/image%2F2475403%2F20250219%2Fob_a3ac7a_rockktranslation-pj-harvey-the-dancer.jpg)
N° 568. les paroles résonnent comme une confession murmurée dans l’obscurité. le "danseur" ici se dérobe sans cesse, insaisissable, toujours en mouvement. une tension sacrificielle affleure—on sent que la narratrice offrirait tout : corps, âme, souffle—pour une caresse, un regard, un instant de possession. pourtant, le danseur continue