En plein centrevile, avec le sac en bandoulière devant parce que tout le monde me fait peur en me disant qu'un blanc c'est une cible idéale pour les pick pockets.
Les taxis gabonais n'ont rien à voir avec les européens. on peut monter à une quinzaine dans un petit bus et on l'arrête où on veut en disant « arrêt ! » ou « quelque part ! » ou en cognant sur la carosserie.
C'est un exploit que j'ai pu photographié ce carrefour sans voiture ! les marchandes s'installent sur les trottoirs. les passants marchent sur la route.