Le blog est un ami fidèle, on peut ne pas le voir pendant une longue période mais on ne l'oublie jamais; puis vient un jour où on lui donne rendez-vous et ce sont de longues embrassades avec des mots et parfois des images...on discute avec lui du temps passé, à voix basse surtout lorsqu'on n'a pas beaucoup d'audience, comme ici. l'audience, si
rani tagore
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rani tagore
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22/07/2008
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Un jour d'été blanc. merveilleux de chaleur. on marche en évitant le soleil, en cherchant un bout d'ombre. les saisons sont ainsi: celles où on cherche le soleil et celles où on le fuit. celles où on est heureux de déambuler chez soi nu et celle où on cherche à se protéger du froid avec de gros pulls. qui peut croire qu'en ce bel été to
Après des mois d'absence, me revoilà. avec l'idée de durer. l'été et ses chaleurs, sa sensualité m'ont jeté vers le plaisir des mots, vers le souvenir avec l'idée de l'immortaliser.
La route est longue, des bouchons sans fin, et puis le vent et l'absence de soleil, l'absence de vahinés et aucune chute de reins qui vaille le coup, aucune jambe gracieuse, aucun sein qui se moque du maillot, des enfants et des femmes empatées, cachant leur graisse, on s'endort face au soleil qui finit par se libérer des nuages, sans rêve et s
Les étés furent toujours pour moi des instants de pur bonheur l'été de me quinze ans ou celui de la virginité et l'innocence l'été de mes seize ans l'initiation, ce fut aussi l'été qui sauve l'été de mes 20 ans: un anniversaire mémorable et la découverte de la femme l'été des 21 ans: celui des femmes et de la joie infinie des corps r
1. celle qui offrit ses lèvres pour la première fois, marie annick d'angers, dans une colo, une grange le soir 2. celle qui découvrait des taches de plaisir sur sa robe: brunhild; à un âge où mes lectures licencieuses m'avaient appris tant de choses jamais ma main ne s'est posée sur son sein ou son sexe, jamais je n'ai guidé la sienne vers
La grise, la pluie, le froid. las manteaux qui alourdissent les épaules. mais qui peut croire en l'été? c'est aussi l'hiver de la vie. qui peut croire en la jeunesse, l'insouciance et l'énergie que rien ne peut amoindrir.
Il y a des chaleurs qui fatiguent, harrasent, donnent envie de s'assoupir, font rêver de la brise et parfois de la pluie et de la neige. mais la chaleur du désir est celle qui se mélange aux embruns des vagues, qui offre pour lit la plage et qui demande impérieusement la nudité. bonne chaleur à tous mes amis!
Un site ou un blogn est comme un ami. on peut s'en éloigner mais on le porte toujours en soi. ce blog a eu pour thème les souvenirs de jeunesse; souvenirs amoureux essentiellement; je ne l'ai partagé qu'avec des inconnus, rares il est vrai, ce qui explique la rareté de ses lecteurs. et maintenant: la raison de cette si longue absence: j'écris.
Excusez les coquilles qui se sont introduites dans mon message d'il y a un instant, c'est que j'étais en train de penser à d'autres coquilles; celles qu'on ramasse sur une belle plage pour y écouter de belles symphonies