Tu les mates et tu baves tu respires leurs parfums elles te brisent et te cassent et moi je te regarde ça me tue qu'elles te blessent de les voir t'abîmer quand moi je veux t'aimer sans jamais t'écorcher mais bon ton corps est tien et je ne peux toucher cette peau que tu donnes à des chiennes enragées si le dès s'est cassé c'est pour que le
Numb
Numb
Vous me découvrirez bien assez dans mes écrits. :)
Ses blogs
Âme en Détresse
Des sentiments à la pensée,
De la pensée à l'écriture,
Juste une façon de s'exprimer,
Un peu de littérature.
Numb
Articles :
94
Depuis :
22/02/2011
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Fais-moi voir l'invisible qu'on puisse toucher la cible dis-moi où est l'amour ? caché en contrejour brisons les impossibles qui disent de pas s'aimer on va le leur prouver l'amour est invincible partons vers la grand rue où nagent les disparus allez retrouvons-les emmenons-les danser sur des corps inconnus dans des pas désunis pour montrer aux
Il est parfois si facile de pleurer si facile d'avoir trahi ta confiance que je reviens pas d'où je suis parti que j'vois l'opposé se mettre entre nous je sais bien que j'ai gaffé avec toi tu sais je voulais pas qu'on se fasse mal non je voulais pas un jour te blesser pour moi c'était pas grand chose c'que j'ai fait un peu comme un enfant je sa
Des ailes qui m’entourent quand moi je perds le nord je perds sévère je persévère s’il se permet l’ange de s’élancer du haut du ciel de toutes ses ailes et le soleil qui brûle brûle brûle l’amertume c’est toi oui mais voilà je ne suis moi qu’auprès des plumes qui s’éternisent sous mes yeux noirs de chagrin les doux murmur
Serait-ce des larmes qui coulent le long de mes yeux tristes ? n'y aurait-il, dans mon cœur, que la peine qu'existe ? je sais pas comment te dire que j'ai encore mal que quelques soirs je souffre du poids que je trimballe j'ai cherché la lumière partout ailleurs de toi mais je crois qu'elle ne se trouve qu'au fond de tes draps alors je saigne mo
Les ivresses sous des tambours nos amours en contrejour ô jeunesse au goût de rien va pour un tout dernier joint les gamines ressemblent aux putes et le peuple refuse la lutte le cœur est à la chanson à chercher les horizons l'âme à bouffer aux débiles la merde partout dans les villes dans les odeurs de nos airs comment respires-tu mon frè
Serre les dents c'est presque rien ça va bientôt finir s'achever enfin non ne pleure plus y'a plus de raison les derniers instants sont les plus beaux parce que tu vas partir enfin t'enfuir l'hémorragie de tes sentiments a finalement eu ta peau un dernier tour d'horizon pour voir qu'il n'y a plus rien regarde les cendres les poussières ce monde
J'aurais aimé pouvoir te construire un empire et t'en faire le plus grand des empereurs romain avec pour ton jardin la mésopotamie nul auguste ni antonins pas même de césar le ficus ruminalis comme une plante verte et cette louve comme animal de compagnie le mont palatin pour y poser ta cabane leur colisée n'aurait été qu'un cendrier et chaq
Un nom sur le vide il porte le tien plus rien ne te touche elles sont loin les larmes y’a plus la douleur que dire des sourires ta vie s’est ternie au temps des amours… le regard livide quel jour pour demain ? mémoires sur ta bouche un futur sans charme ces goûts de bonheur des éclats de rire les peines sont finies au temps des amours… d
J’ai mis mes lunettes noires mais y’a pas de soleil c’est pas pour mon regard c’est pour cacher mes larmes je déambule à nouveau dans le pays des tristes là où y’a qu’des putains qui crapotent leur chagrin j’ai la larme dans mon cœur et puis la flamme dedans les yeux celle de ceux qui mouillent qui brûle dessus vos joues la déc