Je veux un océan d'eau, étendue sans fin que l'horizon caressemiroir du ciel d'été et du soleil couchantqui me berce, m'étreint, m'inquiète tout autanttombeau des âmes d'aventuriers disparus. de livres au bon vieux parfum d'encre et de papiersoyeux au toucher des mots dont ils me délectentet des pages que l'on tourne aux passages infectesbe
TomateCapable2094746
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TomateCapable2094746
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Eclairez moi sous vos étoiles : soyez ma lune !egarez vous, c'est votre tour ! entre mes dunes,sables mouvants au goût de prune,vous connaîtrez pire infortune.. pénétrez mon âme frivole et qui s'envole,les pensées qui me feraient perdre la boussole :toiles faites de camisole,perdue dans des vapeurs d'alcool, je vous capturerais et suivrais v
Bonsoir, je me prénomme david et, pardon d'être aussi sec, mais c'est à peu près tout ce que je révélerai de moi ici. enfin... presque. tout de même, je peux ajouter que j'aime à peu près tout ce qui ne me repousse pas ; reste à savoir ce qui me repousse. je le sais mais ne le dirai pas. l'idée, c'est de partager ce que j'écris. aussi,
Quand vient le soleil sanglant du petit matinsur ma branche s'est posé un oiseau soudainalors que morphée me retientun foulard au lit me maintient sa soie sans me heurter ligote mes poignetsme voici tout autant aux chevilles nouévos lèvres viennent chatoyerma peau par vos gestes éprouvée votre bouche susurre à mon ouïe des tendressestoute a
Ils racontent à tout va : tout a été dit, a été écrit, tous les vers millénaires...que d'amour encore puis-je inventer ?mais si tout a été peint,que vois-je de toi : sont-ce des chimères ?et si les poètes ont dérobé toutes les rimes, tous les maux,que vois-tu ? l'air est si pur au bout des rêvesdonne tes mains et si tu feins, que de d
Des petits bouts de voussemés tels des caillouxintrigantes révélations, tant de secretscomme si de vous une part restait cachée. démarche si coquineune bouche bien malineposée là sur un cliché, lèvres bien pulpeusestendres sur ma peau, elles la rendraient heureuse. revendiquer un nun'a rien de l'ingénule vigoureux arrière-train, l'épaul
Monde qui agonisehaine que l'on attiseet nul n'a plus de prisesur demain, la hantise prier...tomber...appeler... pour rienréveiller les âmess'épuiser encore s'opposer pour nos languesnos bas instincts haranguentnos amitiés se fendentet nos rêves se pendent sceller...signer...appeler... en vainretoquer les âmess'effondrer encore se lève la pe
Du bout des doigts retenir le souffle fuyantdu petit matin que le soleil a tiédila douceur tendre en capturer par tous les poresafin que le jour entier en soit inspiré. un triste sire tentera certainementd'en ternir le plaisir tout à coup amoindriévoquant pluies, nuages, orages et pire encoresa mauvaise augure incitera à douter. c'est liberté
Si fier de toi tu t'affichesbraver l'ennemi, ses fils– la patrie qui t'appelletes lendemains tout en frichesceux de l'ennemi ; l'abysse !- la patrie qui t'appelletu t'enterres et te protègeslui t'attaque et te harcèle- sois un homme, sois un homme !et tu gonfles la poitrinelas, pourchasses la vermine- sois un homme ! la patrie compte sur toi !