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newyorkberlin c'est un blog Anel et deux têtes dont l'une et à new york - Paul - et l'autre à berlin - Suzanne. Deux paires d'yeux mais un seul regard amoureux de la vie et de l'art.
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newyorkberlin, c'est une plongée dans le monde de l'art contemporain à la recherche de l'humain, de ses traces, ou de ses semences qui attendent au milieu des pierres et des ronces les mains secourables du bon (paysan) samaritain. Humble contribution à une culture de la beauté et de la compassion.
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26/02/2010
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
"the whole conviction of my life now rests upon the belief that loneliness, far from being a rare and curious phenomenon, peculiar to myself and to a few other solitary men, is the central and inevitable fact of human existence. when we examine the moments, acts, and statements of all kinds of people -- not only the grief and ecstasy of the greates
Pictures i took on times square. faces of loneliness or tenderness, of hope and despair. a hymn - or a cry - to the human need for peace and for presence. paul anel
René frölke - of the salamamder's espousal with the green snake
The trailer of my friend rené frölke's long feature documentary, soon to be screened in one of germany's major documentary festival. a few weeks ago, walking in midtown manhattan with rené, i asked him: "what prompted you to make this movie?" he replied: "we met this family. we loved them, and they loved us." and that was it. he told me he was f
Nous vivons dans un monde qui, dans une large mesure, a perdu le sens de l'humain. les symptômes de cette perte se lisent à tous niveaux: l'éducation, la politique, le monde de l'entreprise, celui de la finance, et même le monde de l'art qui s'est dépersonnalisé au profit d'une logique technique et marchande. mais cette perte se note surtout
* une famille au bord de l'explosion, un village du mid-west où les maisons se suivent et se ressemblent, une secrétaire qui ne décroche jamais ni un sourire ni un regard, un adolescent qui prépare sa bar mitzva entre le grésillement de la télévision et les volutes de marijuana... le décor, dont tous les éléments principaux sont en place
"pourquoi les gens traduisent-ils ? c'est le désir de trouver quelque chose qui se dérobe sans cesse. l'original jamais atteint." (svetlana geier) dans la femme aux cinq éléphants vadim jendreyko retrace l'itinéraire de svetlana geier, la plus célèbre traductrice allemande de dostoïevski. une perle. très bonne recension par marie-noëlle t
"le poète ne meurt jamais. il vit avec vous par ce qu'il a écrit, parce que dans son écriture il met sa vie même. je revois les yeux de cendrars comme je revois le rire de cocteau. ce sont vraiment des compagnons. et c'est cela un art vraiment : il vous donne des amis, des compagnons, une compagnie. les gens souffrent et meurent de solitude. c'
Chers tous, cf. mon nouvel article sur l'exposition "malévich and the american legacy" sur le blog terredecompassion.com http://www.terredecompassion.com/2011/05/13/kazimir-malevich-art/ le blog newyorkberlin est fermé, et c'est désormais sur ce nouveau blog que vous pourrez trouver des articles de culture, mais aussi de politique, faits de soci
"bitter history" (instead of the original "better history") is an inscription on a wall in chelsea, ny. the bitter taste of this past decade, started with 9/11 and ended in a recession, unveiled the fragility of this "city of god" and of loneliness. faces and facades are moving expressions of humanity, they cry out the terrible lack of meaning and
De profundis , dont les paroles sont tirées du psaume 129, est composé par arvo pärt en 1980, soit peu après que la censure communiste l'ait forcé à quitter l'estonie, pour vienne d'abord, puis pour berlin, où il réside encore aujourd'hui. ce morceau est écrit dans le style tintinnabuli qui lui est familier depuis la composition, quatre an