A la fin du premier tome, nous avions quitté killy près d'un pont, s'éloignant apparemment loin de la mégastructure. où cela a t-il pu mener? au bout de la structure, la structure continue. ce second volet ne change pas la donne. killy évolue toujours dans cet univers hostile, cyclopéen et post-apocalyptique. toujours à la recherche d'un te

"passer du tome 4 au tome 7 ? pas de problame! ! haha..." reprenons donc le train en route... à la fin du tome 4, killy et shibo en étaient alors à ... a quoi faire, au juste? je ne sais pas. normal, le scénario se complexifiait de case en case. mais ce léger contretemps n'est pas un problème puisque c'est sur un nouveau duo de personnage que

Achat sans prétention dans un excellent lieu caennais pour les bédéphiles (: aquabulle), ces trois premiers tomes du prince de la nuit forme le premier cycle. un second cycle existe, comportant les tomes 4, 5 et 6. le dessin, classique mais efficace de swolfs (également auteur de légendes), sert un récit qui l'est tout autant. point du dracul

L'été, ou l'occasion de redécouvrir les (trop) nombreux albums sur lesquels, durant l'année passée, n'a été jetée qu'une oreille distraite, insensible voire méprisante. etant entré de plein pieds dans une phase "science-fiction", c'est en toute logique que je (re)découvre l'oeuvre du sieur arjen lucassen, entre autres géniteur de ayreon

Grou ! "tigres et nounours", voilà un titre qui sort du commun. mais en quoi consiste ce petit bout de comics us bien loin de nos vaillants super héros en collants et autres vêtements moulants habituels ? le récit est d'une simplicité enfantine: joey vient de déménager, suivant ainsi sa mère, qui vient de changer de boulot, dans leur nouvea

Après plusieurs tentatives pour résumer ce quatrième tome, j'abandonne. il reste important de noter que de nouveaux personnages font leur apparitions dans les chantiers orientaux, où se trouvent désormais killy et shibo. les sauvegardes sont remplacées par les sillicates. leur but est identique: détruire les êtres non-porteurs de terminaux

La série continue, inlassablement. l'ambiance, cinématographiquement, serait toujours celle d'un eden log. en plus sombre. dans ce tome, killy et shibo sont parvenus au niveau supérieur où ... rien n'est bien différent. l'architecture, toujours aussi démesurée (décidément, la pièce d'oeuvre de ce manga), est peut-être un peu plus "sauvag

"peut-être sur terre, peut-être dans le futur..." voici déjà un bon moment que je prévoyais de relire la saga des blame!, première série de manga que j'ai acheté et terminé. dans mon souvenir, datant d'envrion 5 ou 6 ans, blame! était un manga hors-normes. caractérisé par un dessin hallucinant au service d'un scénario cryptique, voire

Tiamat a toujours été, pour moi, un groupe sympathique. malheureusement pour eux, jamais ils n'ont su aller au-delà de cette qualification: sympathique. appréciant particulièrement le amanethes de 2007, un peu le fameux et culte wildhoney (à réécouter, d'ailleurs!), c'est sans grande attente particulière que posais ce a deeper kind of slum

Graphique. effrayant. absurde. sombre. tentaculaire. glauque. drôle. the goon. unique. suintant. idiot. ruelle sombre, ver et strip-teaseuse. je ne peux en dire plus, de toutes façon, je n'ai point les bons organes. avis: bon (3/5)