« je tu ils » …mais elle, « oui » vous, c’est isabelle marie anne de truchis de varennes : zazie à la queneau pour les intimes. une poupée à la plastique de rêve tout droit sortie d’un conte de fée avec ses origines aristocratiques. vous défilez sur les podiums des plus grands couturiers mais faites une trêve au final définitive !
Stella Delmas
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Passionnée & attirée depuis toujours par le monde artistique, audiovisuel, littéraire et le journalisme, je suis une éternelle amoureuse des mots. Tour à tour Journaliste, Animatrice radio, Parolière, Poète, Chroniqueuse, Auteure, je réalise interviews, portraits, chroniques, billets d'humeur, synopsis… portant un intérêt tout particulier aux autres, à leurs talents, parcours et ce qui les fait vivre et se lever le matin. Je vis pour écrire et aspire plus que tout à vivre des écrits de ma plume... Avec elle, je me sens pousser des ailes... Ensemble parcourons la voie lactée des mots...et laissons-nous porter par leur incandescence qui subtilement émeut tous nos sens...
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24/05/2013
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Je tresse la chevelure onirique qui me nuit que mes mains tissent un autre destin que le tien me perdre ailleurs que dans l’abysse de ta détresse flotter dans les sphères où danse encore la liesse draguer les fonds d’océans d’autres bleus que nuit leurs crinières me consolent quand ton fantôme m’étreint eteintes, leurs boucles récha
Délesté de ses bagages « il me faut » : l’amour voyage incognito
Ah l’amour… il court et peu l’attrape au vol… et pourtant son vol, à lu,i est au long cours ! il traverse le ciel des cœurs, esprits et corps, tous les états, toutes les saisons et tous les âges… les vents de nos désirs à son égard soufflent dans tous les sens car, guidés par les peurs, attentes et exigences que nous transportons
Un regard…hagard qui se pose sur cet autre qui sort de nulle part, et l’instant suivant vous ressentez que plus rien ne sera comme avant. que tout sera différent. que tout est déjà différent. que vous n’êtes plus indifférent. la magie opère sur votre cœur ouvert. cœur malade à la porte close, ivre d’avoir trop pleuré, d’avoir a
Ça va vite, ça va vite quand, dans leur petite tête, tout ça, ça s’agite *** ça leur prend, ça leur vient de p’tits noms ils t’apprêtent ça, c’est sûr, ça retient *** et plus rien n’les arrête *** ma chérie, ma douceur ça, ça vous remue l’cœur ça vous rapproche encore ça vaut un corps à corps *** c’est l’film qui
Vienne le jour de nous que la nuit de moi seule se drape dans son linceul ******* vienne le jour de nous que les heures d’espoir se logent dans tes regards ******* vienne le jour de nous que les minutes troubles s’évaporent en ton double ******* vienne le jour de nous que l’effroi de l’absence glace son opalescence ******* vienne le jour d
Michel drucker : quand filer un mauvais coton vous taille un costard de star …
« mais qu’est-ce qu’on va faire de toi ? » aurait pu être le titre de l’une de vos émissions, de votre autobiographie ou bien encore de votre one-man-show, c’est celui d’un téléfilm mais aussi du scénario de votre vie aujourd’hui érigée en modèle de réussite ! seul en scelle, seul avec vous(-même), vous l’étiez avant que
La petite voix qui, jadis, murmurait : « toi tu seras médecin, avocat, comme ton père ou ta mère »… on y devient sourd ! adieu au son routinier de la carrière toute tracée. adieu à l’unique ouverture qui, aujourd’hui, résonne comme un vieux classique au message sans futur. ancré dans une vie, un métier qui sonne faux en vous ? comm
Quand je me vois je succombe au vide sidéral des idéaux ******* tout le mal-être les peut-être tournent soudain mal en vidéo ******* arrête ton cinéma la vie en noir et blanc c’est plat coupe la comédie, la satire coupe les idéaux et le pire arrête tes vidéaux change la fin de ton scénario ******* quand tu me vois tu me plombes et vid
Oh mon p’tit chat, je suis mordu de ta p’tite gueule d’amour racée de sol en si j’gratte des je t’aime toutes mes balades ont le même thème des airs transis et hauts perchés j’fais patte de velours pour t’approcher ** je suis mordu d’toi et je m’en mords les doigts a jouer à cache-cache avec toi, comme un gosse avec ses non-d