C'est qui ? george alan o'dowd, 52 ans, alias jesus i love, ex leader du groupe culture club (remember "do you really want to hurt me ?", "karma chameleon"...). plus connu sous le nom de... boy george. le chanteur britannique, toujours aussi peinturluré (merci à son ou sa styliste mais peut-être n'en-a-t-il pas ?), et allégé de quelques kilos

C'est qui ? ludéal, ce n'est pas qu'un médicament contre la contraception, c'est aussi un chanteur de rock, nourri, assourdi pêle-mêle de disques d'elvis presley, queen voire des chaussettes noires. le pseudo contraceptif dissimule un certain vincent, né à drancy en seine saint-denis, piètre étudiant mais grand gratouilleur de six cordes de

C'est qui ? mystère, mystère... a priori, un duo de djs, originaires de haute-normandie et répondant aux patronymes énigmatiques d'aeon seven et kunst throw (deux noms de guerriers vikings ?). le choix de "christine" pour baptiser le groupe serait un hommage au film d'horreur datant de 1983 du même nom réalisé par john carpenter où une inqu

C'est qui ? emule d'etienne daho, influencé par new order, dominique dalcan avait fait "sensation" dans le petit milieu de la pop-music made in france (bien avant le triomphe mondial de phoenix) avec un premier album, "entre l'etoile et le carré", sorti en... 1992. s'y détachait le single teinté d'électronique "comment faut-il faire ?" (cf vid

Le clip de "ticky ticky" m'avait déjà accroché l'oeil depuis quelques temps au détour de you tube, et le refrain commençait à s'incruster peu à peu dans mes esgourdes sans pour autant que je guette les moindres nouvelles de cette inconnue baptisée owlle. et puis, j'ai eu la chance de recevoir l'album quelques semaines avant sa sortie. curie

C'est qui ? des inconnus. un certain fred aux programmations et aux instruments, une certaine zara au micro. c'est quoi ? c'est comment ? ce qui frappe d'emblée, c'est la voix puissante et groovy de zara, énigmatique chanteuse originaire de guyane de ce duo français détonnant. les chansons s'imposent en douceur comme des standards, tels le magn

Une pochette grise, une échelle de piscine rosâtre... la pochette du 2ème album du duo discodéine (constitué de "pentile" et "pilooski") joue la carte minimaliste question indication (même pas de tracklistin sur la jaquette arrière). je ne sais pas pourquoi : elle m'évoque vaguement pour ceux qui s'en souviennent l'univers visuel de "wild p

Quatre morceaux, pas un de plus... mais cela suffit pour que les lillois du groupe rocky (what a name !) marquent le coup et se distinguent de la production musicale actuelle. rien de bien révolutionnaire pourtant : une belle voix soul qui ondule sur des beats liquides et moites qui évoquent/rappellent au choix l'album fondateur screamadelica de

Album après album, l’iconoclaste julien doré se débarrasse petit à petit de l’image du petit prince surdoué du télé crochet nouvelle star pour révéler et assumer auprès du public les grands écarts de son univers musical où se côtoient en bonne intelligence aussi bien les envolées de frank sinatra que les guitares new wave de new o

C'est un album qui ne flamboie pas, qui ne frime pas mais qui à force d'écoute(s) s'installe dans votre lecteur platine, y prend ses aises et joue les prolongations. quelque part, on y reconnait etienne daho ("gin fizz"), jean bart (le désabusé "un jour peut-être"), un peu jean-louis aubert pour la voix juvénile ("la tasse") mais aussi daniel