Tu quittes ton foyer pour vivre une aventure, es-tu vraiment certain de cet amour naissant, au point de démentir un passé florissant ? devant le désarroi tu choisis la rupture. non-sens et trahison tel un homme immature, tu confonds le désir d’un minois ravissant avec un lien solide où brûle un feu puissant. sache que le regret peut devenir
ariane
A
ariane
Née le 7 juin 1944, j'ai vécu à Paris jusqu'à l'âge de 18 ans. Je suis partie à Londres comme fille au pair. J'ai connu mon Mari Italien départ sur la riviera italienne vers Portofino.
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11/04/2006
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Les cyprès de provence aux dessins tourmentés se dressent vers le ciel s’imprégnant de lumière le reflet du soleil éclaire une chaumière, la toile s’illumine aux sublimes clartés. l’angoisse de van gogh submerge sa peinture ses longs traits de pinceaux tremblants et compulsifs expriment le vertige aux effets subversifs, vibrant dans so
Le blues et le gospel, complaintes immortelles modulent en cadence le cri d’une souffrance. le chant de la prière au rythme de la terre elève sa supplique au soleil couleur bistre. l’esclave le dos courbé scande un refrain de liberté. cette douce cantilène berce le songe d’un soir où se mêle un brin d’espoir. la guitare et le banjo p
Le corps du mannequin défile éblouissant sous le feu de la rampe elle avance irréelle déambulant sublime en pleine passerelle, son visage fardé semble resplendissant. mise au rang d’un objet, son orgueil grandissant déchaîne la colère entraînant la querelle. sans aucun maquillage enfin plus naturelle, sa beauté fade laisse un regret sai
Les amours de jeunesse, un beau jour disparaissent, quelquefois il nous reste une certaine nostalgie, ils s'appelaient jean-paul et jean-louis. deux boute-en-train, toujours farceurs qui s'amusaient à jouer les charmeurs. le plus raisonnable, le plus mature, connaissant bien ma nature, me rassurait d’une parole c’était le beau jean-paul. l’
Le pays du gospel, peuple de musiciens vaincu par l’ouragan semple rayé du monde. le désespoir entraîne une crise profonde, accusant les secours, lents des politiciens. la nouvelle orléans aux quartiers très anciens, et ses milliers de morts, une hécatombe immonde, enterre jazz et swing dans l’abysse de l’onde. poignant regret du chant
Des nuages laiteux, moutonnants et blafards reflètent leurs pâleurs sur le visage blême d’un être démuni, les yeux gorgés de neige, trébuchant dans le froid d’un hiver glacial. fantômes de la brume en bordures des plaines, des spectres décharnés s’élèvent vers le ciel, arbres couverts de givre aux allures macabres, qu’effleure l
Le rapport des experts déclenche un cri d’alarme, –la terre se réchauffe instaurant la terreur. excessif un orage épuise sa fureur, les dégâts encourus font couler bien des larmes. le climat fou s’acharne et mêle les hivers aux étés suffocants, mélangés à l’automne. le cyclone dévaste un printemps qui s’étonne, une autre cata
Miracle du soleil qui chaque jour se lève l’or pur de la lumière illuminant le ciel s’étale sur la plage au sable couleur miel. une onde scintillante écume un dernier rêve. miracle de la nuit au charme sibyllin la terre tourne et vogue au milieu des étoiles, le vaisseau du cosmos largue ses blanches voiles, la valse lente éveille un long
La souffrance imprègne nos âmes, le vide immense du malheur sombre en un gouffre de douleur où le chagrin brûle ses flammes. le souvenir des jours heureux réveille en nous la nostalgie d’un passé qui se réfugie au sein des rires chaleureux. l’ombre du regret nous entraîne aux temps où régnait le bonheur. a jamais gravés dans nos coeu