Dans la grande maison les preparatifs du mariage allaient bon train. juste a cote, s'entendait la barriere d'une longue suite de casemates en bois et en tole ondulee. un bidonville. un enfant en est sorti, tout heureux de voir autour de lui tant de personnes, tant de couleurs et surtout tant de mets etales a profusion. tout a coup il surprend ma pr
Serghe Fiyo
Serghe Fiyo
J'écris en regardant la rue, des profils, des silhouetes, des parôles, parfois plus. Je fouille dans les recoins des rues, les dérives diverses d'ici.
Entre Paris, Toledo, Palermo, Nice, La Bocca, Amsterdam, Stockholm et St Petersbourg.
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Le coeur, le sang, l'encre et l'amour
Les vies au quotidiens, quelques images, l'amour, le coeur, l'emerveillement de la vie, la grâce de l'autre, le sexe, la sensualité et la tango.
Serghe Fiyo
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11/03/2010
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Est-ce-que les étoiles s'en souviennent? sous la lune je me glissais dans les fourages odorants les orangers bruissaient a la brise de mer ton souffle salé se mêlait et ta main jouait tant d'arpèges aux grains de ma peau est-ce que les étoiles s’en souviennent?
Sournois ton sourire qui se glisse au matin par l’en-dessous de tes ailes mordorées est-ce une invisible pluie d’étoiles qui au matin luit sur ta longue chevelure comme l’huile de la mer sous l’ambre de l’été tu souris petit papillon ma nuit dans ton absence fut blanche comme l’œil exorbité de la lune pleine et pourtant je souris
Ta présence toute entière me dénude des vaines pensées ne demeure que la faim folle de me fondre dans l’antre de ton âme te voyager par le sang et te faire toute entière prisonnière de mes bras ton corps roi disais-tu en riant nos silences concentrent jusqu’à l’extrême l’éclatement de nos rages animale et magnifique insatiable fai
Sournois ton sourire qui se glisse au matin par l’en-dessous de tes ailes mordorées est-ce une invisible pluie d’étoiles qui au matin luit sur ta longue chevelure comme l’huile de la mer sous l’ambre de l’été tu souris petit papillon ma nuit dans ton absence fut blanche comme l’œil exorbité de la lune pleine et pourtant je souris
Aurons-nous su renaître chaque fois comme la fleur de l’amande sous la neige oublieux des cieux brouillés des mauvaises saisons aurons-nous su comme le soleil qui au matin dilue son or sans compter saluer sans réserve l’inconnu qui passe aurons-nous eu la patience infinie de la mer qui s’indiffère de nos laides vanités pour offrir à tou
Ce matin il ne restait de toi que ce qui fut l'or de ta présence
Quand bien même je me retrouverais en hiver de toi toute vie en effet doit bien ressembler a la majestueuse dérive des astres cette saison ne serait être autre que le prélude d’un nouveau printemps et d’un torride été lors comme en tout premier matin du monde je tremblerai de ta voix je m’ébahirai de tes rêves et de tes enchantements
Sournois ton sourire qui se glisse au matin par l’en-dessous de tes ailes mordorées est-ce une invisible pluie d’étoiles qui au matin luit sur ta longue chevelure comme l’huile de la mer sous l’ambre de l’été tu souris petit papillon ma nuit dans ton absence fut blanche comme l’œil exorbité de la lune pleine et pourtant je souris
Un jour je te retrouverai devant ma porte tu seras différente et la même je ne saurais rien faire d’autre que ce qui fut fait puisque nous n’avons jamais trouvé de rivages de nous deux peau à peau fièvre à fièvre larmes à larmes nous nous consumerons puis nous proférerons ces antiques promesses que nous saurons ne jamais pouvoir tenir