Jésus revint à la maison, il s’y assembla une si grande foule de peuple, qu’ils ne pouvaient pas même prendre leur repas. ce que ses proches ayant appris, ils vinrent pour se saisir de lui : car ils disaient qu’il avait perdu l’esprit. et les scribes qui étaient venus de jérusalem, disaient : il est possédé de béelzébub, et c’est
un pèlerin
un pèlerin
Ses blogs
Articles :
4820
Depuis :
22/01/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Par ses cheveux épars une femme entraînée qu’entoure avec clameur la foule déchaînée cette femme adultère est coupable et surprise que doit faire israël de la loi de moïse ? par ces vers, alfred de vigny décrivait le tableau si poignant dont l’évangile nous livre en ce jour le récit : le face-à-face de la femme adultère et du sauv
Où qu’il aille, roiter révélait littéralement la beauté.
umbria, 1954
les quarante-huit photos en noir et blanc exposées aujourd’hui sont issues de l’ouvrage ombrie. terre de saint-françois (guilde du livre de lausanne, 1955) qui lui valut en 1956 le prix nadar. ces superbes photos de la campagne ombrienne donnent du cantique des créa
jérusalem, une leçon d'humilité (requiem for modesty or living in jerusalem)
Car à travers ses rues, ses bâtiments et ses sites, jérusalem révèle au grand jour les conflits les plus durs de l'état sous forme de métaphore. sa beauté, qu'on s'efforce vainement de dénaturer, ses couleurs, son air et son atmosphère, voire ses problèmes, sa laideur et ses paysages humains, m'apparaissent quotidiennement comme un monde
Mercredi dernier l’imposition des cendres nous a rappelé l’humilité de notre condition première. elle nous a tournés vers l’humus, vers la terre, vers ce terreau de notre condition native et primordiale. nous sommes de la race d’adam, ce glébeux, ce fangeux, ce terreux, ce bouseux : telle est notre modeste extraction. nous sommes pouss
C’est ainsi que marche l’humanité exsangue sur cette autoroute large et spacieuse qui descend de jérusalem, qui déchoit de la capitale et s’engouffre dans l’ombre vespérale. tels sont bien nos deux disciples d’emmaüs, naufragés de l’espérance, incapables de reconnaître la lumière qui marche avec eux. ils allaient tête basse sa
" pour expliquer la vie au monastère, il faut avant tout mentionner le silence. pendant mes années passées ici, j'ai appris que le silence n'était pas seulement le calme ou l'absence de bruit. au contraire, il s'agit plutôt d'une écoute très attentive. le silence est nécessaire pour percevoir le bruit au-delà du bruit, la sensation au-del
Les soldats ayant crucifié jésus, prirent ses vêtements et les divisèrent en quatre parts, une pour chaque soldat. ils prirent aussi la tunique ; et comme elle était sans couture, et d’un seul tissu depuis le haut jusqu’en bas, ils dirent entre eux : ne la coupons point, mais jetons au sort à qui l’aura ; afin que cette parole de l’é
Une lueur se fait dans le cœur des pèlerins d’emmaüs. merveilleux contre-jour ! ils retiennent à dîner celui qu’ils prennent toujours pour un inconnu : « reste avec nous car la nuit vient ! » qui louera assez la vertu d’hospitalité ! « accueille l’étranger et tu reconnaîtras ton sauveur ! » mais il faut “passer à table“ pou