Rêvons de l’odeur d’un fruit où de miel d’ instant de bonheur sous un arc-en-ciel de chaleur au cœur un jour de soleil… les lys du jardin sont blancs de lumière et troublent soudain les fleurs des clairières s’éveille ce matin un chant de croisière… près d’un ruisseau couchée sous un saule tes yeux couleur d’eau scrutent mo

Dans le déclin du jour je regarde le fleuve, qui dort tranquille, la marée s'est retirée ce soir... sous la voûte du ciel, je te cherche parmi les étoiles, et je repense à notre amour, si parfait... au miroir de la vie, je vois le temps qui fuit, au bout de l’horizon, s’installe la nostalgie... quelquefois le silence, me redonne l’espoi

Vivons de rêves je songe à la beauté d’un orage qui fuit, par le temps transporté au-delà de la nuit… j’ai ce désir très pur, de semer la tendresse et de toucher l’azur, cette fleur de caresse… au pied de la cascade, près des saules-pleureurs, dans ce palais de jade, je reconduis mes pleurs… dans mon jardin d’amour, j’invent

Sur le fleuve argenté miroite mon passé tache d’ombre morose sur mon âme repose la tempête s’exile et ma vie fourmille ... du haut de la montagne au-dessus des campagnes quand dorment les enfants bercer par leurs parents j’écoute le silence un doux bonheur intense... l’amour et la tendresse seront ma robustesse je perlerai mes rêves s

C’est tout ça l’amour… sous un ciel-de-lit- aux étoiles d’aquarelles j’écris des vers d’amour en légère caresse troublée dans tes bras par le chant des tourterelles un baiser amoureux m’est volé dans l’ivresse … sur une traîne de soie par de beaux dimanches les pétales des fleurs parfument le bonheur mon jardin est un par

L'amour toujours... les froidures de l’hiver cristallisent les étoiles et font trembler la terre alors que les nuits se voilent... sur les routes désertées un long frisson de misère parcourt les ombres glacées le vent hurle sa colère... couchée au creux sous ma couette abandonnée au silence je sens que la peur me guette suspendue à ton a

Souvenirs d ans le bouquet des souvenirs se glace le vent dans mes songes et meurt l’attente de désirs cause de tes grossiers mensonges... dans les voiles du désespoir j’ai vécu un moment cruel le diable m’a violé ce soir dans l’abysse de mon sommeil ... c’est aux premiers feux du matin que j’accours près de la cascade purifier mon

Train du nord venant de lointains horizons un bruit de tonnerre s’est levé tôt ce matin… à la gare les derniers voyageurs s’assemblent pour le temps des fêtes la neige tombe doucement sourires à l’orée des lèvres enfantines… après de longues enfilades montagneuses vers la route du nord une brume givrée couvre les fenêtres d’un

Je t’aime d’amour un soir dormant dans le creux de tes bras mon âme s’est revêtue de soleil lorsque bercée dans le nid de tes draps se glisse la vie poudrée d’or vermeil… c’est la romance des lunes printanières qui ensoleille mon cœur amoureux lorsque je peins les contours des rivières une joie ruisselle au fond de mes yeux… j

Au jour le jour c’est au fond de la raison dans la lueur du cerveau que la fugue de la vie parcourt le temps qui défile… se meurt l’éveil du passé et disparait aujourd’hui s’ exilant vers l’horizon tout comme un songe éloigné… dans le calme du matin s’incarne en voile de brume quelques gouttes de rosée promesse de renouveau…