Aimer de croire dans un cachot choisi du ciel avec au bout la griffure du néant et son prix de censure, aimer quand même. inconscient j'ai mémorisé, maintenant j'ai compris pourquoi, ce qui était donné était déjà repris je savais. tuée par l'intensité de son étreinte la flamme qui brûle est déjà éteinte. tu posait ta main sur la mie
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Du calame autogyre naissent encres diffractées, calligraphies fugaces, et poèmes numériques.
(images calculées avec mandelbulb 3d).
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Articles à découvrir
On le voit ! le lutin sur la lune qui lutine à l'agréable et ta sculpture noctulescente sur la jetée de mon imaginaire offre son travelling clair-obscur tenté par le sens la chute sans fin est jouissance apprivoise quelque hurlement traçant l'encre du désir à déchirer les satins profonds de l'espace émergé de mer eve spasmes des lagunes m
Au début, l'émotion palpite comme un oiseau blessé et chaud dans ta main, avec tous les frémissements d'un espoir ténu et ses pépiements de vie. et déjà l'implacable et interminable ferraillement avec l'attente. une aurore à découvrir et partager, la route exquise vers les constellations promises que l'oiseau transpercé de nuit va parcou
Le lac du sommeil oublie tes traces de pas où existes-tu ? idéogrammes anagrammes incompris fourmis en marche nuages accrochés à la cime des arbres barbes à papa café, verre d'eau, assis dans mon épaisseur debout au comptoir tout autour de moi ce ne sont pas les gens qui passent, c'est le vent
Aux forges rituelles des nuits incassables la répétition est la montre des heures obscures. chaque réveil invente un monde déjà vieux, incantatoires, les jours s'efficlochent à d'incessant barbelés de temps. désarme l'imposture d'un sommeil aux dédales inaboutis le vide, cisaille du néant ouvre la signature de l'univers affranchi de toute
Les étoiles meurent pourtant ! j'en ai marre, des larmes qui ne coulent plus mais qui vous parlent encore, des aveux qui froissent l'horizon, de n'être qu'un brouillon, des regards tournés vers le vide, d'habiter la buée d'une vitre, des absents désabonnés et des vents désarçonnés. alors, l'enfant devenu ne marchera jamais plus dans ses pa
Tu souris danse alors, me prenant pour un funambule dans un monde au rire bleu je cherche un mur qui ne mord pas où m'asseoir, laissant monter la perfusion des gouffres. il y a ce fil de vie que traverse ton parfum qu'en bon guetteur sensoriel j'ai suivi. j'ai vu ton iris sillonner le vide, au bord du monde tu as publiée la trace de tes pas j'ai
Dans ma prochaine vie je serai allumeur de rêves, suivrai les pas perdus, trouverai le pays où les rêves errent rêvent vers rêvèrent rêvèrent de toi. alors je m'habillerai de lune pour habiter tout tes silences et ton nom s'entêtera sur le visage encore lisse du matin.
Si tu crains l'ombre du bonsaï c'est que tu as beaucoup rétréci au pied du torrent les poissons passent en riant deux amis pêchent une année de plus ou bien aune année de moins chemin vers la paix peut-être suivre la voix lactée et se perdre mais rester serein