Écrire encore pour effacer le ciel dans le ciel pour parler à un ami disparu méconnaissable on réinvente l'attente la solitude ou bien toujours la perte de soi écrire comme si le monde allait s'évaporer disparaître se diluer dans notre propre fuite rien pourtant ne doit plus se dire faire sens que le silence presque léger du vol d'une mouch
khaluan
khaluan
'Ecriveur-poéteur' à mes heures perdues
Ses blogs
Ce que j'écris
Je ne parle qu'à des gens capables de m'entendre; ceux-là me liront sans danger.
Articles à découvrir
Afin de reprendre ma petite écriture que j'espère abondante voici un petit poëme qui me res/ras/semble in l'opulence de la nuit de charles juliet j'espère que vous reviendrez nombreux partager avec moi ces instants il y a une marge entre ce que je suis et celui que je voudrais être il y a une marge entre la vie que je mène et la vie à laquel
Hier soir: première soirée. mondanités expatriées. où l'on retrouve des schémas hypertrophiés de la pensée. paris aseptisé. fuir paris froid. fuir paris-stress. fuir paris-surfait... il faut fuir paris. mais l'on retrouve paris partout. l'important dans cette affaire c'est de rester en dedans de soi. c'est un cercle. on peut y entrer. sort
Mon amie la rose est morte ce matin ténue & tenue par une main tremblante d'alcool elle est morte la rose de ma jeunesse
Mardi 19 novembre 1991 ciné: van gogh de m. pialat, avec christel la création est une insolence. une gifle est donnée en retour par la société. mortelle s'il en faut. jeudi 21 novembre 1991 ciné à paris viii st-denis: porcherie en vf p8 une fac souterraine. cafardeux. la minorité accède à la culture. vendredi 22 novembre 1991 tp astrophys
J'ai commencé le texte par "je fais semblant dans le réel." je ne sais pas si je suis en capabilité du réel puis j'ai continué par "l'amour physique me manque je l'avoue." j'en suis, hélas! incapable l'insignifiant me ronge, m'oblige que faire? (aussi fort que le fameux 'que sais-je?') je ne sais pas ce qu'il me faut : tout incapable cependan
Le caire. maadi. nuit du 18 au 19 novembre 1993. l'anarchie est ici une vision chronique. la civilisation frappée de débordements. le sommeil est débordé, absorbé par le bruit. rien que des observations. je continue d'aligner celles-ci, celles-là, celles plus loin encore qui me font sourire. le sourire est une nostalgie amère des choses pass
A vous mes lecteurs d'antan j'ai la vive envie de revenir et de vous parler de nouveau
Raconter une histoire: qu'est-ce que c'est? dire des choses: qu'est-ce que cela va&veut dire? eprouver ses émotions: qu'est-ce qu'écrire? nommer le monde: qu'est-ce que vivre? ce soir, seul devant cet écran (oui j'ai longtemps écrit sur des carnets, avec un stylo), je tente un nouvel essai. mes mots passeront-ils au-dessus des nuages? atteindro
De nouveau voici les doigts vacillants de khaluan tremblant face au calme étrange de la nuit à ce cadavre qui remue son dernier souffle comme remue la nuit étrange je suis maintenant loin du spectacle des vacarmes loin des pensées d'ici&maintenant loin aussi des chemins qui ne mènent nulle part sauf à la métaphysique à ce retour de la poés