Marcel pagnol n'était pas un écrivain, il était l’écriture ; il n'était pas un cinéaste, il était le cinéma de sa provence, avec ses films d'anthologie tournés dans les décors naturels du massif du garlaban, et servis par des acteurs de génie, comme raimu, charpin, et fernandel, par exemple. les mots de pagnol c'est des ressorts - de p

Ils étaient deux amis, l'un était au dessin, et l'autre à l'écriture qui inventaient pour nous de drôles d'aventures, ils étaient deux amis, créateurs de génie, leurs noms ne faisaient qu'un : uderzo-goscinny ! oulala, oulala, attention les voilà, planquez vous ils sont là, les gaulois, les gaulois ! d'une plume magique et d'un crayon en

Un tabouret, une guitare, à l'instar de georges brassens, c'était tout le décor de guy béart pour dérouler son récital fait de chansons que tout le monde connait, comme "l'eau vive" ou "les couleurs du temps", par exemple. mais "qui suis-je et où vais-je", cette question le hantait, "et "il se demandait" : "le matin - disait-il -, je me lèv

Elle a chanté "on est bien peu de chose" : au départ, peut-être, mais à l'arrivée c'est autre chose : françoise hardy en son temps, "le temps des yéyés", avait bonne presse dans le monde du music-hall, de la mode, et du cinéma, et un succès incontestable dans nombre de pays, y compris aux états-unis : c'est comme ça quand on est "magiqu

A jean-paul belmondo. quand les acteurs avaient d'la gueule et d'l'estomac, bon dieu le cinéma, c'était du cinéma, du cinéma caviar, du cinéma cadeau, j'ai des noms, notamment celui de belmondo, on le voyait partout, on le voyait souvent, gouailleur, brasser de l'air comme un moulin à vent, sans cesser de sourire et de gesticuler, partir dans

Jacques brel c'est une œuvre, un monument de la chanson, du cinéma, de la poésie, et c'est surtout un interprète hors normes qui rugissait, qui éclatait, qui rigolait, ou qui pleurait tour à tour ses chansons ! ce n'était que du bonheur pour son public quand monsieur brel chantait, les petits bistrots d'amsterdam le soir s'emplissaient des j

A jean-jacques goldman : il est parti un jour, il est parti un jour "là-bas", pour ne plus revenir mais il chante toujours dans nos grands souvenirs, il chantait "je te donne", et il a tout repris, son temps, sa liberté, sans doute par envie de mieux se retrouver et de changer sa vie, au grand dam d'un public qu'il a laissé surpris, pourtant il

Elle a écrit, elle a chanté aussi, merveilleusement bien, et puis elle a choisi un jour de s'installer à son piano et de composer pour les autres, pour beaucoup d'autres, qui ont contribué, grâce à elle, à enrichir le répertoire de la chanson française de titres éternels. alice dona, qui a signé quelques uns des plus gros succès de serg

Sacha, c'est un éternel garnement, plutôt taquin, un peu loufoque, qui a traversé son époque sans mollir, à aucun moment : "si versailles m'était conté" une fois encore aujourd'hui j'aimerais que ce soit par lui, que j'aime entendre et écouter, soit, il flinguait sans état d'âme le beau sexe mais j'imagine qu'il jouait au faux misogyne al

A romy schneider, romy c'est un parcours étrange et fascinant, c'est celui d'une étoile entre vienne et paris brillant de bout en bout d'un éclat étonnant, d'un éclat étonnant, quand on la fait "sissi", romy a dix-sept ans, et d'emblée c'est le monde entier qui la chérit, qui tombe bouche bée sous son charme éclatant, sous son charme écl