Le chiapas est l'un des trois etats les plus indigènes et plus pauvres du mexique. beaucoup de dénutrition, d'analphabétisme, de mortalité infantile, de carence en tout genre ... mais à côté de cela des hommes et des femmes se battent pour leur dignité. " dieu veut que nous sortions vers la liberté, comme l'antique peuple juif." les zapati
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11/10/2008
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Maison, Déco & Bricolage
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Mes mots élaborent des stratégies pour que le monde devienne sourire ... hélas ... où trouver l'encre de ma plume ? je ne suis pas le devin des sphères ...
Nous nous retrouvons ... des mots en partage ... sans frontières ... sin fronteras ... belle aventu re.
Hurler comme un chien sur le rivage, sans fortune, sans lune et sans matin. sommeiller ailleurs sous des flèches de soleil, guêtant l'averse seul, comme diogène. toucher la pomme qui se balance, et me damner comme une bête chaque nuit, parmi les hommes. souffrir comme un lépreux pauvre, les mains écorchées, triste vagabond errant, de place e
J'ai rêvé un ventre de sable ... mon sahara, et ma main nomade qui s'aventure ... silencieuse ... douce ...
Une lettre pliée, un fleuve puis la mer, un capitaine un deux-mâts qui me porte vers la nuit, une danse hésitante une main qui se glisse, une voix qui s'éloigne un ailleurs qui m'arrache, un pied qui traîne une cité invisible, un vagabond occupé a traquer des richesses, je m'éloigne voyages destination secrète.
Dans ma nuit le temps s'allonge dans ma nuit les mots s'épluchent dans ma nuit la lune songe dans ma nuit le ciel peluche. dans ma nuit les chats sont bleus dans ma nuit pas de pendu dans ma nuit des filles de feu dans ma nuit les corps sont nus. dans ma nuit le jour est nuit dans ma nuit le soleil pleure dans ma nuit j'aime le bruit dans ma nuit
Je suis l’homme qui sauva la ville de l’épidémie de ratas [1] , comme dans le film de la télévision … au village ils disent : « atche le partir le cabourdas [2] ! ». tout ça parce que je suis un gars de la nature ... j’aime mon métier, je suis garde-ruisseau. ca les fait s’esclaffer au village, garde-ruisseau : « t’as peur qu
Ailleurs tout est différent ... loin de mes connections rapides, j'arrive à peine à "voyager" sur la toile. mais voilà qu'aujourd'hui, je ne sais par quel petit miracle, ma page s'est ouverte. je profite donc de cette aubaine pour glisser quelques mots ...
Je me souviens de cette journée de juillet dans les rues de coyoacan et de mon émotion dés que j'aperçus la maison bleue de frida. un rêve éveillé fort en sensations. en pareil lieu je connus une folle fascination. j'étais seul, les yeux photographiant chaque détail, la main caressant les murs, jusqu'à la fermeture.