Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Accueil »

Profil de ÉpinardAttentif916500

ÉpinardAttentif916500
É

ÉpinardAttentif916500

Tags associés : antoine bereni, autres, christian roy, claire bodenes, georges cuffi, henri usuge, isabelle le moulec-deschamps, jacqueline viale-deschamps poesie et peinture, jean-claude deschamps, marie-anne lucas, michel ponce, philippe laroze, article, carnet de terre sainte, poesie, poesie et collage, poesie et peinture, texte

Ses blogs

lespoetesdudome.over-blog.com

lespoetesdudome.over-blog.com

un blog de poésie et d'écriture
ÉpinardAttentif916500 ÉpinardAttentif916500
Articles : 712
Depuis : 28/03/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Les vents cabrés

Les vents cabrés

Les vents cabrés cambrent la pluie qui frappe en gifles fluides mes rêves épars les vents dressés en voiles folles cheval de troie des lendemains immolent les obstacles coulée à terre je me resserre ferme les écailles laissez passer l’assaut tenir la terre assez fort pour ne pas m’envoler tenir en pensant a mon pays où la terre étincel
Vers d'autres sphères

Vers d'autres sphères

Je suis né de mon grand désespoir , à force de regarder longuement pleurer la terre. d'elle n'ai-je, par amour, détourné mon regard pour le tourner vers d'autres sphères ? telle une brille le matin, soleil, espoir : mère ! jusqu'à me rendre bienheureux ; et telle autre illumine, lune, les soirs, fille ! dont je suis amoureux. deux astres qu
Paris

Paris

La vitre zébrée de pluie hachure les toits, les cheminées. le ciel mouvant se grise de nuages en continents. le chien regarde les pigeons, il jappe, tout somnolent, il rit dans ses rêves, sursaute de courses imaginées. c'est un moment d'étrange plénitude très sereine, paisibles les heures s'écoulent sans heurts et sans peines. quelques bru
Les battements du coeur

Les battements du coeur

Ni chansons ni poèmes, la source s'est-elle tarie? il ne reste des muses, que battements de cœur, sans paroles ni musique. comme les fleurs en livrant leurs parfums, comme la lumière illuminant le monde, sans paroles ni musique, ils évoquent ton nom, le rendent intelligible, et le révèlent à l'univers. les battements du cœur! l'homme à la
Louise

Louise

Calme et bleu sourire ourlé de rire pas prudents sur une vie duvet lac lisse apaisant les cascades de la sœur aimée. elle grandit à chaque seconde sans bruit de crescendo ni trompette blottie entre piano et guitare. au bois joli du chaperon rouge elle sourit au loup qui devient biche. danse douce et dorée d’amour comme une brioche sucrée qu
L'envers et l'endroit

L'envers et l'endroit

Position assise, posture du patriarche, et crédibilité intouchable, des rides indétrônables, sceaux de la sagesse. deux mains nouées sur un destin scellé. mais parfois il oscille entre l’envers et l’endroit tel un balancier. l’envers et l’endroit : deux bretteurs improbables s’affrontant désormais jusqu’à ce que chute s’en sui
Printemps avant-coureur d'un dernier dimanche passé près d'Athène

Printemps avant-coureur d'un dernier dimanche passé près d'athène

Et toi tendre fleur en perçant la neige tu éblouis le monde de ta beauté – ce monde obscur … mais nul ne te vit ne t’aperçut si ce n’est moi fleur de givre … je sentais bien sur mon visage les chauds rayons du soleil là chantant tout bas le reste d’une vie qui tremblait de froid … qui refusait l’hiver ? qui de mourir ? fleur de
L'esprit

L'esprit

Les escaliers n'ont pas d'esprit sauf le chat qui ronronne là dans les volutes des marches un rayon de soleil le caline entre ses pattes nonchalantes il étire à lui l'espace des heures
Voeux 2025

Voeux 2025

Comme la plume au vent, le poète se promène. il griffonne sur un coin de table un tableau où se cachent des secrets, secrets d'amour ou de chagrin, de joie ou de mélancolie. venez découvrir les mots croisés en carousel, ou superposés en farandole que le poète tire de son coeur...que 2025 nous permette de nous rencontrer souvent au fil des m
Et Pourtant

Et pourtant

Ces sentiers ont prévu des cailloux, des ronces et des herbes esseulées, sourds à l’unisson du soleil et des dunes, aux chjami è rispondi* de la mer et des lunes. que faire de ces buissons languissants, enivrés de néant, envahis par les ombres, comme s’ils sourdaient d’un monde oublié, d’un récit d’infra-tombe, ou d’une cité pe