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papiluc

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cinq fois grand père, que du bonheur ! curieux de tant et dilettante

Ses blogs

quelques conneries sans prétentions

De petits délires inoffensifs, conçus à la hâte et publiés avant toute réflexion. Si vous y trouvez ne serait ce que l'ombre d'un sourire vous m'en verrez ravi et récompensé de la peine que j'ai prise. Je ne le crains pas le ridicule. J'ai parfois quelque remord, un tantinet d'autocensure pourrait parfois m'éviter une rougeur confuse, mais la vie est trop courte pour être sérieux.
papiluc papiluc
Articles : 393
Depuis : 29/01/2009
Categorie : Photographie

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"la poésie c'est un contre-pouvoir sans pouvoir, qui décide de déposer les armes" arthur teboul
Nouvelles de l'Île

Nouvelles de l'île

Au sortir de l'assemblée générale des amis de l'île de noirmoutier , salle hubert poignant , premier quartier le vendredi 9 août 2024.
Laissons jouer Lazare

Laissons jouer lazare

J'ai voulu, en un moment de désœuvrement, jouer le jeu que je me proposais tout seul, onaniste que je suis, en démarrant ce blog : publier une photo prise totalement au hasard mais qui est vraiment mienne, puis la commenter... je n'ai pas triché, c'est quasiment le yeux fermés que j'ai cliqué dans mes dossiers et j'ai validé mon non-choix pa
Je demande le droit de rêver

Je demande le droit de rêver

Ah nous voilà cernés par bien des interdictions ! c'est un sujet que je porte, qui me ronge depuis bien longtemps. j'ai été élevé par des parents qui, bien que férocement traditionnalistes, étaient cependant foncièrement anarchistes et qui, de ce fait, posaient plus d' anathèmes que de limites. il fallait naviguer avec cette absence de bo
Quelques nouvelles en passant

Quelques nouvelles en passant

Considérations météorologiques pendant que juin conjugue une grammaire martienne chaque apparition d'un rayon de soleil est l'invite à mettre le nez dehors, s'ébrouer un instant, retrouver dame nature dans ses habits printaniers, au risque de recevoir quelque goutte des broussailles gorgées d'eau. là où fut rêvée naguère un cabane fleuri
Tiens en voilà de l'inspiration

Tiens en voilà de l'inspiration

Ton odorat, juge de pets, t'affirme que tu pues la merde t'as vu le nez de mbappé ? y'a des enfants qui perdent le sens du jeu, de l'amitié, le tendre souvenir de tous les petits lieux que l'on peut retenir. des enfants, pas même préadolescents, dans un hangar de courbevoie, et c'est moi qui ai honte ! mon insomnie de la nuit dernière trouvait