Lindsay anderson (1968)
les spectateurs étrangers ayant en tête l'univers de "harry potter" à l'évocation d'un collège anglais avec ses vénérables portraits, ses boiseries, ses uniformes et ses préfets risquent de déchanter. car c'est plutôt à un camp de concentration dissimulé sous une architecture gothique que ressemble "if....", vér
Rosalie210
Rosalie210
Je suis une passionnée de cinéma, avec une prédilection pour le genre burlesque, le cinéma japonais, les films d'animation, certains réalisateurs comme Jacques Demy, John Cassavetes, Billy Wilder, Wim Wenders, Wes Anderson (seconde période), Alfred Hitchcock, certains acteurs et actrices comme Jack Lemmon, Bernard Giraudeau, Emma Thompson, Gena Rowlands, Bruce Willis, Bruno Ganz...
Ses blogs
Cinepassion.over-blog.com
Analyse de classiques et de films récents par une passionnée du 7eme art. Mes goûts sont éclectiques, allant de la nouvelle vague française au cinéma japonais (animation incluse) en passant par l'expressionnisme allemand et ses héritiers et le cinéma américain des studios d'Hollywood aux indépendants.
Rosalie210
Articles :
2924
Depuis :
28/06/2017
Categorie :
Films, TV & Vidéos
Articles à découvrir
Armand guerra, raphaël clamour (1913)
misères de l'aiguille ou mystères de l'aiguille? il est bien difficile de suivre ce film de 1913. celui-ci est privé d'intertitres, l'image est très dégradée au point d'être parfois aux deux-tiers illisible. pour ne rien arranger, la fin du film est parasitée par des images venues d'un autre film qui n
Terence fisher (1959)
tout ce que je connais de la hammer, c'est un extrait de l'un de ses "dracula" avec christopher lee. quant à peter cushing il est pour moi associé à l'épisode 4 de star wars (et à "rogue one: a star wars story" (2016) où il est ressuscité par la grâce des effets spéciaux), question de génération. je ne suis pas non
Sean baker (2024)
j'ai eu du mal à entrer dans le film avec son début bling-bling oscillant entre boîte de strip-tease, maison de fils de milliardaire et casinos de las vegas, le tout au service d'un rêve en toc. sans doute l'héroïne voit-elle ce qui lui arrive comme un conte de fées, celui du prince qui épouse la bergère mais quand on con
Gints zilbalodis (2024)
hayao miyazaki n'en finit pas de faire des petits. en témoigne ce très beau film qui s'inspire de ses oeuvres post-apocalyptiques et plus précisément de sa série "conan, le fils du futur" (1978). autre inspiration majeure, celle de alfonso cuaron, notamment dans l'art de faire monter la tension à l'intérieur de plans-
Werner herzog (1978)
j'ai aimé l'atmosphère de "woyzeck", son alternance entre la place d'une ville typique d'europe centrale qui enferme les personnages pour toutes les scènes en rapport avec le théâtre social et ses échappées dans une campagne bucolique pour les scènes où les instincts sauvages prennent le dessus. le travail sur la photo
Jean-pierre améris (2010)
"les émotifs anonymes" joue sur l'hypertimidité de son duo de personnages pour créer des situations comiques à même de faire rire. et ça marche plutôt bien. isabelle carre et benoit poelvoorde sont à la fois touchants et désopilants. la scène dans laquelle ils se retrouvent pour la première fois en tête à tê
François truffaut (1971)
un des quelques films de francois truffaut que je n'avais jamais vu. un film très littéraire, follement romantique et d'une grande richesse. sans doute un nouvel autoportrait déguisé de francois truffaut à travers son double, jean-pierre leaud qu'il dirigeait pour la première fois dans un rôle différent de celui de
Cyril leuthy (2024)
jean-pierre leaud a été l'icône la plus célèbre de la nouvelle vague avec jean-paul belmondo. mais là où le second a dès les premières années de sa carrière navigué entre cinéma d'auteur et cinéma populaire pour finir par choisir ce dernier, jean-pierre leaud est devenu indissociable de son père de cinéma, franco
Medhi idir et grand corps malade (2024)
biopic pas transcendant mais pas honteux non plus, "monsieur aznavour" est un travail trop scolaire pour emporter pleinement l'adhésion. son principal défaut à mes yeux est d'avoir voulu mettre un maximum d'éléments de la vie pléthorique du chanteur-acteur alors que le format du cinéma est plutôt fait