Elle a cette élégance habitant les grands arbres les bras, comme leurs branches, ployant, grands-ouverts son coeur ne connait pas l'intense froid du marbre... il garde sa chaleur, jusqu'au coeur de l' hiver... elle a cette douceur des âmes chaleureuses, qui savent revenir vers de nouveaux chemins son pas veut bien franchir rivières boueuses, es
marleyne
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Aimer est la seule façon d'aborder positivement la vie.
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Le blog de marleyne
j'écris la vie, l'amour, les sentiments heureux ou malheureux, c'est un peu mon journal que je viens partager avecvous. La vie est souvent une longue errance. Qui n'est pas en quête de quelque chose, j'écris aussi parce que c'est pour moi un exutoire, j'aime aimer. Haïr, c'est s'abimer, alors, même si mes poèmes sont parfois durs, j'essaie d'extraire le maximum de bon dans ma vie, je suis une sorte de vivante contemplative et malgré tout, une battante.
marleyne
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11/02/2008
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
A imer à ne savoir que dire l' aimer et pressentir son pas h aïr le ciel et me maudire o ser porter les yeux vers toi... m on ange, mon coeur à toi soudé m élange nos êtres si doux e t «je», ne peux plus exister d énoue ce qui reste debout e mpoigne mon âme, j'ai froid m on espoir n'est que dans nous deux a pproche un peu, approche toi...
Bleu comme bleus à l'âme et les coups sur mon coeur tatouant la souffrance infâme ecchymoses sur ma douleur... blanc comme immaculé de vide tombant sur ma vie en linceul se transformant en pluie acide rictus ultime me "dégueule"... rouge comme lèvres coupées gercées du froid de ton absence le sang s'écoule sacrifié du déni de mon existen
Exhumer ma douleur d'un grand coup de scalpel du moisi de mon coeur la tumeur est charnelle... exterminer mes songes qui gangrènent ma vie brûler ce qui me ronge puis étouffer mes cris... anesthésie mon âme j'irais au paradis je n'étais qu'une femme et l'air était maudit... une ultime piqûre... dire adieu à la vie... la seringue rature...
Michael n'est plus.... bambi a rejoint la forêt... toi qui avait cherché tout au long de ta vie a être différent, jusqu'à changer tes traits... faut-il que la souffrance t'ait à ce point pâli... aurais-tu donc pensé que les anges étaient blancs pour délaver ta peau qui était si jolie... j'ai mal de ressentir comme une vie d'errant celle
Soleils éclatés explosion d'étoiles craquelées jets de lumière en déluge bris de voix cristallines verre fracassé sur le parvis de nos âmes délirantes fusez ! allumez la terre ! feu d'artifice de nos gorges envolées déchirés les bonheurs fugaces la terre se scinde je viens déposer avec tout mon amour mes éclats de rire a vos pieds
La lune veille sur la nuit, telle une étoile, son cercle d'or pare son front comme un diadème elle défie le jour, lui jetant l'anathème, rivalisant de feux qui glissent sur la toile... mais la nuit dépitée de ne point voir le jour s'en ira, titubant, culbuter l'horizon... amoureuse transie à perdre la raison, s'inclinera dans l'ombre en croi
Je te donnerais mes dernières secondes j'attacherais mon coeur à ton âme féconde suicidant l'amour fou que je porte à ton bras comme un panier trop lourd qui perce sous son poids... j'inventerais la vie pour te la faire aimer en construisant des rêves à peine esquissés te donnant le graphique à construire en dessein tu calmeras tes peurs,
Marleyne ma divine dès qu'j'te vois, j'me débine marleyne quand tu t'éclates... j't'avoue qu'j'me carapate.... j'avais comm'une'furieuse envie de rendr'hommage j'me suis dit, pas bêcheuse j'vais m'en fair'un fromage... ben oui...personn'y pense a me fair'un poème.. qu'à c'la n'tienne, j'm'en balance mieux servi par soi-même... alors, j'me fa
Elle était un ange et ....derrière sa fenêtre... elle attendait son ange....et il n'est pas venu... elle ne savait vivre ...et les toujours "peut-être"... etaient son ciel d'attente et de déconvenues.... un jour ....elle a appris à se passer des rêves... ils l'ont tant fait souffrir qu'elle n'en n'a plus voulu.... et dans la mer immense ...u