Continent désignée afrique désignée par les critiques d’initiés. potentats placardés où doctrine d’attardés. prototype du mal congénital, il est preux. assigner à ne pas se résigner, récrier !... recouvrer sa fierté combattue, dissolue. indiquer sa négritude, quelle belle attitude ! enserrés, tels des primitifs, considérés… s
Michel-philippe Bissek
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Michel-philippe Bissek
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La plume ténébreuse
Retrouvez l'univers de l'auteur-écrivain français michel-philippe Bissek, Poèmes, Essais, pièces de théâtre tous les pratiques littéraires ainsi que les formes d'écritures y sont pratiquées.Vous serez surpris par cette plume moderne alliant avec brio complexité et lucidité s
Michel-philippe Bissek
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11/02/2014
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
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Ô !... colonialisme. tu as mystifié nos esprits, nous a investis et assujettis, avec vilenie. tu as volé nos vies, annihilé nos envies, violé nos privilèges, et anéanti nos libertés. tu as flétri nos terres, tué nos frères, dans tes plantocraties, sensées êtres des exemples de démocratie. mais ou avais-tu donc rangé toutes tes savant
Volatile crépuscule l’oiseau de nuit est un être grabataire, ou alors, un malade imaginaire ; un éternelle célibataire, qui vit dans un monde : stellaire intermédiaire, sans aucun pied à terre. sa vie est une lourde sanction et un enchevêtrement malsain, de mauvaises situations qui le ballottent outrageusement, sans aucune commisération.
L’être cher l’être cher, rarement répandu et pourtant très couru. son enchantement nous disperse, parfois nous traverse, nous transperce. on le ressent alors, jusque dans notre chair. il nous rend confus, on en devient obtus, oubliant que la passion tue. l’être cher, ne doit pas être bête, encore moins, qu’une silhouette. elle demeur
Point final vivace et tenace menace, tu m’agaces ! jamais tu ne te lasses. partout tu nous guette, sans cesse tu quêtes, telle une bête. avec toi, pas d’enfantillage aucun marchandage. impossible de lisser notre fuselage, de s’évader au large, d’échapper à ta rage. ta découverte provoque en nous un immense choc, qui nous suffoque. on
Obscurité la lumière s’est éteinte, l’obscurité a réveillé mes craintes. elle me fait frémir, parfois même, blêmir. je ne puis y souscrire. devrais-je fléchir ou en rougir ?... une étrange sensation habite mon corps, quand tu me submerges de ton ténébreux firmament. j’en susurre avec appréhension, essayant de cacher mon émotion