Si tu résistes… chaque jour on t’emprisonne pour tes pensées sans regret sans explication on t’empoisonne l’existence jusqu’à user tes neurones des pensées si tu veux on t’en donne plus besoin d’effort ton sommeil et ton confort c’est notre fort si tu résistes un jour on t’assassinera en plein jour sur une place publique en d
Hassani Mhamed
Hassani Mhamed
poète, écrivain et auteur d’œuvres dramatiques
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456
Depuis :
10/11/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Anz...ul nassira ben youcef et makhlouf aoudia un mono drame écrit et mis en scène par norjai alache des prénoms qui résonnent dans la mémoire des spectateurs comme un écho lointain d’un vécu antérieur qui fait irruption à tout moment dans un présent circulaire… deux prénoms discours sur un passé ténébreux qui vous plonge directem
Bientôt bientôt, je renoncerai à mon identité, à mon histoire, à mon parcours. bientôt, je partirai comme sont partis tant d’autres sans un regard en arrière, sans un regret au talon. ils disaient que la dignité humaine ne se marchande pas, c’est un tout. bientôt, je m’en irai loin de ces tracas qui puent la prison. beaucoup de ceux
Https://www.lexpression.dz/culture/gardien-de-la-culture-amazighe-376031?fbclid=iwar0tbtjor0zez1lziks06iuosdlk7iqyhtvvwgmhlm-4fr0uqeztzu1utbk un artisan infatigable de la mémoire collective, et un gardien précieux de la culture millénaire. sa simplicité et sa sociabilité laissent une empreinte indélébile dans le coeur de ceux qui croisent so
L’électron libre poète en furie je le suis et ma seule arme est la poésie je dénigre les rois les rend risibles pour ceux d’en bas je professe la joie déjoue les lois et me joue des vassaux je n’ai d’autres choix que la voie qui mène aux bateaux et je n’ai d’autre voix que ma foi en tout ce qui est beau alors toi la particule ridi
Ici, là, ailleurs... des débats qui n’existent plus, des espaces qui disparaissent, des hommes qui partent, qui fuient sans un regard en arrière, d’autres qui se taisent et éclatent de l’intérieur... et puis ceux là qui continuent à glapir. la vie quoi ! oui la vie qui s’en va, qui quitte le corps algérie, se déverse dans toutes le
Rencontre des mots et des couleurs par m.hassani maison de la culture taoes amrouche-association alfa bejaia 03 décembre 22 extraits de « des couleurs et des clameurs à l’horizon » 2018 éditions berri bejaia voici ce que m’ont inspiré quelques artistes peintres que j’ai croisés çà et là, au gré des rencontres, des expositions, des
Mai il n'y a de mai qu’en joint il n'y a de mais qu’incertains il n'y a de mai qu'un mois dans l'année et de premier qu'un jour dans le mois il n’y a de fête que dans nos têtes puisque la rue est réservée aux seuls travailleurs de la matraque il n'y a de mai qu'en solo sur le divan allongé à attendre godo il n'y a pas de mais quand on
Seg ass-a, ad sufɣeɣ isefra inu yennuran gar 1981 d 1988 n lliɣ ǧiɣ g ṭṭerf... uraɣ ten s tjerrumt, ihi as nenfeɣ akken. fkem iyi d ṛay nwen, m ad kemleɣ ad sufeɣ amud n tmedyezt wis sin s tmaziɣt (amezwaru d ili 1975-1980) niɣ amek? atan usefru 1 n 1981, agejdi nniɣ-asen agejdi d tudert nniɣ-asen agejdi d tasekkurt nnan iyi-d ag
Je ne pleure pas non seulement ils emprisonnent à tour de bras mais aussi ils assassinent à l'ombre des lois mon pauvre pays qui a peur de ses blogueurs de ses érudits de ses rimeurs mon riche pays appauvri amaigri mis en péril mise à sac sans entracte en continu et en direct pourquoi donc s'acharner sans arrêt sur ses enfants ? mon cher pays