Au-delà, au-delà du temps qui passe un royaume tout en espace au-delà du premier regard se reconnaître sans fard au-delà du simple sourire voir une porte s'ouvrir invitation à franchir le seuil chasser la peur, choisir l'accueil. au-delà de toute raison voir en l'autre ses saisons et s'il existe un hazard il organise à bien des égards de j
Ingrid Ôtachêne
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Ingrid Ôtachêne
Conteuse, nouvelliste, bidouilleuse, animatrice d'ateliers en tous genres. Lectrice de ses deux recueils "Bouts de chemin" auto-édité en édition limité et "Elles,ils,nous..." Aux éditions du Net. Pour en savoir plus : ingridotachene@free.fr
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Nouvelles, Poêmes, Comptines et petits riens....mis en images, en décal'âge, tout...mes passages !
Ingrid Ôtachêne
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10/02/2014
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
A-t-elle confondu eole et eon ? vrai, elle ne manque pas d'air ! il y a du vent sous son front, l'iode s'invite, s'offre, adhère. accordons-lui un peu d'indulgence, la touche à touche est en émergence. iô
Un petit recueil d'instants de vie. un éclairage sur nous petits humains noyés dans la multitude. une sorte d'instantané (et non de succédané !) n'hésitez pas à rencontrer au-travers de ces lignes ce qui fait de nous des êtres exceptionnels, uniques. bonne lecture. iô
Petits brins glacés unis, enlacés pigments argentés royaume enchanté. iô
Dans nos charlottes de douillets nids dents grignotent la trame unie fin de l'histoire ? à vous de voir... iô
Coucou qui est là ? que je te vois sortir du trou ! voilà le chapeau gruyère de paille juste la bonne taille pour un chapiteau ! coucou tu es là ? lérot ou souriceau montre ton museau ! i^
bon chapeau !
Je conserve le silence penseront certains mise en boîte avec son petit air cabotin ! scotchée par l'air marin, fouettée par les embruns vous cartonnez presque, j'en ai plein le brun éviter les cartons, les scotchs professionnels qui ne retiennent rien et surtout l'essentiel et maintenant amis le grand déballement je vois arriver la plage du d
Des pas légers effleurent le sol gravillonné. des pépiements jalonnent la rue. impressionnés bourdonnement d'excitation, d'appréhension. dans les corps sourdent la peur de la séparation. qui est le plus tendu ? le parent ou l'enfant ? marée au bord des cils et gros rhume d'éléphant l'adulte un peu penaud brasse des mots d'amour pour rassur
Amoureux d'une châtaigne il attend l'hérisson que la belle enfin daigne lui donner le frisson pour toute récompense il se prend un marron purée ! l'éprouvé pense pauvre prochain larron ! iô
un amour qui ne manque pas de piquant !
Blondes ondulations reflets d'émotions ourlet d'une oreille capteur en éveil bleu luminaire ouvert sur l'imaginaire. zébulon sur ressorts il prend son essor gagne sa place ses bras enlacent. et voilà sa bouille palette à tambouille où le chocolat s'épanouit entre les grains de beauté le rire fuse, jaillit nous transporte, peine ôtée petit