Plus personne n'y croyait. on les pensait dissous, disparus dans l'accident de voiture qui emporta le batteur denis wielemans en mai 2010. certains ont bien cru à un retour lorsque, en 2011, la formation annonce participer à une mini-tournée des festivals à travers le projet "congotronics vs. rockers". etait-ce être trop optimiste d'y croire ?

Alors que l'univers tout entier (et un peu plus) s'affole autour de la sortie imminente du nouvel album d'arcade fire (le 29 octobre), intitulé reflektor et dont le premier extrait éponyme promet déjà une sorte de péplum musical québécois (oui, un péplum peut se dérouler au canada, je ne vois pas le problème), empruntons la machine à rem

C'est gratuit, c'est cadeau, c'est bientôt l'été, c'est une petite playlist complètement subjective de ce qu'il faut écouter pour le retour des beaux jours. sinon on mange des lasagnes avec des bouts de dauphin dedans.

Cela ne fait pas de mal de ressortir des vieilleries, de temps à autres. enfin, "vieilleries" est un terme peut-être un peu fort pour un morceau datant de 2005. mais celui-ci est tellement exceptionnel, qu'il semble venir d'un autre temps, d'une autre époque, cependant impossible à dater. puisant dans les racines de la musique américaine (folk

Portugal. the man. aussi étrange que cela puisse paraitre, ce nom (avec un point au milieu, oui oui) est celui d'un groupe originaire... d'alaska. pas de fado donc, ni de morue dans le rock indé de ces américains, distillant une musique s'inspirant autant de supertramp que d'arcade fire, où les violons et les guitares viennent sublimer un chant

On avait déjà parlé ici même de recettes improbables, de sucré-salé musicaux nous apportant une complexité auditive/gustative proche d'une gorgée de (bon) crozes-hermitage. ce genre de musique qui nous offre une palette d'émotions contraires en un laps de temps très restreint, nous plonge la tête sous l'eau et nous fait prendre une grand

Déstructuration pop, harmonies vocales, cordes et piano débarquant au moment où on s'y attend le moins, quelques touches d'électro bien senties... les mancuniens d'everything everything continuent d'allier art-rock, rythmes 80's et envolées beatlesiennes, comme un résumé de la pop anglaise des 50 dernières années. le disque parfait à l'he

Tu es nostalgique des années 90 ? tu attends impatiemment un nouvel album de the stone roses (qui n'arrivera jamais niark niark niark) ? tu as fait un aller-retour en angleterre l'an dernier pour voir blur parce que tu pensais naïvement qu'ils étaient sérieux lorsqu'ils disaient que le concert de clôture des jo serait leur dernier ? ton coeur

Il y a des recettes sur lequel on ne miserait pas une pièce, qu'on redoute au moment de goûter, et qui finalement s'avèrent être une réussite. le poulet au coca, les frites au nutella, le bloody mary... et "jessica", extraite du dernier album de major lazer, projet reggae/dancehall/electro du dj américain diplo. ce dernier nous avait déjà h

La naissance, le sexe, l'ivresse, la mort. voici résumé en quatre mots le clip de "late night" du dernier album de foals, le majestueux holy fire. nabil elderkin, à qui on doit déjà certains clips de kanye west, bon iver ou the weeknd, met ici en scène ces quatre stades de la vie, et en filme plus particulièrement le côté violent, dérange