Du gobelet en carton dans la série, parfois audacieusement remplacé par un mug, genre nous on produit français et on sait faire la vaisselle (oui, y a des femmes de ménage décolonisées dans les commissariats de la fiction française), vaste sujet de débat sur le déchet(je parle du gobelet, hein, pas de la fiction française et ses inénarra
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La minutie de son désespoir entérine chaque mauvaise nouvelle comme la preuve que tout est noir on a envie de lui montrer que son esprit assombrit ne peut voir aucune lumière par définition puisque l’obsession mélancolique lui sert de seul raisonnement dans son costume rigide figure lugubre de détresse elle ne peut plus avancer que dans le
Alors tu l’écris ton poème là pauvre fille qui se dope dans sa bulle vas y gratte ta feuille assise sur tes fesses tu torches ta bafouille de frustrée t’es rien de plus que ridicule se la jouer dans la langue tu parles ouais la jactance réfléchie la stance rétrécie moi aussi je peux faire « pouët » on t’a pas attendue pour rapper d
Jeu latent... je l’attends, j’attends, j’attente à la vie,... jette l‘attente ! attention l’attente est trop latente quel talent ce lent tas d’incertitude jeu tentant que de se lasser, peiner à attendre encore atteinte à l’attention qu’il faut continuer à entretenir attends moi, attends, je n’y suis plus là..... trop atteinte
Le corps tombe en morceaux fragments brisures miettes des os de la peau des viscères quelque chose s’est dissous il n’y a plus de lien de cohérence pour tenir debout de bas en haut fissures lézardes vide béant de l’absence un moment d’égarement et c’est la chute la faille l’écroulement de toute une vie plus de regard plus de bouch
Le printemps n'épargne rien ni personne. impitoyables prunus en fleurs, écume crémeuse qui pleure doucement dans le vent, tulipes arrogantes, jonquilles rutilantes, tubéreuses au parfum entêtant, le muguet commence déjà son invasion de la plate bande avec la menthe en concurrence, les rosiers sont enfeuillés, après avoir joué les morts é
Le torrent m’enroule et m’emporte au fond de la grotte sous-marine tout est bleu et léger et ralenti je dois avoir des branchies mon souffle est régulier il suit le ressac de beaux poissons colorés me frôlent je flotte, glisse, me retourne est ce ainsi, devenir sirène ? de longues algues paressent dans le courant une deux trois méduses da
Au fond du trou....
Dans l’immobile fuite du temps caillou brindille poussière être négligeable existant à peine parmi les milliard de molécules que dire que taire forcement dérisoire inutile ô comme la solitude pèse sur ce caillou cette brindille cette poussière de l’univers toi moi nous eux emportés dans le vortex tornades tempêtes ouragans malaxent n
Comment elle va faire, maintenant. avec ce vide, cette absence pourtant si présente. des choses concrètes, pratiques, dans les semaines à venir, oui bien sûr. entre deux crises de larmes, de sanglots, d’angoisse, de chagrin, la vie continue, soi- disant. les gens vont et viennent, il faut payer les factures, réserver un train, passer l’asp