Je suis parti d'ici, vous ne m'y trouverez plus. j'ai été ailleurs, chez un autre hébergeur qui a l'air plus cool. si ça se trouve je vais encore trouver le moyen de râler là bas, mais hé ! que celui qui n'a jamais râlé me jette le premier billet de 10€. par contre tu te démerdes pour trouver la nouvelle adresse, hein, je veux rien savo
Damo
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Damo
Ses blogs
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LABRACEROS
Away! away! for I will fly to thee,
Not charioted by Bacchus and his pards,
But on the viewless wings of Poesy
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Articles à découvrir
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On dirait un titre de film de desplechin tiens. j'ai raté ma vocation, ou alors je divague complet. mais baste, là n'est pas la question mon jeune ami. il y a quelque temps, j'ai donné un avis péremptoire et passionnant sur un des aspects de la vie en générale, et de la vie dans ton cul parisienne en particulier. eh bien tu me connais, même
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Voilà l'hiver et ses frimas, et tandis qu'au loin le cri des rennes résonne, tu te dis que putain tu boufferais bien un truc classe, chaud, et de bon aloi. eh bien mon petit pote, ça tombe bien parce que j'ai exactly ce que tu need, vois-tu. et en ces temps de disette, de troubles intestinaux à venir et de graisse jaune qui s'accumule, quoi de
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C'est dimanche, c'est soleil, c'est tchiki tchiki boum.
Non parce que hier j'ai pas eu le temps. mais t'inquiète pas : la semaine prochaine t'auras un feuilleton trop passionnant à suivre, tu vas voir.
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Je sais pas si tu sais ce que ça fait d'être parisien. moi avant je croyais être parisien en habitant juste derrière le périphérique, eh bien non. les gens se moquaient gentiment de moi avec ce rapport au périphérique, moi je trouvais que c'était ridicule. j'ai découvert que pas du tout, ils ont complètement raison. derrière le périph
Voilà ce que j'apprécie comme contribution au débat sur l'identité nationale.
Afin de participer à l'édification des masses, que la jeunesse de notre nation puisse suivre les voies glorieuses des futurs éclairés, j'ai décidé de partir vers le poumon de la france, le grenier de la patrie, pour montrer aux peuples superbes de la capitale comment vivent ceux à qui l'on doit beaucoup mais qui parlent peu : les bouseux. ma
Hey ! salut toi. rêve pas, tu verras jamais la suite de la vie à la ferme, hein. j'ai vidé le bébé avec l'eau du bain, parce que voilà, c'est pas tes affaires aussi, je te demande si le fond de l'air est frais ? en attendant, une petite poésie : kraken après des années à naviguer à vue je pensais connaître ces mers par coeur lorsque par