Quatre heure du matin encore la fin d' une trêve dans la salle de bain je crois que je rêve en face de ce visage suis-je moi ou bien cette image es-tu moi ou bien mon image une poignée d' anxiolytiques je les avales comme j' avale ce monde sclérosé schizophrène hystérique je branche la radio ce bruit immonde satiété allumée anarchique ils
Bruno Laveyssiere
Bruno Laveyssiere
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Le cortex sur la main
Pour toute celles et touts ceux qui sont prêts à partager leur Philosophie de la vie, leurs questions sans réponses, leurs réponses sans questions, leur art philosophique (peinture, poésie, sculpture, photographie... etc), pour toutes celles et tout ceux qui veulent partager leurs problèmes ou leurs solutions existentiels...
Bruno Laveyssiere
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Articles à découvrir
La vie, c' est une illusion... et des milliers de désillusions...
C’est un jeu d’enfant celui qui sur la plage met du cœur à l’ouvrage contre marées et vents château d’eau et de sable de ses mains sages orner le paysage c’est indispensable pas trop près de la mer eviter ses colères mais pas trop éloigné le sable est asséché si quand bien même un jour l’œuvre se trouve achevée ce sera pour
Existence est un cri de douleur que je dis en silence parfois pendant des heures je ne suis que pour moi comme un livre inachevé je n' écris et je crie existence comme dans un rêve je vie et je crève j' exhibe mon être je voile mon naitre je suis un fantôme qui passe devant toi une âme voilée tu me vois sans me connaitre et pourtant devant
D’abord les peaux hésitent et vite font connaissance jusque-là bien cachées dans leur cocon de soi devenu étoffe étouffante elles s’extirpent l’une l’autre pour laisser s’envoler tous les sens censurés deux peaux êtres sous un drapeau blanc deux amants aimantés armés de sentiments se proposent en offrande loin des féconds fracas
A l’heure où les voyages forment la détresse être bien solidaire rester dans sa tanière de la fenêtre de ma petite maison devenue ma propre prison je vois respirer les champs ils sont verts de joie je vois étouffer les gens ils sont vert d’effroi se peut-il que la vie ruse avec ce petit virus vider diverse cités garder diversité masquer
Les mots comme dieu, néant et infini ne cachent qu' une seule et même chose: l' ignorance des hommes.
Tiens moi la main fermement et suis moi pour l' instant… tandis que je regarde les marches pour ne pas trébucher, tu regarde l'horizon ou le ciel étoilé. sache que l'horizon est un leurre, celui de ton bonheur rêvé ;et les étoiles semblant être des perles de diamant sont des lieux hostiles ou l' on ne peut exister. on pourrais croire que l
Quel démon malicieux a marqué au fer rouge l' intérieur de mon crâne et qui voile mes yeux pour eux plus rien ne bouge, plus de rire ni de larme. il fait gris à mourir, un vent froid murmure et siffle dans ma tète; quel sale temps aujourd' hui. je sais je dois partir mais sans toi je le jure sale et immonde bête tu ne prendra pas ma vie. vas
Au feuilles vertes du printemps je préfère les couleurs chaudes de l'automne celles qui volent dans le tiède vent présage pour certains d' un temps monotone la mélancolie me guette mais cependant je me retourne regarde tes pages je vois que tes années ont bien travaillées les petites vallées qui soulignent ton visage n' auront pas raison de