’est le constat d’hector malot qui pre

Cet été, faute de plage, des pavés ! un cairn de guingois pour jouer à se faire peur. je rêvais d’ailleurs, de voyages, de cosmos, des frontières de l’infini mais j’ai paniqué devant l’étendue du sujet. alors j’ai réduit la voilure et je me suis concentré sur des récits, moins nombreux, de fins du monde, de survivants, de derni

Pas facile de conjuguer robinsonnades et science-fiction en dehors des « space opéra » qui transposent les romans d’aventures maritimes et des récits d’apocalypse et leur ribambelle de survivants. evidemment. encore que la jungle des titres soit si exotique qu’elle ne laisse souvent rien deviner du contenu des romans. on navigue alors à

L’occasion s’est présentée de désherber le rayon « arctique » de ma bibliothèque : explorations, conquête du pôle, ethnologie, etc... en dehors de quelques titres évidents et de 4ème de couverture évoquant robinson, j’ai toujours hésité à accumuler trop de romans, de récits de voyages, d’expéditions scientifiques, de naufrag

« moi je traîne dans le désert depuis plus de 28 jours et déjà quelques mirages me disent de faire demi-tour […] sur une lune de saturne mon perroquet sonne l'alarme c'est drôle mais tout le monde s'en fout vendredi tombant nulle part, y a robinson solitaire qui m'a dit : " j'trouve plus mon île, vous n'auriez pas vu la mer " va falloir qu

« en attendant nadeau » (pour une critique indépendante) je feuillette « la part sauvage » de sophie ehrsam. je descends l’ascenseur. capte quelques mots clés (des femmes seules contre les éléments, nature, animal, bestial, sauvagerie, maison forestière, survie, robinson, vendredi, utérin, île, isolé, asile) et des couvertures de roma

J’ai découvert deux robinsonnades pour la jeunesse qui mettent en scène chien et chat : « jerry dans l’île » de jack london et « le chat du capitaine » d’ursula williams. ces robinsons à 4 pattes valent bien leur modèle, vêtu de fourrures de la tête aux pieds, paradant fièrement fusil en bandoulière, parasol à la main, entouré

Sujet éminemment miné, les « bouquineurs » échangent ce mois-ci coups de cœur/coups de gueule sur le thème des adaptations littéraires au cinéma. les avis sont partagés entre fidélité et trahison des auteurs et des œuvres. mais chacun soumet tout de même telle ou telle transposition réussie : bram stocker/francis ford coppola, roald