Que l’on s’en aille et c’est la fracture qui résonne on se chamaille ou l’on frissonne plus vraiment sûrs frappant d’un coup fatal sous mon armure sous mes écailles tu m’empoisonnes et moi je te capture douleur métal douce figure je t’emprisonne nos entailles ne sont à personne qu’à nous bien sûr embrassons nos blessures enla
Matthieu Gaines
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Matthieu Gaines
Amateur, dans le désordre, de littérature, de poésie, de musique, enfin de tous les mots.
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As-tu déjà senti le fleuve son flot grandit jour après jour en avril en décembre et qu'il neige ou qu'il pleuve il trace son parcours parfois brûlant comme de lave et d'autres fois chargé de glace le fleuve se poursuit sans but et sans entrave il coule et le temps passe inconcevable force il coule et chaque décision l'entraîne et renforce s
J'avais laissé dans l'eau tant d'obscures paroles à la seule nature ou à toi destinées, l'hiver est survenu qui les a pétrifiées ces chansons pour l'oubli aux sombres auréoles. dans ce cristal nouveau à présent purifiés les mots me semblent crus, eux que je voulaient fous. combien j'ai regretté ces rimes sur ton cou ! sur tes lèvres cer
Les soleils couchés dans le rhin s'emmêlent au rebord du ciel tout effiloché les soleils qui dansent dans les flots lissés aux franges glacées du rhin sans méfiance chacun à son tour s'abîment joueurs ultimes lueurs qui sombrent toujours sous les eaux d'argent novembre se passe et les soleils glacent dans le rhin changeant moi j'observe et
Si les cieux ont crevé toute leur eau d'hiver mais n'ont pas su noyer l'espoir c'est elle comme un avril qui s'est perdu si la terre a tremblé jetant à bas les murs mais n'a pas su briser les hommes c'est elle comme un soleil de réconfort si le temps s'est enfui aspirant au silence mais n'a pas su sécher les rires c'est elle comme un sourire a
De tes bras qui m'attirent ne garder qu'un parfum qu'un mirage un refrain n'espérer qu'un sourire m'inventer une histoire au fond de tes yeux sages et n'offrir pour visage qu'un palais des miroirs leur offrir mon départ sur le prochain navire si je peux conserver un peu ton souvenir et tout abandonner le coeur brisé sourire mais oublier ton nom
Bonjour à toi, lecteur égaré - ou non. ce blog ayant fait son temps, mes textes migrent sur https://silenceecrit.wordpress.com/ au plaisir de t'y rencontrer matthieu
T’espérer idéale et tes lèvres rêver lentement soulever ton mystère et ses voiles vouloir te dévorer de douceur en scandale que ne puis-je aujourd’hui choisir un tel bonheur simple et plein de douceur au lieu de quoi l’ennui tient mes jours et mes heures et s’accroche à ma vie qui n’a jamais souffert n’adora qu’à moitié et je
Mogwai - hungry face
à trop vouloir oser, les yeux mi-clos le sourire hésitant, qu'avons-nous dit dans ces moment gâchés : moins que tout, la fracture ou le néant ? rieur je leur dirai elle a passé comme un mois de juin passe et jaunit, croix sur le calendrier ; et mon rire me sera trop vivace. peut-être dans tes phrases je resterai dans les
Rêver comme un écho chaque instant près de toi et n’oser m’éveiller que lorsque tu te livres à tes côtés me sentir ivre et libre pour une heure un bonheur hors-la-loi d’heure en heure t’attendre et te revoir trop tard espérer chaque jour que la nuit ralentisse chaque nuit que le jour pâlisse et ces moments offerts regretter leur d