Noyer dans un sablier dans nos sabliers une fuite. et notre sang s'écoule. il goutte goutte goutte sur le sable pâle. il se creuse sous cette pluie hideuse. et dans notre naïveté nous avions espéré que par la sueur, le temps et les larmes de nos malheureux labeurs telle une lame nous marquerions la matière lors que nous nous élèverons dans

Une journée dans la vie d'un poète il est 4h du matin et je me mets à écrire dans cette pièce ou la chaleur abonde. mon front dégouline de sueur et des gouttes tombent sur le papier en formant des bosses, sur lesquelles l’ancre fait du toboggan. il est 7h, je bois mon café, les aiguilles de ma montre gèlent. et les poils de ma peau se dre

Insomnia je marche dans ma tête j'y fais les cent pas. mais vide, rien. pas une pensée. je me sens comme ces malades qui ne trouvent pas le sommeil et marchent. mais sans croiser personne. mise à part quelques âmes vide. quelques marginaux, fous. du moins c'est dans leurs yeux de quoi ? la folie dans les yeux. un corbeau dans leurs yeux un corb

Poupée vaudou poupée vaudou humanité aie ouf aiguille enfoncée retirer vie plaisir souffrance la question réside qui joue sans cesse a nous piquer jusqu'à la mort avec le temps et la maladie a.b

Je pour tu qu'est ce qui motive nos choix ? les autres. si j'ais réussi ma vie c'est que je suis riche (triche) mais si je vivais dans une île déserte des hommes a qui pourrais je le raconter que je suis riche (triche) et que ma femme et géniale (vénale) ainsi j'ais fais de ma vie une histoire une histoire à raconter que j'enjolive maquille m

Serpents omniprésents. «homme, y a t-il quelqu'un ? » le prophète appel en vain. « nous sommes là, nous pouvons marcher, et avons des mains. ne t'entête plus à chercher ? » « homme, y a quelqu'un ? » le poète appel en vain. « nous sommes là nous marchons en pas. grâce à nos idéologies, chair à cannelloni » « homme, hé ho y a qu