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chris2lire

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vers des sables

Un brin de poésie, un soupçon de rêve, une touche de folie, une larme si brève !
chris2lire chris2lire
Articles : 73
Depuis : 28/06/2005
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Gardarem lou moral

C'est officiel ,je suis chez : crétin.fr ! un problème de modem couplé avec des difficultés sur ma ligne téléphonique et me voilà sur la touche pour quelques temps. heureusement, papa, maman et leur pc sont là, moi aussi d'ailleurs puisque je suis en vacances chez eux alors j'en profite. ces derniers temps, j'en ai également profité pour

Regardez-moi.

Regardez-moi, j’ai cent ans, je connais le parfum des habitudes l’angoisse de la mort et du néant mes douleurs se sont apaisées ne laissant d’elles qu’une trace amère une boule. ma chair fatiguée se plie aux désirs de la vie sa pliure se craquelle, elle froisse vos yeux. regardez-moi, j’ai vingt ans, mon cœur bat de votre regard, je
Notre mariage.

Notre mariage.

Le 28/06/2008,nous nous sommes unis à nice ! c'est le début d'une nouvelle vie.
le retour du refoulé

Le retour du refoulé

Rebonjour, je suis de retour après quelques péripéties dont je relate objectivement les faits lors d'un précédent article. mais je ne reviens pas les mains vide, je vous présente donc mon nouveau centre d'intérêt que j'ai envie de partager avec vous. un peu de peinture, un peu de pâte fimo et voilà... alors, j'en fait d'autres ?

Désirs et désordres

Tu voudrais que je sois tu me désires en soie soierie moirée de chine pour une soirée câline mais je préfère mon pyjama et que tu sois moins délicat je t’assure de ma sauvagerie autant que de ta panoplie. quand tes désirs sont des ordres mes désirs font désordres. tu veux me savoir à toi, là, et t’accueillir quand tu rentres las je
Des odeurs des goûts ou, à tous ceux qui m'ont quitté  ;-)

Des odeurs des goûts ou, à tous ceux qui m'ont quitté ;-)

Mon amour, voila maintenant deux semaines que tu es parti. deux semaines que je n’ai pas goûté ta peau suave à l’arôme de miel défendu. deux semaines où je n’ai pas mordillé avec jouissance les lobes délicats de tes oreilles. tu aimais tellement quand ma langue hardie taquinait avec volupté ces excroissances qu’un léger duvet rend