Maître salaud en coupé cabriolet, tenais en bec une liasse mille pétasses par l'odeur alléchées lui tinrent à peu près ce langage hey, bonjour monsieur le salaud, que vous êtes fringué, que vous nous semblez beau sans mentir si votre ravage se rapport à votre liasse, vous êtes le roi des fantasmes ce soir, a ces mots le salaud ne se sent

Le partage c’est la partouse de la réussite une petite frappe du boulot, petite frappe loyale et engagée que j’aime bien et que j’ai découvert, cassée en miettes et recomposée finement dans une étape de sa carrière est passé me voir ce matin pour se plaindre de sa boss, parce que recomposer quelqu’un finement ne l’empêche pas fac

Tu prends le bus habituel, parmi tous ces gens que tu y vois, il y en a quelques-uns que tu dois absolument aimer ou au moins respecter et apprécier. votre seul point commun c'est cette même ligne de bus que vous prenez. c’est exactement pareil avec la belle famille : un groupe de personnes que tu dois apprécier parce que votre seul point comm

Etre, gratitude, mal, paix, foi, vision… des mots qui s’avancent vers moi, se bousculent en mon âme, mon esprit, que j’essaye de dompter, moi qui n’ai jamais dompté… gratitude je t’invoque… libère moi de mon mal, de ma colère qui m’envahit contre un besoin non assouvi et qui ne le sera peut être jamais, et qui sombre de plus en

N’ayant pas de nuits sincèrement reposantes, je me suis réveillé ce matin avec , en plus du train quotidien d’excellence qualité de merde, que tu dois prendre et le nombres d’incivilités que tu dois subir en commençant par ta femme, les inconnus de la route et les gens du boulot, avant que vienne enfin 11h, l’heure approximative de la

Le collaborateur chargé d’éponges et le collaborateur chargé de sel (inspirée de la fable de la fontaine : l'âne chargé d'éponges, et l'âne chargé de sel) un manager, portable à la main, menait, en empereur romain, deux coursiers à longues oreilles. l'un, d'éponges chargé, travaillait comme un courrier et l'autre, se faisant prier, s

Parce que les valeurs font fuir le parfum d’une femme que mes narines aspirent à sniffer, jusqu’à la moindre sueur, quand l’humanité est molle, indigne de vie, inerte et morte de règles et de coutumes et non d’excellence, ni de lumières ! moi, le salaud que je suis, à vous vivre, je meurs peu à peu, feu à feu, d’envie d’aimer le

Tu es fort, je l'admets car mon esprit tu as pénétré et d'un seul mot ou regard un geste ou une banale histoire mon monstre tu sais ressusciter. tu es fort, je l'admets mon esprit tu sais bouleverser ma haine tu fais rejaillir et je me sens peu à peu mourir tu es fort, je l'admets car des rêves tu m'a murmuré une belle vie tu m'as promis et c