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Notre Guinée
Analyses, commentaires de l'actualité politique, socio-économique et vulgarisation de l'histoire de la Guinée. Compte rendu de lecture et billets d'humeur sur toute l'actualité, sans frontière.

Articles à découvrir
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Touche pas à mon héros, même s’il est zéro, c’est d’abord mon parent ! dialogue communautaire à bâtons rompus !!!
les mêmes visages, les mêmes rituels, les mêmes absurdités. un pays figé dans le temps, incapable de tourner la page, prisonnier de ses propres illusions. on croit avancer, on croit rompre avec l’hier, on se félicite
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Une publication facebook de maître titi sidibé
dans ce premier épisode des palabres de conakry, trois voix se croisent autour d’un café en bord de mer à rogbané. elles interrogent la manière dont l’histoire guinéenne est racontée, vécue, trahie. les figures politiques sont-elles des héros ou des bourreaux ? peut-on bâtir une nation
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Les palabres de conakry - épisode 2 : "nation ou illusion ?" chronique d’une quête inachevée
Une nation n’est pas une idée qu’on proclame, c’est une volonté qu’on partage.
dans ce deuxième épisode des palabres de conakry, la discussion s’enracine dans la question cruciale de l’unité nationale. la guinée est-elle une nation véritable ou une illusion savamment entretenue ? les trois protagonistes — baba titi, alpha bacar
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Dans un pays où les menteurs prospèrent et les muets montent en grade, il arrive parfois qu’un homme parle — et que cela suffise à déclencher l’orage. aliou bah n’a ni volé, ni tué, ni trahi. il a juste osé dire la vérité à ceux qui l’ont confisquée. résultat : prison, menottes et silence médiatique. mais voilà, il parle enc
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Les palabres de conakry : une parole populaire entre mémoire, critique et espérance
L'histoire ne se fiche pas mal que vous vous rongiez les oncles
il vit combien il est dangereux d’avoir raison dans des choses où des hommes accrédités ont tort.
plage de rogbané, conakry.
les palabres de conakry est une série de chroniques dialoguées, ancrées dans la nuit guinéenne, au bord de l’atlantique, à rogbané. là, sous une p
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26 mars 1984 – 26 mars 2025 : la fin d’un règne, pas d’un système
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sékou est mort. officiellement, bien sûr. car ses fantômes ont gardé des postes. ils siègent au gouvernement, dans les casernes, à la télévision nationale. le vieux lion a rendu l’âme, mais les hyènes sont restées. et les moutons aussi, bêlant leur fatigue en silence. ce jour de mars 1984, on aurait cru qu’un
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Guinée : petits chefs, grandes solitudes – ou pourquoi la junte dort tranquille
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il paraît que la guinée est un pays de braves. il paraît. mais à voir le ballet des opposants, des leaders en herbe et des champions du verbe creux, on se dit que la bravoure a pris congé. ou qu’elle s’est fait la malle avec la confiance et le bon sens, direction ailleurs. le cnrd est là. bien installé. il réprim
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Qui se sent morveux, qu'il se mouche.
droit de réponse à la tribune de guillaume hawing parue dans vision guinée du 23 mars 2025 : la folie universelle ne doit pas fouetter l’esprit d’un écrivain (par guillaume hawing) guillaume… tu as crié. pas fort, non. longuement. embrouillé. tu as crié parce qu’on t’a touché. pas toi seulemen
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Tierno monénembo, ou l’intellectuel qui gêne parce qu’il reste debout
Quand la stupidité est considérée comme du patriotisme, il est dangereux d’être intelligent.
il suffit d’un mot, parfois, pour que tout un système prenne feu. pas une insulte. pas une calomnie. juste un mot précis, juste, tranchant. et voilà toute la république qui se tord, comme si elle avait marché sur une aiguille nue. monénembo a
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Infographie du rapport du matd
le boa est ce serpent sans venin et qui ne mord pas. il n’a pas besoin. il s’enroule. il serre. il attend. il serre encore. il laisse juste assez d’air pour qu’on y croit encore, qu’on s’agite un peu, qu’on tente de résister. et puis, quand on pense que ça va passer, il resserre encore un peu plus. l