Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais depuis ce début de semaine ma relation avec mistera prend un léger virage... je le sens s'ouvrir à moi de nouveau... ses mots changent, sa voix aussi. comme s'il avait détaché une corde qui l'enserrait, ou fait sauter une retenue. je ne sais pas. ce que je sais en revanche, c'est que je retrouve l'hom
celle qui doute
C
celle qui doute
nécessaire épanchement de mon coeur déchiré. une histoire banale, la mienne. besoin de partager et de faire écho !
Ses blogs
Articles à découvrir
Je suis perdue, vois-tu, je suis noyée, inondée d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; je sais que je t'aime. ademusset
Elle j'ai la terrible impression qu'on est encore en train de se passer à côté. avec le temps, je me dis que j'aurais réussi à savoir si nous en valions le coup. le temps, on l'a jamais vraiment eu. on ne l'a plus du tout. est-ce que c'est notre destin de nous passer à côté et de ne pas pouvoir vivre notre "quelque chose", quel qu'il soit.
C’est quand je n’attends pas de réponse que tu m’en fais une... homme compliquée que tu es... femme faible que je suis... je comprends tes interrogations... je ne comprends pas ta résignation...quand on se résigne on est mort. il faut se battre, toujours, et ne jamais baisser les armes. c’est en me taisant, en me résignant, que je suis
Échangés au téléphone, pour dire à quel point nous avons besoin l'un de l'autre, à quel point la frustration nous habite, à quel point nous nous sentons à l'aube d'une histoire merveilleuse. dont aucun de nous ne connaît l'issue. mais quand nous parlons ensemble, l'issue nous semble à tous les deux moins importante que le vécu. et ça c'
J'ai envie de tout plaquer et de vivre avec toi. j'ai envie de te vivre. voilà, ce sentiment violent m'a étreint ce matin. je sais que ce n'est pas possible mais cela me fait du bien de l'écrire. en fait c'est possible ; évidemment que c'est possible. tu quittes ta femme, je quitte mon homme et nous démarrons autre chose ensemble. je ne dis pa
Si un jour notre monde doit ne plus être, je sais que je me souviendrai toute ma vie de ces belles choses que j'aime tant chez toi (mais je pourrais faire plusieurs listes...) : number 1 : ta fougue je t'adore plein de projets et de rage, engagé, convaincu, débattant avec ardeur... avec l'envie de tout dépasser, de tout (re)construire number 2
Si jamais un jour tu passes ici, tu sauras à quel point je connais le sens du mot "vide" depuis toi. vide = désert, vacuité, absence. oui, je le connais bien, lui et ses antonymes. plénitude, comble, débordement... reviens-moi vite.
Si un jour tu vois que je m'économise si j'ai peur d'avoir froid quand je donne ma chemise si tu m'admires plus parce que j'ai peur de t'perdre si t'as plus pour moi que cette tendresse de merde tue-moi... tu me tueras si tu t'en vas... si tu ne veux pas que je souffre d'être seule après toi, laisse-moi au moins faire de mon mieux laisse-moi au
"niaille" : vocable typiquement sudiste pour désigner le fou, et par extension, l'écervelée. voire la sotte... c'est exactement l'effet que je me fais...