Les paupières mi-closes sous le soleil de plomb, la grande forme, immobile, semble figée. autour d'elle, les couleurs éphémères dansent à l'unisson du chant perfide des sirènes. la peau froide et usée par l'air marin, se soulève au rythme lent des respirations profondes du géant. sur la plage, son ombre tranche avec les paillettes dorées
Girg
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Girg
Simple anonyme qui partage ses divagations, indigestes ou non selon les attentes et sensibilités, avec ceux qui ont la curiosité et/ou la patience de s'attarder sur ces pages: http://melancolya.over-blog.com/
Ses blogs
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Le blog ...
Ecrits et textes qui ne prétendent rien d'autre qu'être les dérives d'un esprit banal. C'est vendeur, hein ! (parce que catégorie "Littérature fait très pompeux !)
Des textes écrits sur un coup de tête de l'auteur. Ce qui implique un rythme de plublications aléatoire( et malheureusement, sûrement des fautes d'orthographes). Tout comme la tonalité et le contenu des textes. Voilà, vous savez tout. :D
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Articles à découvrir
Il y a des soirs de vide, de plein néant ou les ombres de ce qui nous manquent nous tourmentent. que nous caressons dans le sens du poil, que rien n'oppresse si ce n'est nos sens qui hurlent dans l'espace désolé de nos songes. le temps d'une cigarette, les pieds vissés au terre plein d'une réalité moribonde, l'esprit dérive et nous plonge da
L'arpenteur cheminait, chemin faisant, le regard blanc, le sourire curieux, les abords de la route étaient radieux, la liberté retrouvée, sous la caresse du vent, dans les couleurs d'été, le cœur s'allume, se chauffe à la splendeur de la nature, infinie, renouvelée sans cesse, pure, elle l'émeut, devient alors sont enclume, racines de comp
Je bois sans savoir pourquoi je vide mon verre. je cours après l’ivresse et me fais rattraper par l’oubli. l’urgence presse le citron de mon amertume dans le verre de mon abandon. la bouteille contre la raison. exister dans le vide exige d’avoir les pieds bien accrochés. paradoxe pour un petit blanc fragile qui n’a jamais pu assumer la
Une fois encore, la fin était arrivée. trop vite, trop tendre, trop dur, toujours illogique à l'amour. il ne l'avait pas calculé, peut-être était-ce destiné mais encore, qu'est-ce que qu'un destin. les premiers regards, les premiers baisers, les premiers instants de sensualité, il s'en souvenait encore, à l'heure ou cela est mort et l'on t
Timide aux bourrasques, intime au vent doux, que tombent les masques; révèle le vaudou. dur à l'embrasement, lente à la passion, immobile, elle ment dévote par omission insouciante épique, des regards sans tons; jamais ne se fond, aux vues impudiques 05/09/2015
Le calme revient. les derniers oiseux de nuits prennent leur envol pour atteindre un repos bien mérité dans leur lit douillet. le silence résonne sur le pavé, et empli la ville, prise dans blizzard du sommeil. le service est fini, et il se retrouve seul. bercé par l'immobilité du paysage. malgré la danse, timide, de flammes des bougies; le t
L'azur se dépeint aux couleurs du furtif spectateur, qui dans son errance cherche son obédience. de ses aventures aux points cardinaux, pressé d'une vie coordonnée, ne sait plus trouver les mots, mais ne fait que ressasser son passé. des prémices geignardes, aux envolées lyriques, l'expectatif auteur s'est perdu, et ,du point de fuite, sa vi
Plus j'avance sur le chemin escarpé de la vie, plus mon regard se détache de mes pieds; qui trainent dans la poussière et butent dans les graviers. il s'élève, s'envole vers la grandeur du paysage, qui ballait mon apparente solitude par la richesse de ses détails. alors que ma route continue, la tête droite, je découvre tous ces chemins de
14/05/2020 alors que le printemps perce les nuages et que la nature sort de l'hibernation, un monde vide s'offre à la vie sauvage. pendant un temps, le brouahah des hommes a cessé. des rues désertes, des magasins fermés. des écoles, il ne reste que les cours vides et silencieuses. l'homme semblait s'être évaporé. si seulement... tandis que