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Marche i ai couru, nu d’automne vers les maisons basses avec la lourdeur du gravier et mes semelles de peau ce chemin vers rien de certain qui se brise en bruissements rances pas même une ronce connue, ni le terme, ai caché, donc mon visage en terre, apaisé à la douceur de la motte, son odeur et que faire du dédale de l’air ? il bombb le p