Ils voient rouge "fabuleuse" cette femme est fabuleuse. j’en aurais presque renversé le café du client… elle est vraiment merveilleuse et sa beauté n’a rien de conventionnel ; ses formes, sa poitrine, la couleur de ses cheveux… ce n’est en rien l’archétype de la femme fatale présent dans les magazines. et pourtant, elle est habill

Le soldat au stylo rouge le voici, le voilà, vaillant petit soldat, qui pointe sur les bévues son stylo rouge. mais à chaque salve, c’est le stylo qui saigne, car à tous coin de rue, c’est les profs qu’on dédaigne. quand le petit soldat, montre du doigt la lune, l’idiot ne la voit pas, il dit : « tu m’importunes ! » le voici, le vo

L’o bleu on doit écrire sur « l’o bleu » cette semaine. attendez, l’eau bleue ? je me rappelle celle de la mer, effectivement, son eau est bleue, c’est à cause d’un truc scientifique avec le bleu du ciel, enfin ça s’explique. a la piscine municipale aussi elle est bleue, c’est grâce aux petits carreaux colorés posés au fond du

Un nouveau monde ils sont là, il est arrivé, enfin. le premier jour où cet homme a pu marcher sur ce nouveau monde, monde qui ne ressemble en rien à ce qu’il connaissait, une terre où tout semble possible, où la force des bras saura faire jaillir de son ventre la moisson. ce jour, il est arrivé. le premier jour où cette femme a pu marcher

Il était une fois, une enfant devenue adulte, mais toujours enfant dans son esprit car elle refusait de grandir. cette jeune femme avait toujours refusé de faire ce qu’on lui demandait d’accomplir. ainsi, elle avait grandi dans un sens contraire aux autres. un peu à l’envers sur cette vaste terre, elle était donc restée très petite de t

Edward hopper: morning sun, 1952. crédits photo : © columbus museum of art, ohio elle expose sa peau au soleil. elle expose sa peau aux passants. tu passes par là, et tu la vois, cette femme ; elle n’est ni vraiment allongée, ni vraiment assise, elle est posée sur cet appui, se tient dans l’encadrement de la fenêtre, face au monde, face

Malédiction le jour de ma naissance, mes parents m'ont transmis, l'amour et puis la chance, d'avoir ma place ici. mais un beau jour mon papa, n'a plus voulu de moi, et il a mis çà-et-là, des sanglots dans ma voix, depuis ce jour tragique, qui m'a volé ma joie, je suis mélancolique, et n'ai pas d'autre choix que de me rapprocher des hommes d'

Hymne à l'amour bien sûr que l'amour est vainqueur. même quand la vie m'importune, qu'elle crée mes sanglots et mes pleurs, montrant la voie de la lune. de notre vie, l'instigateur, il a vaincu tous les drames; la guerre et les enfants en larmes, par son charme fécondateur . il survit à la maladie, a la peur et la famine. il nous découvre un

Il était une fois, un homme qui avait toujours cherché la facilité ; il était assez paresseux et ne croyait pas vraiment en lui. c’est pour cette raison qu’il ne faisait jamais d’efforts : d’abord parce qu’il était fatigué rien que d’y penser, et aussi parce qu’il ne se pensait pas capable de réussir quoi que ce soit. cependant

Il était une fois un homme seul entouré de beaucoup de monde qu’il connaissait bien. un homme seul qui riait souvent avec les autres, mais qui gardait toujours une solitude, un vide, qu’il cachait aux autres et à lui-même. cet homme travaillait surtout la nuit, le soir, quand la lumière du jour se terrait on ne sait où et que la lumière