(gezellig : adj. néerlandais désignant le sentiment d'un bonheur partagé dans un cadre douillet.) cet unique samedi de neige de janvier était gezellig. d'abord, je n'y croyais pas, à cette alerte neige. et puis, les flocons se sont mis à tomber alors que j'allais chercher colombine à son cours de dessin - les activités artistiques, c'est au
lapetitemaison
L
lapetitemaison
Une maison près de Paris, en banlieue comme on dit... La vie comme elle va !
Ses blogs
La petite maison dans la banlieue
Chronique d'une petite maison dans la banlieue et de ses occupants
lapetitemaison
Articles :
314
Depuis :
09/01/2011
Categorie :
Famille & Enfants
Articles à découvrir
Au premier confinement, j'ai ricané en voyant la permission de sortie accordée aux joggueurs, aux runneurs, aux coureurs en basket, qui ont soudain envahi les rues de mon quartier qui manque cruellement d'espaces verts (même si, en mettant bout à bout tous nos petits jardinets, nous sommes une sorte de poumon vert, sacrément covidé par l'urba
Jour 2. après avoir été abandonnée dans cette maison par ma maîtresse (certes, avec mes croquettes, ouf), j'ai retrouvé les petits zhumains que je connais bien, la zhumaine et le zhumain, que je n'avais pas beaucoup vu jusqu'ici. ils m'ont installé une sorte de loft tout confort au sous-sol (litière, arbre à chat, mais je préfère de loin
Ce dimanche, entre deux ondées, nous sommes partis à l'autre bout de la banlieue, complètement à l'est, pour un brunch à vincennes, munis des ados et de leur ballon de rugby ("dans le bois vous pourrez jouer", ils ont passé l'aprem à se faire des passes uniquement dans un périmètre de 10 m autour de nous), de colombine, de sa raquette et d
(petit conte de jardinage intérieur) dans le salon, tout contre la fenêtre, et près du radiateur, elles sont bien dans leur meuble-jardinière. elles sont généralement trois ou quatre, je n'ai pas la place de plus, parfois on me les a offert. depuis la rentrée 2019 au moins, elles n'ont pas accueilli de nouvelle venue. j'arrive - sans beaucou
Le couvre-feu de 18 heures m'a plongée dans la morosité. plus envie d'écrire, le moral plombé par l'enchaînement ultra-routinier des semaines : travail pendant cinq jours, avec des pauses déjeuner ultra minutées si par malheur j'avais envie de faire une course, 18 heures, plus de possibilité théorique de sortir acheter une baguette de pain
Ce mercredi (qui coïncidait aussi avec la fin d'un contrat pour moi), la pression était grande (au propre comme au figuré, même si une bière que tu ne déguste plus en terrasse n'a pas le même enjeu, même si notre pergola, résultat du confinement saison 1, est plutôt attrayante). comme il faisait très bon ce soir-là, voire presque chaud,
En janvier et février, je n'arrivais pas à écrire, certes, en revanche, me caler dans mon lit avec une série, aucun problème. voici quatres pépites fortement recommandables, et toutes accessibles en replay sur le oueb (très facilement accessibles pour trois d'entre elles sur les sites d'arte et de francetv), si tu veux chasser les ovnis de f
Enfin, plus que 21. dimanche soir, après avoir descendu les boîtes de décoration, accroché dehors les couronnes de l'avent, ressorti les anges en bois et rechargé les petits lumignons, un pour chaque dimanche, s'être concertés pour renouveler le ciel de la crèche, celui en papier argenté acheté il y a dix ans étant vraiment trop vieux, d
C'est vrai, il y a eu des moments où cette année 2021 m'a parue inatteignable, ou alors comme un mirage, ou la ligne d'horizon quand on est en mer. pourtant, pas de doute : les secondes devenant des minutes, puis des heures, et enfin des jours (selon un principe immuable, qui met un temps énorme à s'écouler pendant une matinée de cours de mat