Monologue. (3 à 4 mn) une femme face public allongée à 45 °sur une planche, le corps immobile. les cheveux défaits. les vêtements en désordre. un œil au beurre noir. elle peut bouger les bras et se toucher le visage. je me sens calme maintenant. ca va beaucoup mieux… j’arrive à respirer. les coups de butoir dans ma tête. ils s’espac
sophie aguillé
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sophie aguillé
J'ai besoin d'écrire des nouvelles et des poèmes qui dégagent une forte émotion. Je n'aime pas les mots pour les mots. Je m'efforce à toujours leur donner un sens, une couleur particulière. Si après avoir lu mes textes, vous vous en souvenez e
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09/11/2007
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Littérature, BD & Poésie
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Comme l’ombre est à la lumière, comme le torrent est à l’océan, comme le volcan est à la terre, comme l’éclair est au firmament. comme mes mains noueuses sur ta peau de satin. comme mes lèvres rugueuses sur le bout de tes seins. comme mon corps tremblant sur ton corps d’airain. comme ma bouche en sang contre tes dents, tes poings. co
Tu ne m’aimes plus. c’est simple comme bonjour, envolé, ton amour, ma vie soudain s’est tue. tu ne m’aimes plus. un petit mot très court, si léger et si lourd, que maintenant tu mets, après le verbe aimer. tu ne m’aimes plus. il n’y a rien à faire, juste se taire. rien à comprendre. impuissance … hier encore, ta voix chantait, p
Laura avait neuf ans. c’était une enfant qui ne ressemblait pas tout à fait aux autres. bien sûr, elle avait les mêmes envies, des désirs semblables à ceux de toutes les petites filles de son âge, mais seuls ses rêves lui permettaient de les réaliser. laura était atteinte dans son corps et dans son âme par une infirmité honteuse . lau
Un samedi après-midi, à 16 heures, le supermarché était bondé. elle était là, plantée au milieu de l’allée, son panier bleu posé par terre à ses pieds. caisse moins de dix articles. la file s’allongeait jusque dans les rayons, tant et si bien qu’il était impossible de vouloir passer de l’un à l’autre par cette allée. il fall
Depuis ce jour mémorable, je n’arrivais plus à travailler sereinement. j’écoutais mes patients d’un air distrait et ils s’en rendaient compte. ma clientèle allait bientôt atteindre le chiffre critique, au-dessous duquel, je serai obligée de mettre la clef sous la porte. une psychanalyste qui n’écoute plus, ça ne sert plus à rien.
Chapitre i le jour commençait à filtrer à travers les volets clos. il devait faire beau dehors. les minces fentes du bois laissaient passer des rayons de lumière vive qui se diffractaient à travers les infimes particules de poussière en suspension qui apparaissaient ainsi par milliers. etonnant, comme un simple rayon lumineux pouvait révéle
Mon tout petit, mon coeur, n'aie pas peur du bonheur. mon tout petit, mon coeur, laisse couler ton chagrin, blotti contre mon sein. tu vas voir, ce n'est rien. et puis, tes devoirs laisse-les pour demain. efface le tableau noir de ta peine du soir. vas-y mon petit ange, laisse aller la craie blanche, montre à maman ce rêve étrange. mais dis donc
Minuit …une jeune femme venait d’être amenée par les pompiers à l’hôpital le plus proche, celui de nice, service des urgences. on avait d’abord cru qu’elle était morte. mais, contre toute attente, son cœur continuait de battre. elle avait été extraite de la carcasse de sa voiture, encastrée sous un camion, par l’équipe de seco
Voici le deuxième chapitre de mon roman"opération sans retenue"
chapitre ii maxime feck dirigeait le département de génétique moléculaire au c.n.r.s de gif sur yvette. grand, la chevelure noire, épaisse, grisonnant sur les tempes, le regard aigu et froid surmonté de sourcils impeccablement taillés en accent circonflexe, il était de ceux q