Sauvagerie de ta peau envie de respirer ton souffle je laisse gagner l'enchantement l'attraction soudain exercée par toi terrienne d'une vie souterraine je glisse et danse sur un fil l'enfant décimé que chacun de nous porte laisse parfois échapper un sourire émerveillé il est un temps où ne plus sombrer où quelque chose peut être ouvert pa
Erendira
Erendira
J'habite en montagne, la nature est pour moi une source d'inspiration. J'adore marcher, faire du skating, nager, danser, chanter . J'aime la ville pour les sorties culturelles. Je rêve d'écrire, de voyager. J'aimerais échanger, partager
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Le blog d'Erendira
glaner de petites choses au jour le jour, capter des instants, donner forme à des rêves, exprimer ce qui dort en moi, espoir de catharsis
Erendira
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Depuis :
18/02/2010
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Il y a un envol une nuée à traverser oppressante, où l'on croit perdre le souffle, mais qui est une nouvelle aube dans laquelle il faut accepter d'entrer vers de beaux jours à venir doux et calmes retrouver la joie qui s'est juste égarée papillons dans les filets bleus et jaunes gagnent le jour une fois déliés ascension
Le feu a enfin voulu de nous de nos solitudes égarées pour une rédemption prochaine nous avons usé nos errances et les liens qui nous éreintaient assez crié en dedans je réclame un peu de chaleur ah! te serrer dans mes bras consoler ton désarroi nous aurons une cabane en bois sous la neige le coeur sauvage auréolé de lune
Appuyé sur ton bâton tu es à contempler le vaste gestes simples, calmes épurés verser le thé, coudre marcher conter, expliquer, imposer la parole ample et calme posée ton visage est de cire doux pourtant lisse, hâlé
S'éloigner des sinistres sires aux grands rires sonnant faux, leur suave méchanceté ils ont bâti un empire sur ma joie, elle a glissé dans l'ombre déchirés mon coeur et mes tripes les plaies joliment recousues saignent à vif grincement de l'archet sur mon âme égarée le coeur cependant qui palpite, toujours prêt à aller, à balancer il
Chants - nous n'aurons qu'un jour pour chanter course - seule la terre sera meuble sous nos pieds. et rebondissante nous filerons si vite vents - esprits aériens caracolent dans nos têtes parfums - la vaste terre à respirer soleils - ecartèleront nos rêves pluies - délivrances nos visages et nos coeurs lavés
Vois, je vis, je danse j'ai goûté à l'air pris racine dans la terre vois, je danse, la vie traverse et valse je ris, j'ai plongé et grimpé là-haut les ailes virevoltent ne regarde plus je vais poussée par le flot, le flux les pieds élastiques, je cours
Un enclos de terre grise pour ta course en cercles infinis épuise ta rage le galop incessant la rumeur enfle sous le crâne vertige la vue se brouille, s'affole s'arrêter, hurler l'éclat de tes crocs tu alignes ton échine, assembles tes forces et t'élances tu cours, vite, droit vers la paroi, prends tes appuis et jaillis miroitement de lumièr
Le trompe-l'oeil - glisser de miroir en miroir au pays des glaces fantasmes gelés illusion - de masque en masque eblouissements hagards etranglements l'horizon si vaste, demeure étroite
Etendue de vent esplanade dédiée à la poussière et au farouche espoir de partir d'appartenir à la marche au chemin de s'éveiller à la rosée, au gel apre, le sable, le vent, la pluie dormir éreintée ou demeurer éveillée de trop d'étoiles, d'air, de paysages devenir herbe, pierre, sel, lueurs danse désespérée gerbes de cheveux ondoien