Après avoir complètement ratée ma première année de fac de philo, je ne savais plus quoi faire. je savais juste que la fac m'insuportait et que vivre en ville me rendait malade. je ne suis pas quelqu'un doué de mes mains, j'avais très peu aidé mon père sur son exploitation et je me savais fainéant. sachant cela, au mois de juin, je me sui
yoann morice
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yoann morice
22 ans, vit chez mes parents paysans boulangers bio. Après avoir fini ma formation en maraîchage biologique, je suis actuellement en train de m'installer avec mes parents. J'aime la vie, ses défauts, les belles et bonnes choses...
Ses blogs
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Le blog de yoann morice
poëmes, nouvelles, opinions politiques, critiques de cinéma... vous trouverez de tout et de rien sur mon blog, mais surtout une légère tendance libertaire.
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Articles à découvrir
J'ai semé un soir des vents de détresse, j'ai navigué ce soir sur des terrains d'ivresse. je me suis tenu, tenu à cette promesse de te faire payer, payer ton adresse; des tresses de nostalgie, celles qui blessent celui qui n'en met pas le prix. je passe souvent à la rue prés de ton logis, un endroit m'as-tu vu j'y jette un oeil, à chaque foi
Comme l'avait justement remarqué un libertaire dans le courrier des lecteurs du journal « la décroissance », la position anarchiste est écarté du débat sur la société décroissante. ainsi la petite bd « stef le décroissant » raille les anarchistes et les présentent sous l'aspect de petits rebelles niais et insidieusement capitalistes.
Plongez votre coeur dans une belle idée recueillez des pleurs et laissez mijoter vous avez un principe qui vous était étranger devenir le centre de votre volonté la guerre! fini les prières. ce combat est humain, la fin justifie les moyens. mais comment prétendre connaître la fin/te quand on est le chemin et celui qui l'emprunte. dédié à
Par une ombre d'un clair-matin j'ai vu une chambre baignée de chagrin, je n'en pouvais plus besoin de prendre pied d'assurer mon revenu celui de machabbé, les idiots ne croiraient pas qu'un fainéant comme moi puisse être étranger à son heureux destin, ne pas accabler, ennuyer les gens du commun ne pas exagérer monter qu'on est pas humain, no
Mon objectif à long terme est de m'installer en communauté. mais quel genre de communauté? sachant que je souhaite m'installer en france, comment ne pas prendre en compte la situation du pays? de plus après l'échec des communautés 68'tardes, quel genre de vie commune adopter? les communautés aborigènes, africaines fonctionnent selon un mode
J'écris au nom de la misère assis à terre, les plis de mon dos marqués par le fouet des sots. j'écris, seul que je suis, j'écris du fond de mon verre les éclats rouges grisés de terre les écueils noirs de cette galère. j'écris à me vider, des envies recluses des rumeurs de parloir des blessures de trottoir. j'ai écris au bonheur l'ai e
L' âme sensible essentiellement torturé, est toujours éprise de destins traçés. mon plus grand tort est de le refuser je défie la mort, j'en suis comblé. étrange tristesse, bête délicatesse. je me donne en spectacle, je suis l'héros déjà vaincu je deviens réceptacle des regards perdus. écoutez-moi! j'ai à dire, mon avenir ne connait
Sur une table ordinaire, un peu littéraire, de celles qui vous inspirent, de grands soupirs. mais non d'ennui, bien de dépit. vous voyez, ces tables trop éclairés, vous vous y perdez, elles font plus de trente pieds. avec des stries, des bosses comme il faut, ces tables prient, elles souhaitent des défauts. je vous l'ai dit! littéraires, elle
Submergeante ambiance ville éclairée impression notoire d'un lien aux milles impressions oubli de soi sens en éveil univers en phase avec ma conscience j'ouvre des portes inconnues découverte d'un paysage à nu que sommes-nous face à cette vue qui nous transporte et nous pique au plus profond de nos songes la vie devient un rêve quand dans se