Quarantine 2, john poque. 2011. epouvante, horreur. - quarantaine , voilà un nom qui ne paraît plus bien vendeur depuis le succès excessivement mitigé du premier film éponyme des deux frères dowdle , un ambitieux petit duo lancé dans le monde du remake , en réalisant la copie conforme de l'hispanique et traumatisant [•rec] . si la médioc

The ruins, carter smith. 2008. epouvante, horreur. - si grand nombre de survival mettent en scène des personnages luttant contre une menace humaine ou animale , rares sont ceux où les tortionnaires font partie du règne végétal . par conséquent , s'il y a bien une chose que l'on ne pourra pas enlever à ces ruines , c'est bel et bien l'origina

Final destination 5, steven quale. 2011. epouvante, horreur, thriller. - après un quatrième opus assez drôle mais sans grande saveur , la fin de la saga destination finale semblait discrètement pointer le bout de son nez . mais comme la saga a su nous l'apprendre au fil des années , la mort n'abandonne jamais vraiment la partie . nous voilà d

The walking dead, frank darabont. 2010. saison 1. 6 épisodes. - adaptée d'un comic-book à succès , the walking dead arrive en france après une diffusion pour le moins appréciée aux etats-unis . après la parution de quelques trailers et affiches de promotion , on ne pouvait qu'attendre avec une certaine impatience cette première saison , so

Tucker and dale vs. evil, eli craig. 2012. comédie, horreur. - ah , les comédies horrifiques ... s'il y a une référence que l'on ne peut pas égaler , c'est bien shaun of the dead , le must en la matière . beaucoup s'y sont essayés , mais rares sont ceux qui ont réussi à se faire un nom dans le genre . bien sûr , il y a scary movie , certa

American horror story, ryan murphy & brad falchuk. 2011. saison 1. - les séries horrifiques se font rares sur nos écrans, aussi la sortie de l'une d'entre elles suscite souvent pas mal d'attentes. si certaines s'oublient relativement vite, d'autres parviennent à tirer leur épingle du jeu, comme ce fut le cas pour harper's island, ou plus récem

I know what you did last summer, jim gillespie. 1998. epouvante, horreur. - que dire de ce souviens-toi l'eté dernier, devenu référence du slasher aux yeux de la plupart , ou presque ... sorti quelques mois après le slasher culte signé wes craven , ce nouveau venu de l'épouvante est en quelques sortes le parfait anti-scream . là où ce derni

The omen, richard donner. 1976. epouvante, horreur. - il y a des classiques qui ne méritent pas leur réputation, qui se démodent, ou qui vieillissent tout simplement mal. et puis, il y a les classiques qui ne prennent pas une ride. la malédiction fait partie de cette seconde catégorie, dans la lignée de l'exorciste, et aurait même tendance

The strangers, bryan bertino. 2008. epouvante, horreur. - un homme , une femme , une ambiance peu joviale et une maison isolée , voilà la trame de fond de ce surprenant the strangers . classique , simpliste , mais surtout , réaliste . réalisateur pourtant totalement inconnu du cinéma de genre , bryan bertino signe son tout premier long-métrag

Black water, andrew traucki & david nerlich. 2007. epouvante. - au pays du cinéma de genre minimaliste , ce sont les thrillers d'isolement qui ont le vent en poupe depuis déjà quelques années . et lorsque l'on mêle savamment cet aspect d'isolation avec le genre déjà vu , vu et revu du film de crocodile tueur , on obtient black water , un fil