La maison de célestins est restée dans le domaine public, même si elle a été refilée à la communauté de communes, au moins, elle n'a pas été vendue à un privé. que pouvons nous faire pour le château de la noue ? dommage que cette bâtisse, victime d'un début d'incendie alors qu'il est inoccupé et privé d'électricité, soit abandonn

De l'algosup plein la bouche au silence presque méprisant, que se passe-t-il sur la planète de l'école numérique que les élus de la communauté de communes et de la ville, nous présentaient comme la référence capable de sortir vierzon de l'ornière ? on sent qu'il se passe quelque chose, depuis l'article dans le berry l'an passé qui remett

C'est là qu'on s'aperçoit que le député-encore maire de cette ville fait n'importe quoi et s'en moque ! d'abord il nous a vendu un pôle d'échange multimodale à la gare de vierzon, dans des anciennes halles de la sernam que la sncf veut raser car elles s'écroulent. super non ? mais le projet s'arrête même avant. puisque, comme on l'a déj

Reconnue ville industrielle, industrieuse et ouvrière, la ville a petit à petit perdu les honneurs de sa réputation, dans les méandres des crises économiques successives. des forges à la porcelaine, des verreries au machinisme agricole, de la pointerie à la star up ledger qui construit une entreprise sur le parc technologique de sologne, vie

Il se passe toujours, ici, ce qu'il ne se passe pas ailleurs. a croire que vierzon est une république à part, un bout de terre singulier qui concentre des courants contraires qui s'annulent. c'est pour cette raison que le communisme alimentaire y survit depuis si longtemps, et s'il ne reste qu'une lanterne rouge allumée, ce sera ici, à vierzon

Voici deux coupures de presse anciennes mais particulièrement intéressantes. la première est datée du 3 octobre 1992. elle remonte à la fermeture du monoprix en centre-ville, là où les galeries ont fermé leurs portes en 2020. rappelons, pour le contexte politique que le parti communiste avait perdu la ville de vierzon en 1990 et que c’est

Les volets étaient fermés, le parapluie ouvert comme s'il allait pleuvoir a l'envers, la chaise était renversée, il n'était plus temps de s'asseoir. ce n'était pas le désordre mais le silence réparateur, celui qui remplit le vide et vide le bruit de ses échardes. après, si l'on veut, on peut toujours essayer de changer les choses. mais le

Il serait bon que les prestataires qui réalisent des travaux dans vierzon aient le sens des finitions. pas comme ici, place gabriel péri. c'est du foutage de gueule. même chose pour les mêmes qui laissent des trous et des barrières devant les commerces pendant les fêtes de noël. bravo les gars !